Bonjour,
Les théorèmes d'incomplétude de Gödel s'appliquent aux démonstrations utilisant uniquement la logique du premier ordre.
Ma question risquant de ne pas être clairement exprimée, je vais la poser de différentes manières, en espérant que le sens que je cherche à exprimer en sortira:
Y-a-t-il une relation entre cela et la dénombrabilité du langage mathématique?
Il y-a-t-il, ou peut-on imaginer, une extension des théorèmes d'incomplétude à la logique du second ordre (limitée à la quantification sur des parties d'ensembles dénombrables) avec un langage dont le cardinal est la puissance du continu?
(L'idée est que la logique du second ordre permet des schémas non développables de manière dénombrable, et qu'il y aurait une relation entre les limites du langage et l'incomplétude.)
----
Pour encore (essayer de) préciser, mon interrogation vient de réflexions sur le message suivant:
Cordialement,
-----