Salut , j'ai pérdu bcp de temps pour coincer la TL (des éxpéreinces de pensées 'tarabiscotées', hélas, il n y'a pas moyen , bonne soirée .
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Salut , j'ai pérdu bcp de temps pour coincer la TL (des éxpéreinces de pensées 'tarabiscotées', hélas, il n y'a pas moyen , bonne soirée .
Salut, on va revenir aux origines : les TL ?
l'observateur B est en mvt réctiligne uniforme de vitesse v par rapport à A , on'a
t'(1)/B=k[t(1)-v.x(1)/c²] le deusiéme terme par rapport à /A
t'(2)/B=k[t(2)-(-v).x(2)/c²]
t'(2)/B-t(1)/B =k.[t(2)-t(1)]+k(v/c²).[x(2)+x(1)]
1 et 2 sont simultanées par rapport à A ===> t'(2)-t'(1)=0 ET x(2)/A=-x(1)]/A= ===>x(2)+x(1)=0====>[t'(2)-t'(1)]/B = dt'=0 simultanées aussi pour B.
Bonsoir
Merci de ta réponse
Je ne suis pas physicien donc je ne comprends pas complètement les termes que tu utilises (une TL c'est quoi) ni a quoi correspond chaque terme de l'équation (par exemple le k).
Est ce que tu parles du fait que l'événement 1 est retardé et l'événement 2 avancé pour B relativement à A car c'est cela qui m'intéresse ici.
Pour les dimensions et le temps de B relativement a A on aurait d'après un intervenant
Pour les longueurs : L' = L*(1-v²/c²)
Pour le temps : t' = t/racine carrée de [1-(v²/c²)]
la je comprends bien qu'un autre intervenant ait dit que ce n'était pas le bon calcul. De toutes façons comme on aurait des distances soit rallongées soit raccourcies et de même pour le temps le problème est le même, puisque d'un coté B a une distance plus courte que A vis à vis de la source lumineuse 1 de l'autre Plus grande que A vis à vis de la source lumineuse 2.
Non ce qui est important c'est de voir si les événements qui ont lieu pour A quand B est en C auraient lieu pour B quand il n'est pas en C.
Cordialement
Ce qui m'intéresse ce serait la non simultanéité des événements pour B alors qu'il y a simultanéité des événements pour A. Les événements étant émission du photon 1 par la source lumineuse 1 et émission du photon 2 pour la source lumineuse 2.
L'émission des photons ayant lieu quand B est à la position C pour A, L'émission aurait lieu pour B quand il n'est pas à la position C. Donc on aurait deux états pour l'univers en même temps ce qui est impossible.
Cordialement
Salut , moi aussi je suis pas un physicien , mais avec le temps consacré à ce domaine.... , les deux événements 1 et 2 sont simultanées par rapport à A et B quand B=A (confondus) , mais quand B est en C , on ne peut pas parler des événments ,car aucune événements n'éxistentent encore pour les deux référentiéls .(d'aprés la synchronisation d'Einsein-Poincaré ) .
c'est pourquoi , j'ai dit que c'est la même éxpérience de pensée que celle du train d'Einstein où on peut pas parler des événemnents futurs quand les deux obsérvateurs coincident , dans ton cas , c'est l'inverse , on peut pas parlaer du passé des évenements .Salut , moi aussi je suis pas un physicien , mais avec le temps consacré à ce domaine.... , les deux événements 1 et 2 sont simultanées par rapport à A et B quand B=A (confondus) , mais quand B est en C , on ne peut pas parler des événments ,car aucune événements n'éxistentent encore pour les deux référentiéls .(d'aprés la synchronisation d'Einsein-Poincaré ) .
Mais A, C, les deux sources lumineuses font partie du même référentiel, ce qui fait que A, C, les deux sources lumineuses ont le même temps propre.
On peut prolonger B par des «*baguettes rigides*» ce qui fait que ces baguettes peuvent être en contact avec les sources lumineuses.
