je ne suis pas un physicien , mais j'ai déja fait des passerelles entre des donjons de la MQ et de la RG , donc , je ne suis pas n'importe quel autodidacte (marratonien )et l'histoire d'évoltution des idées physique et mathématique le démontre ,exp ,la théorie du Newton , RR , équation de schrodiguer , équation de Dirac ....., soit notre vision physique du formalisme est incompléte , on lui fait une réinterpétation physique pour le suivre ou pour le généraliser ....
En prenant "réalité physique" comme le concept flou qui semble être usuellement couvert, elle ne doit pas dépendre d'un choix arbitraire de système de coordonnées.
Peut-être la question est-elle relative au fait qu'on utilise couramment un système de coordonnées avec une singularité sur l'horizon du trou noir. Mais il s'agit là d'un artefact, comparable au fait que le système de coordonnées latitude-longitude vu comme une portion de R² (concrétisé par une carte de Mercator) crée deux singularités, une à chaque pôle. Suffit de changer le système pour faire disparaître ce genre de singularité, ce qui permet d'y voir un artefact sans sens physique. (1)
Personnellement "constater depuis un système de coordonnées" ne me paraît pas avoir grand sens. Cela amalgame deux aspects très différents, le premier étant la perception et le second la "mise en coordonnées". La perception qu'a un observateur loin d'elle d'une zone en effondrement inéluctable (un trou noir en devenir) est un phénomène en lui-même, ce n'est pas une "illusion" ; son étude est celle, entre autre, du comportement de la lumière qui intervient dans la perception.Et que ce qui nous apparait comme une illusion, le ralentissement des photons à l'apprche des TN, n'en est pas une et correspond à une réalité physique, la vitesse des photons dminue à l'approche des TN; car c'est ce que nous constatons depuis notre système de coordonnées?
Le choix arbitraire du système de coordonnées va avoir des effets sans sens physique, et je range dans cette catégorie le "ralentissement des photons". Et si illusion il y a, c'est celle de donner un sens physique à ces effets.
Par contre, l'idée que l'observateur ne pourra jamais percevoir le passage de l'horizon a lui un sens physique, il n'est pas illusoire (et c'est cela le principal "effet" du ralentissement perçu (2)). Toute la difficulté est de se faire une idée mentale de ce phénomène sans tomber dans des "illusions" dues à une confusion entre le phénomène et sa modélisation sous forme d'une description dépendant fortement d'un choix particulier de système de coordonnées.
(1) Un concept fort utile, mais qui ne ressort pas des maths élémentaires, est celui d'atlas d'une variété différentielle. Un atlas est un ensemble de cartes, et est une notion nécessaire parce qu'on ne peut pas, en général avoir un système de coordonnées (= une carte ) qui couvre toute la variété sans singularité. Ainsi, une sphère nécessite au minimum deux cartes si on veut que pour chaque point on puisse trouver une carte où il est présent (et donc pas une singularité). Dans de le cas de la variété 4D qu'est l'espace-temps, on peut avoir de même des "cartes partielles" qui excluent une partie de l'espace-temps. C'est le cas du système de coordonnées "plat" d'un observateur loin d'un trou noir, qui exclut "l'intérieur" du "trou noir". Cela signifie juste qu'il faut plusieurs "cartes" pour couvrir correctement cette partie de l'espace-temps, ce qui n'a rien de plus choquant que l'idée qu'il faut au moins deux cartes pour couvrir une sphère.
(2) il doit être facile de proposer un autre système de coordonnées 1-3 coïncidant avec le temps propre de la ligne d'observateur, pour lequel donc cet effet d'asymptote resterait (à cause du choix de la coïncidence avec le temps propre et du choix que t soit de genre temps), mais selon lequel la vitesse-coordonnée (au sens dX/dt, X et t étant respectivement les coordonnées de genre espace et la coordonnée de genre temps) varierait différemment--tout en convergeant à 0 comme limite pour t divergeant à l'infini. Le phénomène est la perception d'une vitesse-coordonnée tendant vers 0 quand la coordonnée t tend vers l'infini, pas le "ralentissement" lui-même.
C'est un article en anglais, ça !
Le copier-coller était-il celui de la "traduction Google" ? (Cela y ressemble effectivement.)
