Pas d'avis sur la question ?
Est ce que je met 40 cm de liege en couche croisée en plus des 60-80cm de liege vrac entre 2 parpaings ?
-----
Pas d'avis sur la question ?
Est ce que je met 40 cm de liege en couche croisée en plus des 60-80cm de liege vrac entre 2 parpaings ?
Je me suis posé la même question... Fondation en monomur, impossible ?
Sur les plans que j'ai pu voir, il y a toujours une fondation en béton sur laquelle est posé un ciment hydrofugé puis un mur de soubassement. Un souci avec les monomurs (capillarité, humidité, inhabituel...) ?
La brique a une fâcheuse tendance à aimer l'eauJe me suis posé la même question... Fondation en monomur, impossible ?
Sur les plans que j'ai pu voir, il y a toujours une fondation en béton sur laquelle est posé un ciment hydrofugé puis un mur de soubassement. Un souci avec les monomurs (capillarité, humidité, inhabituel...) ?
Il suffit de poser une monomur (ou un agglo ciment d'ailleurs) dans une bassine avec 10 cm d'eau dedans et d'attendre 30 min pour observer le résultat...
Sinon pour faire une fondation en monomur... je ne vois pas comment cela peut être possible techniquement parlant... il faut bien que la brique repose sur :
- quelquechose de plat (pas moyen de rattraper avec les joints en monomur)
- quelquechose de "portant" et de solidaire (une ceinture)
- quelquechose ou l'eau ne peut pas remonter
@+
Le lien n'a pas été donné sur ce topic, c'est la conception d'un soubassement avec des blocs RTh, ce qui resout le pb de l'iso peripherique sans creuser ou fixations externes de l'isolant. Schema a l'appui
http://www.perinetcie.fr/batiment/rt...c4dd74cf0#pos1
Par contre aucune idée du prix....
@Lustiot
Bon, je ne suis pas encore au point question vocabulaire de chantier. Je ne veux pas placer la monomur (ou autre bloc à isolation répartie) directement sur le sol, mais sur une "couche de propreté" (ou tout autre couche (ceinture ?)permettant de "démarrer" la fondation proprement dite). Désolé pour les imprécisions qui amènent aux mésententes.
Effectivement, si la brique monomur est poreuse, c'est pas top. Alphaval mentionnait de la pierre ponce non poreuse. Dans ces conditions, sur une assise correcte, des objections ?
@mimychatmiaou
Merci pour le lien. C'est plus ou moins ce genre de chose que je cherche je crois.
Pas de souci, je voulais juste être sur qu'on parlait de la même chose@Lustiot
Bon, je ne suis pas encore au point question vocabulaire de chantier. Je ne veux pas placer la monomur (ou autre bloc à isolation répartie) directement sur le sol, mais sur une "couche de propreté" (ou tout autre couche (ceinture ?)permettant de "démarrer" la fondation proprement dite). Désolé pour les imprécisions qui amènent aux mésententes.
mais pas insurmontable... tout dépend aussi de ton projet (qu'est ce que le mur de soubassement va t il porter ?)
C'est ce que j'ai failli faire, mais finalement vu le prix du bloc et mon besoin ( ossature bois remplissage paille) 35 cm ce n'était pas assez large, je suis finalement parti sur un double mur en parpaing de 1m15 isolé par du liege en vrac (11cm) et pas d'isolant dans les fondations...
on verra bien mais à mon avis ca devrait être déjà pas trop mal
dans la série si c'était à refaire....
peut être que l'option arase hydro sur les fondations puis 5 rangs de monomur 50 cm + enduit hydro à l'extérieur et intérieur (mais du coup on perd l'intéret du matériaux) aura été plus rapide et moins onéreux (moins de joint, pas d'isolant en plus, moins de brique à poser, moins de MO)
mais bon, j'ai 80cm d'écart entre le niveau du sol au NO et le niveau au SE le tout sur un terrain humide... j'ai préféré joué la carte de la sécurité tout en gardant le contact avec la terre (pas de vide sanitaire)
prix du bloc RTh = environ 69€ le m2 en fourniture pour un R de 3 ...(RTH> au monomur de 36.5 )Par contre aucune idée du prix....