Quand peut on prendre en compte un événement situé en un point relativement à un corps situé à un autre point.
Cordialement
la vérité , je n'ai pas bien compris ta question, je vais essayer peut être jusqu'à demain (fatiguer), mais il ne faut pas oublier la synchronisation d'Einstein-Pincaré , c'est la base de la RR , ton expérience de pensée est un complément de la coïncidence de deux événements dans deux référentiéls à l'instant t=0 (synchronosation) ,dans l'expérience de pensée du train d'Enstein , car on doit avoir une synchronosiations même à t=0 , parler d'une coïncidence sans synchronisation d'E'instein-Poincaré n'a aucun sens en RR .Mais A, C, les deux sources lumineuses font partie du même référentiel, ce qui fait que A, C, les deux sources lumineuses ont le même temps propre.
On peut prolonger B par des «*baguettes rigides*» ce qui fait que ces baguettes peuvent être en contact avec les sources lumineuses.
Quand peut on prendre en compte un événement situé en un point relativement à un corps situé à un autre point.
Cordialement
quand les physiciens parlent de la coïncidende de deux référentiéls à t=0 en RR , déja l'idée de synchronosiation d'E'instein-Poincaré est implicite (expéience de pensée)) , c'est pourquoi , on peut pas savoir ni le passé ni le future , sauf le présent par synchronisation .
Merci de ta réponse bonsoir à demain
Bonjour , l'idée importante insinué dans le terme synchronisation d'Einstein-Poincaré est qu'on ne peut pas parler des'événements dans des référentiéls sans qu'il n'y'a pas au dépare un signale lumineuse de mise à l'heure(t=t'=x ,signale qui déclenche les chronométres des deux référentiéls), dans ton cas ,quand B=C (confondus) ,on ne peut pas parler d'événements car à cette instant que les deux événements 1 et 2 ont lieu dans leur propre référétiéls , pour A,B et C , il n'existent pas (pas d'information optique ) ,exp , explosion d'un supérnova aujourd'huit quelque part dans l'univers , l'événement va passé des années lumiéres pour qu'on peut dire un jour qu'il a lieu ,à ce moment , il n'existe pas dans notre référentiél ,quand j'ai dis hiér coïncidance des deux référentiéls à t=0 dans l'éxpérience de pensée du train d'Einstein , c'est la simultaniété des événements à cette instant par rapport au deux référentiéls ,c'àd , déja l'idée d'un signal optique de déclenchement des deux horloge est implicite .Mais A, C, les deux sources lumineuses font partie du même référentiel, ce qui fait que A, C, les deux sources lumineuses ont le même temps propre.
On peut prolonger B par des «*baguettes rigides*» ce qui fait que ces baguettes peuvent être en contact avec les sources lumineuses.
Quand peut on prendre en compte un événement situé en un point relativement à un corps situé à un autre point.
Cordialement
Bonjour
merci pour tes réponses
Source lumineuse 1 ….........................C... .A............................ ...Source lumineuse 2
-------------------------------------> B
les deux sources lumineuses sont a 300 000 kilomètres de A
C est situé a 1 kilomètre de A
Les deux Sources lumineuses C et A ont le même temps propre
B est en mouvement de 1 km seconde par rapport aux deux sources lumineuses C et A
Quand B arrive en C chaque source lumineuse émet un photon (on peut avoir synchronisé les événement du point de vue de A)
On peut contourner la problématique que tu évoques par un raisonnement très simple.
Tout d'abord si les signaux lumineux partaient de C ou de B quand il arrive en C vers deux miroirs qui remplaceraient les deux sources lumineuses ces miroirs réfléchissant en direction de A en quoi cela aurait changé la problématique. Les grandeurs auraient juste due être adaptées.