Perso, cela ne me semble pas plus acceptable que le langage SMS.
Donner l'URL à la page en anglais m'aurait semblé préférable. a) pas besoin de faire un copier-coller d'un texte sur le Web (en plus, sans citer la source exacte, c'est illégal et même hors charte FS), b) ceux qui ne peuvent pas lire l'anglais sont libres d'obtenir une traduction par les moyens qu'ils préfèrent, y compris la "traduction" Google...
Merci pour la remarque .C'est un article en anglais, ça !
Le copier-coller était-il celui de la "traduction Google" ? (Cela y ressemble effectivement.)
Perso, cela ne me semble pas plus acceptable que le langage SMS.
Donner l'URL à la page en anglais m'aurait semblé préférable. a) pas besoin de faire un copier-coller d'un texte sur le Web (en plus, sans citer la source exacte, c'est illégal et même hors charte FS), b) ceux qui ne peuvent pas lire l'anglais sont libres d'obtenir une traduction par les moyens qu'ils préfèrent, y compris la "traduction" Google...
cordialement
C'est bien d'accord, cette partie est parfaitement claire. le marquage est simultané du point de vue de C aussi.Concentrons nous sur les questions : 1) des marques réalisées sur les bouts des baguettes quand B est en mouvement, 2) de la simultanéité ou de la non simultanéité des événements pour A et pour B.
Pour l'expérience du marquage des baguettes il faut que la baguette 1 est plus de 299 999 kilomètres et la baguette 2 plus de 300 001 kilomètres.
Du point de vue de A le marquage des baguettes se fait quand B est en C. La marque sur la baguette 1 sera a 299 999 kilomètres de B, la marque sur la baguette 2 sera a 300 001 kilomètres de B.
On peut appeler événement B1 la réalisation de la marque 1 sur la baguette 1 et événement B2 la réalisation de la marque 2 sur la baguette 2. Les événements que B prends en compte ce sont les événements B1 et B2. Le décalage existant entre l'événement 1 et l'événement B1 et le décalage existant entre l'événement 2 et l'événement B2 sont les mêmes et ne sont pas suffisants pour expliquer la différence de parcours de 1 kilomètre que devra effectuer la lumière dans un sens ou dans l'autre. On ne peut pas comparer se décalage avec le chemin que parcours B pendant que la lumière avance de 1 kilomètre, la il s'agit du chemin que parcourt B pendant que la lumière passe d'un objet en contact à l'autre. [/QUOTE]Il y a un léger décalage des marques sur les baguettes par rapport aux distances que je viens de donner, du fait que B est en mouvement et qu'il faut un certain temps pour réaliser les marques. Ce décalage ne signifie pas que les événements 1 et 2 ne sont pas simultanés pour B. Le décalage est infime il est celui que la lumière met pour passer par exemple de la source de la lumière 1 à la baguette 1 alors qu'elles sont en contact.
Cet écart peut être aussi petit que l'on veut, il n'est pas significatif. Ce n'est pas le décalage du au fait que B se déplace, il faut voir les formules données par azizovsky. C'est le terme principal de décalage de la coordonnée temps qui crée l'écart.
Il faut répéter que les deux éclairs ne sont pas simultanés pour B, car ils le sont pour A et C, le terme de décalage du temps interdit que la simultanéité soit la même, pour deux observateurs en mouvement l'un par rapport à l'autre. Dans votre problème cet effet est net car les distances sont très grandes.Du point de vue de B les marques sur les baguettes sont aussi réalisés quand B est en C, au décalage près que nous avons évoqué, donc les deux événements sont aussi simultanés pour B, il n'y a en effet que deux marques sur les baguettes.
Ce n'est pas moi qui a introduit ces effets pour la première fois, au stade de l'explication il faut mieux l'oublier et se contenter de compter seulement les km et les µs. Les effets de contraction n'interviennent que pour des mm ou des psec. Cela permet de dire que B est pratiquement en C quand les éclairs sont émis, bien qu'ils ne soient pas simultanés pour lui. Il ne peut pas y avoir de correction, car pour C, les éclairs sont simultanés et B se trouve bien à cet emplacement quand ils se produisent.Les baguettes de B sont soit raccourcies soit rallongées du fait de la vitesse de B, le temps de B est soit plus lent soit plus rapide que le temps de A, donc dans les deux cas cela ne règle pas la question de la différence de distance entre la distance 1 (marque 1 à B) et la distance 2 (marque 2 à B).