Je peux témoigner qu'aucune remontée d'humidité n'a été observée chez mes clients en 25 ans ...la lame d'air verticale et la membrane somdrain ou delta-ms font bien leur boulot
Ok, j'avais compté 75 €/m2 fourni/monté.
Un truc m'inquiete avec le RTh : je souhaiterais poser une ossature bois sur un sous-sol en RTh. L'ossature de 200 mm va reposer sur la partie planelle (8cm), l'isolant (7.5) et le debut de la dalle (4.5 cm). Ca va pas poser de problèmes de stabilité ?
il faut axer le centre de ton ossature bois sur l'axe du bloc porteur du RTH (celui qui fait 15cms )L'ossature de 200 mm va reposer sur la partie planelle (8cm), l'isolant (7.5) et le debut de la dalle (4.5 cm). Ca va pas poser de problèmes de stabilité ?
de cette manière on évite les porte-à-faux de l'ossature bois et le risque d'écrasement de la panelle qui n'est PAS porteuse= son rôle EST de protéger l'isolant PSE..
je vais essayer de t'envoyer un croquis de principe , tu peux jouer à quelques cm près dans le positionnement de ton ossature bois
voici une suggestion de mise en oeuvre à faire valider par ton entreperneur..
croquis pour attirer ton attention sur le respect des descentes de charges verticales , par exemple le poids des planchers et de la toiture passant par les poteaux bois , eux-mêmes le plus centrés possible sur l'axe du bloc porteur du RTH
l'ossature bois de 200mm relativement moins lourde pourra être en débord de façon à ce que son parement éxtérieur coïncide plus ou moins avec le nu extérieur de la planelle
Rien ne doit peser sur la planelle , un jointoiement au mastic souple + cordon de mousse seulement pour assurer l'étanchéité à l'air .
une bavette doit rejeter les eaux de puie vers l'extérieur
la dalle doit être armée en conséquence pour supporter le poids de l'ossature bois et être isolée elle aussi en périphérie (mousse PU ou panneaux de PU)
pour protéger l'isolant de l'about de dalle , ou peut soit faire descendre le parement extérieur de la façade par dessus , soit faire remonter les plaques de fibre-ciment devant jusqu'au parement extérieur ..
Salut,
Mon constructeur n'aime pas trop les poteaux en renfort, ca n'est pas vraiment prevu dans le kit, ca complique pas mal. En farfouillant un peu je suis tombé sur les cogeblocs, large soubassement de 35 et R de 2.5. Soit je me complique pas la vie et je me contente de la planelle isolante en diathonite (lambda de 0.8, mouarff ), soit je remplace ca par du verre cellulaire.
Par contre impossible de trouver un schema classique d'about de dalle. J'ai concu celui-ci mais j'ai des doutes sur le placement de l'isolant sur :
-toute la largeur du bloc.
-jusqu'a la planelle (cas dessiné ci-dessous)
-seulement en vertical contre la planelle.
C'est viable comme idée ?
### Lien redondant avec l'image supprimé, l'auteur à posté l'image en pièce jointe (merci).
Le verre cellulaire devrait mieux tenir que du PSE sur la compression de la lisse basse, L'ossature de 200 peut-elle tenir en bout de dalle ?
ps : pour tous ceux qui se posent la question des sous-sols en thermopierre, la poussée des terres est telle que des contreforts (refents) doivent etre soigneusement étudiés et disposés...
Dernière modification par Philou67 ; 20/11/2008 à 15h57.
bonjour,
J'ai une question concernant l'isolation du soubassement :
- pour une maison ancienne, il est conseillé d'isoler à une profondeur de 1m - 1m20 ; si les fondations sont à 60 cm (3 rangées de parpaing), faut il alors creuser plus bas ques les fondations ? ne met-on pas en péril le gros-oeuvre ?
- pour une construction nouvelle, faut il prévoir de descendre les fondations à 1m au moins (5 rangées de parpaing de 20 cm de hauteur) ? (en tenant compte bien sûr de l'étude du sol).
merci pour vos réponses.
C'est très déconseillé ! Il y a la solution du trottoir isolant : descendre à seulement 30 cm et isoler à plat sur1,20 m. Voir entre autres mes échanges avec Herakles sur ce sujet dans la discussion sur le stockage intersaisonnier.