Mais restons dans le même cadre d'expérience. Les événements 1 et 2 sont synchronisés pour A en effet il suffit d'avoir mis par avance les différentes horloges à la même heure, de s'arranger pour que B arrive en C à une certaine heure et a une certaine vitesse et d'avoir prévu d'envoyer les photons à cette heure la. Une autre solution serait de dire que B démarre de C a une certaine vitesse et a une certaine heure, si il va un peu trop lentement cela déporte les résultats dans un sens, s'il va un peu trop vite cela déporte les résultats dans un autre sens, mais dans les deux cas cela ne résout rien puisque les photons arrivent dans les deux sens.
Maintenant si on dit que l'on ne sait pas si les événements sont synchronisés pour B puisque il n'y a pas de rayons lumineux entre B et les sources lumineuses. Et bien il y a deux possibilités*: ou bien ils le sont et on a 1 kilomètre de trop par rapport à une sources lumineuses et 1 kilomètre de moins par rapport à l'autre source, ce qui ne convient pas. Ou bien il ne le sont pas et on a un état de l'univers du point de vue de A et un état de l'univers du point de vue de B ce qui ne convient pas non plus.
Cordialement
Voici enfin, un problème ayant une description complète et limpide. A et C faisant partie du même repère, ils peuvent être synchronisés et tous événements simultanés par A , le sont aussi pour C. Mais pas pour B qui ne fait pas partie du repère, puisqu'il a une certaine vitesse par rapport à A et C.
Source lumineuse 1 ….........................C... .A............................ ...Source lumineuse 2
-------------------------------------> B
les deux sources lumineuses sont a 300 000 kilomètres de A
C est situé a 1 kilomètre de A
Les deux Sources lumineuses C et A ont le même temps propre
B est en mouvement de 1 km seconde par rapport aux deux sources lumineuses C et A
Quand B arrive en C chaque source lumineuse émet un photon (on peut avoir synchronisé les événement du point de vue de A)
On sait surement que les deux émissions d'éclairs lumineux ne sont pas synchronisés pour B car il n'appartient pas au repère A - CMais restons dans le même cadre d'expérience. .......
Maintenant si on dit que l'on ne sait pas si les événements sont synchronisés pour B puisque il n'y a pas de rayons lumineux entre B et les sources lumineuses. Et bien il y a deux possibilités*: ou bien ils le sont et on a 1 kilomètre de trop par rapport à une sources lumineuses et 1 kilomètre de moins par rapport à l'autre source, ce qui ne convient pas. Ou bien il ne le sont pas et on a un état de l'univers du point de vue de A et un état de l'univers du point de vue de B ce qui ne convient pas non plus.
Que deux points soient au même endroit cela ne suffit pas pour dire que des événements simultanés pour l'un sont simultanés pour l'autre. Il faut en outre que les événements considérés se produisent à l'endroit ou se trouve les deux points, exemple :
la réception des signaux se fait en A, et en B au même endroit, ils sont alors simultanés pour A et B, pour C aussi par la même occasion.
Comprendre c'est être capable de faire.
Salut , si la distance entre : B ou C et A est (X) , A et (1 ou 2) est L ,un événement (signal optique ) qui'a lieu en B ou C à t(o)/b parcoure une distance (L-X)+L=2L-X , s'il est le miroir de 1 qu'il le reflete vers ABonjour
merci pour tes réponses
Source lumineuse 1 ….........................C... .A............................ ...Source lumineuse 2
-------------------------------------> B
les deux sources lumineuses sont a 300 000 kilomètres de A
C est situé a 1 kilomètre de A
Les deux Sources lumineuses C et A ont le même temps propre
B est en mouvement de 1 km seconde par rapport aux deux sources lumineuses C et A
Quand B arrive en C chaque source lumineuse émet un photon (on peut avoir synchronisé les événement du point de vue de A)
On peut contourner la problématique que tu évoques par un raisonnement très simple.
Tout d'abord si les signaux lumineux partaient de C ou de B quand il arrive en C vers deux miroirs qui remplaceraient les deux sources lumineuses ces miroirs réfléchissant en direction de A en quoi cela aurait changé la problématique. Les grandeurs auraient juste due être adaptées.