Pourquoi deux points de vue différents au même endroit : parce que les événements considérés se produisent à 300 000 km de là, et ne sont pas vus en temps réel.
Nous avons vu l'autre cas, quand B est en A, les deux rayons arrivent en même temps pour les deux au même endroit. Et bien sur , aucun écart n'est permis.
Cordialement.
Comprendre c'est être capable de faire.
Salut , par exemple dans : Synchronisation dans les repères tournants - Wikipédia , ...Il existe une infinité de manière de synchroniser les horloges. En fait, il est possible d'effectuer des transformations quelconques des coordonnées sans changer la physique.
C'est juste une transformation mathématique, elle ne doit pas avoir de conséquence sur les phénomènes physiques. C'est une simple reparamétrisation des coordonnées. Si ce sont les coordonnées d'un repère "physique" donné (c’est-à-dire un repère attaché à un objet physique), les transformations sont dites internes au repère. On dit aussi que c'est une transformation de jauge
wikipédia
donc , parmi tous les jauges possibles , il y'a une et une seulle qui'a un sens naturelle (physique), les autres ne sont que formelles .
c'est comme décrire un seul phénomène par des formalismes différents (plusieures représentations) , mais il y'a toujours un seul et un seul qui contient les bases des concepts physiques représentés (il s'est rasé par un rasoir d'eckham ) ,les autres ne sont que artefacts formelles .
Merci pour votre réponseIl faut répéter que les deux éclairs ne sont pas simultanés pour B, car ils le sont pour A et C, le terme de décalage du temps interdit que la simultanéité soit la même, pour deux observateurs en mouvement l'un par rapport à l'autre. Dans votre problème cet effet est net car les distances sont très grandes.
Mon raisonnement n'est pas entièrement valable une variation des distances et du temps pouvant expliquer le paradoxe évoqué.
Mais on peut faire cette remarque pour choisir entre les deux solutions et savoir si les événements 1 et 2 sont simultanés pour B aussi.
Si pour B les émissions des deux rayons lumineux ne sont pas simultanés, la réalisation des marques ne le sera pas non plus.
Il peut y avoir un certain décalage de temps entre A et B mais pas plusieurs car d'une part le temps est le même dans tout le référentiel de A ou dans tout le référentiel de B, et d'autre part on prend la même distance de comparaison et le même mouvement entre les différents points du référentiel A et les différents points du référentiel B. Donc pourquoi y aurait il un décalage de temps différent entre les deux rayons lumineux ou entre la réalisation des deux marques du point de vue de B*?
Cordialement
bonsoir, et merci pour ta réponse détaillée
En prenant "réalité physique" comme le concept flou qui semble être usuellement couvert, elle ne doit pas dépendre d'un choix arbitraire de système de coordonnées.
Peut-être la question est-elle relative au fait qu'on utilise couramment un système de coordonnées avec une singularité sur l'horizon du trou noir. Mais il s'agit là d'un artefact, comparable au fait que le système de coordonnées latitude-longitude vu comme une portion de R² (concrétisé par une carte de Mercator) crée deux singularités, une à chaque pôle. Suffit de changer le système pour faire disparaître ce genre de singularité, ce qui permet d'y voir un artefact sans sens physique. (1)
(1) Un concept fort utile, mais qui ne ressort pas des maths élémentaires, est celui d'atlas d'une variété différentielle. Un atlas est un ensemble de cartes, et est une notion nécessaire parce qu'on ne peut pas, en général avoir un système de coordonnées (= une carte ) qui couvre toute la variété sans singularité. Ainsi, une sphère nécessite au minimum deux cartes si on veut que pour chaque point on puisse trouver une carte où il est présent (et donc pas une singularité). Dans de le cas de la variété 4D qu'est l'espace-temps, on peut avoir de même des "cartes partielles" qui excluent une partie de l'espace-temps. C'est le cas du système de coordonnées "plat" d'un observateur loin d'un trou noir, qui exclut "l'intérieur" du "trou noir". Cela signifie juste qu'il faut plusieurs "cartes" pour couvrir correctement cette partie de l'espace-temps, ce qui n'a rien de plus choquant que l'idée qu'il faut au moins deux cartes pour couvrir une sphère.
