ça puise l'énergie dans une inertie thermique qui doit être maintenue à température constante compatible avec le COP de 6
Le plus simple étant pour un bateau qui renouvelle la constance de la source dégradé par son utilisation en avançant
et donc ça peut avoir un rendement de 2 sans violer la thermodynamique
Mais, EauPure, pourquoi croyez vous qu'on a inventé la thermodynamique ?
C'était précisément pour pouvoir calculer ce qu'on pouvait attendre des différentes machines thermiques qu'on était en train d'inventer !
Ce que fait une pompe à chaleur, c'est déplacer de la chaleur de la source froide vers la source chaude. Pour ça, elle consomme de l'énergie. Il est facile de faire une pompe ça chaleur dont le flux de chaleur soit inférieur à la puissance consommée par le moteur de la pompe. C'est ce que signifie un COP supérieur à 1, et le COP peut être aussi grand qu'on veut si on rapproche les températures chaudes et froides.
Pour un moteur thermique, c'est la même chose, sauf que c'est le contraire : la machine utilise un flux de chaleur de la source chaude vers la source froide. Elle en prélève une partie qu'elle convertit en puissance mécanique. Mais seulement une partie. Et le rendement est limité exactement comme le COP, sauf que cette fois il tend vers 0 quand les températures se rapprochent, de telle sorte que le produit des deux (COP et rendement) est forcément inférieur à 1.
C'est au moins depuis l'invention du frigo qu'on a calculé ça ...
Une idée de la taille minimale du bateau pour avancer à une vitesse "raisonnable" ?Envoyé par EauPure
Qu' est ce que c' est que ce charabia ?
Pour obtenir une machine thermodynamique en moteur il faut une source froide et une source chaude.
Si l' océan est l' une des deux, quelle est l' autre ?
Un rendement de 2?
On est où là?
En fait de débats ça tourne tout le temps dans l'irrationnel, je vois que rien ne change, le mouvement perpétuel de la niaiserie est le seul truc vraiment au point.
Il est temps de clore cette discussion délirante.
Rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant - Pierre Dac