Mais restons dans le même cadre d'expérience. Les événements 1 et 2 sont synchronisés pour A en effet il suffit d'avoir mis par avance les différentes horloges à la même heure, de s'arranger pour que B arrive en C à une certaine heure et a une certaine vitesse et d'avoir prévu d'envoyer les photons à cette heure la. Une autre solution serait de dire que B démarre de C a une certaine vitesse et a une certaine heure, si il va un peu trop lentement cela déporte les résultats dans un sens, s'il va un peu trop vite cela déporte les résultats dans un autre sens, mais dans les deux cas cela ne résout rien puisque les photons arrivent dans les deux sens.
Maintenant si on dit que l'on ne sait pas si les événements sont synchronisés pour B puisque il n'y a pas de rayons lumineux entre B et les sources lumineuses. Et bien il y a deux possibilités*: ou bien ils le sont et on a 1 kilomètre de trop par rapport à une sources lumineuses et 1 kilomètre de moins par rapport à l'autre source, ce qui ne convient pas. Ou bien il ne le sont pas et on a un état de l'univers du point de vue de A et un état de l'univers du point de vue de B ce qui ne convient pas non plus.
Cordialement
.. (L+X)+L=2L-X ..... 2.............
il ne seront jamais synchronisées par rapport à A (si dt'/B=0 seulle événemnt ,dt/A ne sera jamais nulle ).
on peut s'arrangé d'émettre deux impulsion de synchronosation (deux événement différentes) dt'/B est non nulle , mais dt/A est nulle (synchronisation)
ce qui'est synchronisé(par signaux optiquee) dans un référentiél ne l'est pas par rapport à l'autre .
donc ,quand B est en A , on'ai sur qu'il sont synchronisé par rapport aux deux obsérvateurs , mais avec deux événements différentes et que dt'(au déparet)/B est non nulle .
Salut , enfin ,si le référentiél contenant (1,A,2) est en mouvement par rapport B ,on aura la moitié de l'interférométre de Michélson (expérience de Michélson-Morley) .
Cordialement
Merci pour vos réponses, je n'ai pas encore lu les réponses qui viennent d'arriver.
Je pense que la seule façon d'arriver à quelque chose c'est de comparer la question de la simultanéité des événements 1 et 2 pour A et pour B. Les événements pour B sont soit simultanés soit il ne le sont pas. Cela pose dans les deux cas un problème par rapport à la vitesse de la lumière.
je redonne le Schéma
Source lumineuse 1 ….........................C... .A............................ ...Source lumineuse 2
-------------------------------------> B
les deux sources lumineuses sont a 300 000 kilomètres de A
C est situé a 1 kilomètre de A
Les deux Sources lumineuses C et A ont le même temps propre
B est en mouvement de 1 km seconde par rapport aux deux sources lumineuses C et A
Quand B arrive en C la source lumineuse 1 émet un photon événement 1
Quand B arrive en C la source lumineuse 2 émet un photon événement 2
(on peut avoir synchronisé les événements du point de vue de A)
Si pour B les événements émission du photon 1 (événement 1) et émission du photon 2 (événement 2) ne sont pas simultanés.
L'événement 1 a lieu pour B après que B ait quitté C, l'événement 2 a lieu pour B avant que B soit arrivé en C.
Donc le photon 2 a parcouru déjà une certaine distance quand B arrive en C. Maintenant si au lieu de continuer a avancer B stoppe en C. B se trouvera avoir le même temps propre que A. Ce qui est simultané pour A devient simultané pour B et inversement.
Il y a alors une contradiction car pour A les deux photons sont à la même distance de lui alors que pour B les deux photons ne sont pas à la même distance de A. Pour B l'un des photon ayant déjà parcouru une certaine distance l'autre non.