On peut expliquer la formation d'un trou noir peut aussi s'expliquer comme la formation d'une zone où la vitesse de la lumière devient nulle. l'énergie se fige. et quand un photon arrive sur l'horizon d'un TN, sa vitesse devient nulle et l'horizon du TN s'élargit. le ralentissement des photons n'est peut être pas une illusionPersonnellement "constater depuis un système de coordonnées" ne me paraît pas avoir grand sens. Cela amalgame deux aspects très différents, le premier étant la perception et le second la "mise en coordonnées". La perception qu'a un observateur loin d'elle d'une zone en effondrement inéluctable (un trou noir en devenir) est un phénomène en lui-même, ce n'est pas une "illusion" ; son étude est celle, entre autre, du comportement de la lumière qui intervient dans la perception.
Le choix arbitraire du système de coordonnées va avoir des effets sans sens physique, et je range dans cette catégorie le "ralentissement des photons". Et si illusion il y a, c'est celle de donner un sens physique à ces effets.
Ce qui veut dire que le photon doit parcourir une distance infinie s'il veut atteindre l'horizon du TN? Donc les TN que nous observons sont à une distance infinie de nous? Le photon n'atteint donc jamais l'horizon du TN, ni la matière?Par contre, l'idée que l'observateur ne pourra jamais percevoir le passage de l'horizon a lui un sens physique, il n'est pas illusoire (et c'est cela le principal "effet" du ralentissement perçu (2)). Toute la difficulté est de se faire une idée mentale de ce phénomène sans tomber dans des "illusions" dues à une confusion entre le phénomène et sa modélisation sous forme d'une description dépendant fortement d'un choix particulier de système de coordonnées.
(2) il doit être facile de proposer un autre système de coordonnées 1-3 coïncidant avec le temps propre de la ligne d'observateur, pour lequel donc cet effet d'asymptote resterait (à cause du choix de la coïncidence avec le temps propre et du choix que t soit de genre temps), mais selon lequel la vitesse-coordonnée (au sens dX/dt, X et t étant respectivement les coordonnées de genre espace et la coordonnée de genre temps) varierait différemment--tout en convergeant à 0 comme limite pour t divergeant à l'infini. Le phénomène est la perception d'une vitesse-coordonnée tendant vers 0 quand la coordonnée t tend vers l'infini, pas le "ralentissement" lui-même.
ce sont des questions, n'y vois rien d'ironique de ma part.
cordialement,
Zefram
je peux croire que je sais, mais si je sais que je ne sais pas, je ne peux pas croire
BonsoirIl faut répéter que les deux éclairs ne sont pas simultanés pour B, car ils le sont pour A et C, le terme de décalage du temps interdit que la simultanéité soit la même, pour deux observateurs en mouvement l'un par rapport à l'autre. Dans votre problème cet effet est net car les distances sont très grandes.
Source lumineuse 1 ….........................C... .A............................ ...Source lumineuse 2
-------------------------------------> B
les deux sources lumineuses sont a 300 000 kilomètres de A
C est situé a 1 kilomètre de A
On considère que la vitesse de la lumière est 300 000 kilomètres par seconde
Les deux Sources lumineuses C et A ont le même temps propre
B est en mouvement de 1 km seconde par rapport aux deux sources lumineuses C et A
Quand B arrive en C chaque source lumineuse émet un photon (on peut avoir synchronisé les événements du point de vue de A)
Photon 1 émis par la source lumineuse 1 = événement 1
Photon 2 émis par la source lumineuse 2 = événement 2
Les deux photons rejoindront B quand il sera sur le point A
Les événements 1 et 2 sont simultanés pour A.
Si on considère que les événements 1 et 2 ne sont pas simultanés pour B.
Du point de vue de A quand B arrive en C le photon 2 n'a pas encore été émis.
Du point de vue de B quand B arrive en C le photon 2 a déjà parcouru 1 kilomètre.
Il y aurait donc une erreur.
Cordialement
Bonjour,
du point de vue de A les deux photons atteignent B simultanément parce que B est à son niveau.