Vous pouvez voir nos échanges ici : http://forums.futura-sciences.com/ha...ml#post2082226
En Norvège ou en finlande , les trottoirs isolants extérieurs sont courants , de plus , l'épaisseur de l'isolant sous ce trottoir diminue avec la distance au mur à isoler vers le bord du trottoir .(section de forme triangulaire = 30cm au pied du mur à 5 cm au bord du trottoir d'une largeur de 1.50m...inutile de mettre 30cm partout !!!
merci à vous régis70 et herakles ;
mais pour une construction neuve, faut il prévoir exprès de descendre les fondations à 1m - 1m20 pour pouvoir isoler à cette profondeur, même si l'étude du sol ne le nécessite pas ?
pas forcément , sauf si vous voulez isoler un terre-plein pour en faire un stockage inertiel (type "la maison du clos" du blog architecturenaturelle ) ou un stockage intersaisonnier avec tunnels à galets ou un hypocauste pour décharger l'énergie excédentaire de capteurs à eau ou à air en été..faut il prévoir exprès de descendre les fondations à 1m - 1m20 pour pouvoir isoler à cette profondeur, même si l'étude du sol ne le nécessite pas ?
De toutes façons , lors du terrasement pour couler les fondations , il vous reste la possibilité d'isoler le soubassement "en vertical" puis continuer à l'horizontale sur 1m de large autour de la construction ..remblayer avec du sable +géomembrane puis de la terre végétale ou couler du béton maigre sur 5cms par dessus pour décourager les taupes ...et remblayer dessus terre végétale ou pavage ou gravier
merci herakles.
Pour résumer, dans le cadre d'une construction neuve et pour une ite, on peut faire une fondation à 60 cm de profondeur, 3 rangs de parpaing 20 cm pour le soubassement, isolation avec 8-10 cm liège ou pse du soubassement et isolation de 1m à l'horizontale avec par ex 10 cm pse. L'isolation verticale sera protégée par une géomembrane et plaque fibro-ciment. L'isolation horizontale pourra recevoir une terrasse.
Une autre question :
Faut il mettre le drain au niveau du premier rang de parpaing (haut des fondations), ou au pied des fondations. N'y a-t-il pas un risque de creuser jusqu'au pied des fondations ?
haut des fondations , bien sûr , le drain étant posé sur une cunette réalisée en béton maigre et lissée à la pelle , puis bidim, gravier et repli du bidim telle une chausette par dessus avant de rembayer..Faut il mettre le drain au niveau du premier rang de parpaing (haut des fondations),
Bonjour à tous,
je vais isoler périphériquement les fondations de ma maison de 50m² en brique pleine avec sous-sol enterré et mur porteur central. Mais avant ça, je vais entreprendre de creuser le sol du sous sol pour augmenter la hauteur sous plafond (1.9m maxi actuellement sans isolation).
Le soucis est que les fondations actuelles de la maison sont à 20 ou 30 cm de la chape de béton actuelle. Donc je vais devoir réaliser un prolongement des fondations avec du béton en procédant par petit piliers armés.
L'augmentation de la hauteur sous plafond, en creusant, va me permettre aussi de refaire la chape au sol et ainsi de l'isoler de la terre (chape actuelle 5cm non ferraillée).
Je me pose plusieurs questions :
- est ce déjà bon de partir sur du béton pour la "réhausse" sachant qu'il s'agit d'une maison en brique ? Dans un sens je me dis que oui car ça coupe la remontée d'humidité? Ou bien faut-il mettre quelques chose entre le béton et la brique (si je reste avec le béton)
- toujours avec cette partie bétonnée, quand je vais isoler par l'extérieur, je pourrais utiliser du PSE sur cette partie puis du liège sur la brique directement ou bien faut il prévoir quelque chose entre les deux ou bien je fais tout en liège?
- Sous la dalle, la faible surface de ma maison peut elle permettre de faire un stockage inertiel à galet? Le jeu en vaut il la chandelle sachant que je fais tout en auto-rénovation?
- Sachant aussi que j'ai du salpêtre sur les murs du sous sol (d'où l'isolation périphérique), je pense aussi qu'évacuer l'humidité serait une bonne chose et donc je voudrais faire une dalle "respirante". De plus, sous la maison le sol est constitué de Gypse (j'ai pu remarquer qu'en fonction d'un temps plus ou moins sec le sol a tendance à se déformer), quelle précaution prendre ?