Cordialement
Salut , quand les deux photons venant de 1 et 2 arrive à l'observateur en A , l'observateur B sera où ?Quand B arrive en C la source lumineuse 1 émet un photon événement 1
Quand B arrive en C la source lumineuse 2 émet un photon événement 2
(on peut avoir synchronisé les événements du point de vue de A)
Si pour B les événements émission du photon 1 (événement 1) et émission du photon 2 (événement 2) ne sont pas simultanés.
il sera en A ,ce qui signifie que les deux événements :émission des deux photons en 1 et 2 seront des événements simultanées dans A et B .
en plus on ne peut pas parler des événements produitent en 1 et 2 quand B est en C : ils n'éxiste pas encore ....
Cordialement
Attention, c'est l'événement arrivée des deux photons en A (et B) qui est unique pour A et B. L'émission qui se fait à 300 000 km n'est simultanée que pour A, pas pour B.
Bien que B ait une vitesse faible, la distorsion temporelle sur des distances de 300 000 km est suffisante pour créer un écart de 3 µsec sur l'émission.
Comprendre c'est être capable de faire.
BonsoirAttention, c'est l'événement arrivée des deux photons en A (et B) qui est unique pour A et B. L'émission qui se fait à 300 000 km n'est simultanée que pour A, pas pour B.
Bien que B ait une vitesse faible, la distorsion temporelle sur des distances de 300 000 km est suffisante pour créer un écart de 3 µsec sur l'émission.
Point de vue 1*: Le photon 2 du point de vue de A quand B est en C est a 300 001 kilomètres de B
Point de vue 2*: Le photon 2 du point de vue de B quand B est en C est a 300 000 kilomètres de lui
Si maintenant B s'arrête en C il prend immédiatement le point de vue de A. Il passe immédiatement du point de vue 2 au point de vue 1, c'est à dire que le photon 2 devrait reculer de 1 kilomètre. Ce qui ne serait pas acceptable.
Cordialement
bonjour
Ou dit autrement*: si à la place des événements 1 et 2 on a un photon 1 et 2 émis depuis longtemps avant la mise en mouvement de B, comment peut on avancer un événement ou le retarder* pour B relativement à A? (Le temps propre de B étant soit ralenti soit accéléré par rapport au temps propre de A). Et bien ne faut il pas que le vitesse relative des photons soit différente.
Cordialement
Bonjour
Nous avons fait remarquer que les événements 1 et 2 simultanés pour A, peuvent soit être simultanés pour B soit ne pas l'être. On peut donc étudier ces deux possibilités même si les événements paraissent encore indéterminés pour B.
On peut prolonger B de deux baguettes suffisamment grandes pour être en contact avec les deux sources lumineuses quand B est en C et marquer chacune de ces baguettes au bon endroit à l'émission des deux photons. (bien sur c'est une expérience de pensée car les baguettes devraient être très grandes). Dans ce cas la les événements 1 et 2 ne serait plus indéterminés pour B. On aurait de chaque coté une certaine longueur entre B et chacune des marques. Il n'y aurait que deux marques de faites du fait qu'il n'y a que deux événements. On peut donc penser que les événements simultanés pour A sont aussi simultanés pour B. En effet si les événements n'étaient pas simultanés pour B il y aurait quatre marques de faites, deux du point de vue de A, deux du point de vue de B, il faudrait alors quatre événements et non pas deux.
Cordialement
Les émissions de photons se font à 300 001 km et 299 999 km de B et C dans tous les cas, il n'y a pas distorsion de distances sensible pour une vitesse de B aussi faible ( à 3 mm près). C'est la simultanéité qui varie de +/- 3,3 µsec
Vous pouvez arrêter B juste après C, ce qui n'entraine aucune variation de distance, ce n'est pas la distance qui change , mais le temps comme signalé dans les messages précédents.Si maintenant B s'arrête en C il prend immédiatement le point de vue de A. Il passe immédiatement du point de vue 2 au point de vue 1, c'est à dire que le photon 2 devrait reculer de 1 kilomètre. Ce qui ne serait pas acceptable.
L’arrêt de 1km/sec en une petite fraction de seconde (sinon c'est sans intérêt) produira une accélération telle que vous aurez un saut temporel pour les points du repère B à 300 000km qui compensera le décalage, c'est un effet de relativité générale..
Comprendre c'est être capable de faire.
Merci de votre réponse
C'est la non simultanéité des événements 1 et 2 qui rapprocherait le photon 2 de B quand B est en C plus que la contraction des distances du fait de la vitesse de B qui est très faible.
Si la simultanéité varie pour B, l'émission du photon 1 est retardée et l'émission du photon 2 avancée pour B. Si l'émission du photon 2 est avancée à quelle distance sera le photon 2 du fait de cette différence temporelle*? Il sera a moins de 300 001 kilomètres de B quand B arrive en C. A condition que les événements simultanés pour A ne soient pas simultanés pour B.
Cordialement
Cela voudrait dire que B remonte le temps*? Car selon cette conception des choses ou le photon recule ou B remonte le temps.Vous pouvez arrêter B juste après C, ce qui n'entraine aucune variation de distance, ce n'est pas la distance qui change , mais le temps comme signalé dans les messages précédents.
L’arrêt de 1km/sec en une petite fraction de seconde (sinon c'est sans intérêt) produira une accélération telle que vous aurez un saut temporel pour les points du repère B à 300 000km qui compensera le décalage, c'est un effet de relativité générale..
Et comment résolvez vous cette difficulté*?*:
«*On peut prolonger B de deux baguettes suffisamment grandes pour être en contact avec les deux sources lumineuses quand B est en C et marquer chacune de ces baguettes au bon endroit à l'émission des deux photons. (bien sur c'est une expérience de pensée car les baguettes devraient être très grandes). Dans ce cas la les événements 1 et 2 ne serait plus indéterminés pour B. On aurait de chaque coté une certaine longueur entre B et chacune des marques. Il n'y aurait que deux marques de faites du fait qu'il n'y a que deux événements. On peut donc penser que les événements simultanés pour A sont aussi simultanés pour B. En effet si les événements n'étaient pas simultanés pour B il y aurait quatre marques de faites, deux du point de vue de A, deux du point de vue de B, il faudrait alors quatre événements et non pas deux.*»
merci de votre réponse
Cordialement
Le principe même du repère inertiel est que l'on a le droit de le prolonger indéfiniment, les baguettes n'apportent rien de nouveau, c'est simplement la matérialisation du repère inertiel de B. Comme vu auparavant, il n'y a pas de différence de distance, les deux événements émission sont situés à 300 000 km de A et à 299 999km de B et C d'un coté et à 300 001 km de l'autre coté sans distorsion sensible.«*On peut prolonger B de deux baguettes suffisamment grandes pour être en contact avec les deux sources lumineuses quand B est en C et marquer chacune de ces baguettes au bon endroit à l'émission des deux photons. (bien sur c'est une expérience de pensée car les baguettes devraient être très grandes). Dans ce cas la les événements 1 et 2 ne serait plus indéterminés pour B. On aurait de chaque coté une certaine longueur entre B et chacune des marques. Il n'y aurait que deux marques de faites du fait qu'il n'y a que deux événements. On peut donc penser que les événements simultanés pour A sont aussi simultanés pour B. En effet si les événements n'étaient pas simultanés pour B il y aurait quatre marques de faites, deux du point de vue de A, deux du point de vue de B, il faudrait alors quatre événements et non pas deux.*»
Simplement du point de vue de A et C, ils arrivent en même temps en A puisqu'ils sont à égale distance et B arrive en A au même moment que les deux éclairs.
Je ne comprends pas pourquoi vous voyez 4 événements, sur les baguettes de B ils sont seulement deux aux deux distances indiquées.