Tu ne fais pas faire une étude des sols au préalable ?? c'est fortement conseillé ..!!! pour éviter les mauvaises surprises , et agir dans le bon sensDonc je vais devoir réaliser un prolongement des fondations avec du béton en procédant par petit piliers armés.
A 30kms d'ici , une maison en briques 1900 présente des fissures importantes 4 ans après la fin des travaux de rénovation , procés avec l'architecte qui n'a pas pensé à réclamer une étude des sols avant la rénovation , devis de reprise en sous-oeuvre par micro-pieux béton foncés dans le sol : 300 000 €
Et prendre l'avis d'un expert en fondations ,sans doute t'obligera-til a poser des longrines sur plots ..
Ah oui j'oubliais ma maison est mitoyenne et mon voisin a déjà fait la même chose...
idem comme à MONTAUBAN , l'expert a emis un rapport défavorable pour la continuite de ce genre de travail = conclusion = reboucher la cavité par 35 à 40cm de béton
et tant pis pour le voisin qui a déjà une p'tite fissure ..
le plus drôle est qu'avec cette dalle , la maison est mieux appuyée sur ses semelles et du coup c'est elle qui soutient la maison mitoyenne !!
bref , pas toujours pertinent de faire COMME le voisin sauf s'il a été très bien conseillé ..
Houlà, ça ne me réconforte pas ce que tu dis... Snif...
Et à Montauban, le sol était de quel nature ?
Et si je fais une réhausse entièrement en béton armé avec la chape ferraillé ? (adieu à l'inertie thermique...)
Fais appel à un expert ...d'ici , derrière nos PC , nos conseils seraient inefficaces..
Montauban = pas loin du Tarn, strates alluvions limono-argileux
graves, petits galets roulés , sables ...
Je vais méditer sur le sujet merci.
Bonjour à tous,
Etant nouvel inscrit, je souhaitais d'abord remercier tous ceux qui font part de leurs expériences sur ces forums, je m'y suis personnellement intéressé pendant de longues heures...
Maintenant, place à ma question :
Je suis heureux possesseur d'un PDM Nunnauuni depuis maintenant plus de 2 mois. Notre maison est neuve et assez difficile à chauffer pour le moment (encore humide, 16.5° en moyenne dans la pièce de vie).
Je n'ai malheureusement pas eu la possibilité d'isoler par l'extérieur car le projet était trop avancé lors de la découverte de cette technique, il faut dire que la plupart des architectes n'en parle même pas et imposent une isolation par l'intérieur...! Nous nous sommes tout de même appliqués à réaliser notre isolation intérieure mais dans la précipitation du projet, un pont thermique n'a pas été traité au niveau de la dalle du rez-de-chaussée (isolation sous dalle + murs intérieurs mais pas en périphérie). Des rupteurs thermiques ont été installés au niveau du plancher étage. Nous ressentons donc le froid par le sol RDC à l'extrémité des pièces et je pense, en conséquence, que le PDM à des difficultés pour réchauffer la dalle.
Question : sachant que les travaux de remblaiement n'ont pas encore été réalisés (murs de soubassement en parpaing apparents), serait-ce utile d'isoler la dalle et les fondations par l'extérieur pour limiter les pertes ? Quelles sont les solutions envisageables à moindre coût pour mon cas particulier ?
Merci d'avance et encore bravo à tous les participants de ces forums !
Greg, si tu t'arrêtes juste au dessus de la dalle, le pont thermique ne sera pas complètement traité. Du coup, je ne sais pas si la dépense t'apportera le confort supplémentaire que tu attends.
Mais je laisse la parole pour d'autres avis.
:'( Plus j'apprends, et plus je mesure mon ignorance
Merci d'avoir répondu si rapidement Philou67.
Effectivement, le pont thermique sera toujours bien présent et je ne cherche pas à le supprimer mais seulement à limiter son impact. Plutôt que de fixer ou coller un isolant au soubassement et à la dalle, n'existerait-il pas un remblai ayant des qualités isolantes à poser en périphérie au moins sur l'épaisseur de la dalle ? En effectuant des recherches sur le net, j'ai trouvé que les "billes d'argile expansées" pouvaient avoir cette qualité mais l'investissement reste élevé...