Du point de vue de B, c'est A et C qui se déplacent à 1km/s. Les éclairs se produisent à des distances de B différentes (celles de C au moment de l'émission) et ne sont pas simultanées, celle qui est 300 001 km se produit 6,66µs avant l'autre.
Les éclairs arrivent donc en B simultanément. Pourquoi A qui est à égale distance des points d'émission reçoit-il également les éclairs simultanément?
si B ne connait pas la relativité, il dira que la vitesse de la lumière n'est pas la même des deux cotés pour A, s'il l'a comprise, alors il pourra dire : ces événements émissions n'ont pas le même écart pour A qui se déplace que pour moi, le calcul de l'écart lui donnera les 6,6µs de différence et dira : mais c'est bien sur, pour A les deux émissions sont simultanés.
En ce qui concerne l'arrêt de B juste après C, le calcul en RG est sans doute hors niveau de ce fil, il suffit de savoir que la synchronisation des horloges n'est possible que dans un repère inertiel. Si vous essayez d'accélérer un repère, vous détruisez la synchronisation.
Comprendre c'est être capable de faire.
Merci pour votre réponses
Je ne sais pas si on se comprend bien, peut être que dans mon raisonnement il y a une erreur.
On considère*:
1) Que les événements 1 et 2 sont simultanés pour A les marques sur les baguettes de B se font quand B est en C.
2) Que les événements 1 et 2 ne sont pas simultanés pour B donc de ce point de vue les marques sur les baguettes de B devraient se faire quand B n'est pas en C.
(Si les deux marques se font quand B est en C du point de vue de B alors les deux événements serait simultanés pour B aussi, les distances avec les sources lumineuses ne serait alors pas les bonnes).
Donc les marques qui devraient être faites sur les baguettes du point de vue de B devraient être a une place différente que celles faites du point de vue de A.
Et comme il n'y a que deux marques sur les baguettes de B il y a une erreur.
Cordialement
oui
Cela n'est valable que si on accepte la RR d'une part, et si on prend la convention idoine pour ce qui est de la synchronicité pour B.et ne sont pas simultanées, celle qui est 300 001 km se produit 6,66µs avant l'autre.
Je pense que l'absence de progression de ces longs échanges répétitifs vient du choix. Cette seule expérience ne permet pas de décider entre d'une part un modèle avec temps absolu et vitesse de la lumière variable et d'autre part la RR, c'est à dire synchronicité arbitraire (même s'il y a un choix plus simple que d'autres dans divers cas, dont l'espace-temps plat de la RR) et vitesse de la lumière localement universelle.si B ne connait pas la relativité, il dira que la vitesse de la lumière n'est pas la même des deux cotés pour A, s'il l'a comprise, alors il pourra dire : ces événements émissions n'ont pas le même écart pour A qui se déplace que pour moi, le calcul de l'écart lui donnera les 6,6µs de différence et dira : mais c'est bien sur, pour A les deux émissions sont simultanés.
Si on se limite à cette seule expérience, et en tenant compte de la préférence de l'intuition humaine pour le temps absolu, il paraît clair que la conclusion est que temps absolu et vitesse de la lumière variable est "plus simple". Comme écrit dans le passé sur ce fil, les raisons amenant à préférer la RR (ou plutôt la RG) sont à chercher ailleurs.
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Hors sujet, mais je permets d'indiquer mon sentiment que cela ne veut pas dire grand chose. (Déjà "dans un repère" reste une expression de peu de sens, malgré son usage courant. Et, pour prendre un exemple, les horloges à la surface de la Terre sont bien "synchrones", et il n'existe pourtant pas de référentiel inertiel relativement auquel cette surface est immobile.)il suffit de savoir que la synchronisation des horloges n'est possible que dans un repère inertiel.
Dernière modification par Amanuensis ; 14/05/2012 à 14h02.
À Amanuensis
Je ne sais pas si vous avez vu mon message précédent en effet nos deux messages sont arrivés en même temps.
Il y a d'ailleurs des fautes d'orthographes dans mon message.
Cordialement