Du point de vue de B le photon 2 l'atteint en premier suivi du photon 1
du point de vue de B le photon 2 a été émis avant le photon1
cordialement,
Zefram
je peux croire que je sais, mais si je sais que je ne sais pas, je ne peux pas croire
Merci de répéter le problème. Sur les dernières phrases, il y a encore confusion, les émissions sont simultanés du point de vue de A et C et se produisent exactement quand B est en C, c'est la base du problème.
Source lumineuse 1 ….........................C... .A............................ ...Source lumineuse 2
-------------------------------------> B
les deux sources lumineuses sont a 300 000 kilomètres de A
C est situé a 1 kilomètre de A
On considère que la vitesse de la lumière est 300 000 kilomètres par seconde
Les deux Sources lumineuses C et A ont le même temps propre
B est en mouvement de 1 km seconde par rapport aux deux sources lumineuses C et A
Quand B arrive en C chaque source lumineuse émet un photon (on peut avoir synchronisé les événements du point de vue de A)
Photon 1 émis par la source lumineuse 1 = événement 1
Photon 2 émis par la source lumineuse 2 = événement 2
Les deux photons rejoindront B quand il sera sur le point A
Les événements 1 et 2 sont simultanés pour A.
Si on considère que les événements 1 et 2 ne sont pas simultanés pour B.
Du point de vue de A quand B arrive en C le photon 2 n'a pas encore été émis.
Du point de vue de B quand B arrive en C le photon 2 a déjà parcouru 1 kilomètre.
La dernière phrase est correcte, pour B le photon (la lumière) émise du coté A a déjà parcouru 1 km, alors que la lumière émise du coté opposé ne sera émise qu'avec 1 km de retard
Merci ZF de ne pas confondre les émissions avec les réceptions de lumière. L'énoncé de base du problème est bien que la lumière arrive simultanément en A lorsque B s'y trouve, les réceptions sont donc bien simultanées pour tous, car ce sont des événements dans un lieu unique. Ce qui n'est pas le cas pour les émissions. C'est assez embrouillé pour Franck, sans en rajouter.
Vous remarquerez que je préfère utilisé le mot lumière ou éclair, que photons. En effet ce problème n'est pas quantique, il suppose seulement une émission assez brève pour avoir une précision de la µsec.
Cela pourrait être une impulsion radar ou laser comme on utilise pour mesurer la distance de la Lune ou des planètes proches, une telle impulsion contient quelque 1030 photons.
Comprendre c'est être capable de faire.
Suite à mon message précédent, j'aurais du préciser, un fait évident et un autre qui l'est moins :
1- Si deux événements se produisent au même endroit en même temps , ils sont simultanés pour tous les observateurs, et c'est bien normal, puisqu'il s'agit de fait d'un seul événement.
2 - Si deux événements se produisent en deux lieux différents, ils peuvent être simultanés pour un observateur X privilégié ayant une certaine vitesse. Ils sont alors simultanés pour tous les observateurs ayant la vitesse de X dans la direction qui joint les deux lieux. Ils ne sont pas simultanés pour les observateurs ayant une vitesse différente.
Comprendre c'est être capable de faire.
Bonjour
Dans 1030 photons, à quoi se rapporte 1030 ? Si on se refère à la ligne précédente ( une précision de la µsec ), il apparaît que le photon est ici utilisé comme unité de durée. et ça, je ne le vois pas clairement...Ou s'agit-il d'autre chose ?
Merci
Merci de répéter le problème. Sur les dernières phrases, il y a encore confusion, les émissions sont simultanés du point de vue de A et C et se produisent exactement quand B est en C, c'est la base du problème.
La dernière phrase est correcte, pour B le photon (la lumière) émise du coté A a déjà parcouru 1 km, alors que la lumière émise du coté opposé ne sera émise qu'avec 1 km de retard
Bonjour
Merci de votre réponse
Le rayon 2 pour A est émis quand B arrive en C
le rayon 2 pour B serait émis avant que B n'arrive en C
Il y aurait donc une erreur le rayon 2 ne peut pas être à la fois juste émis et donc être à la même place que la source de lumière 2 et avoir déjà parcouru 1 kilomètre. La place des photons est différente de 1 kilomètre selon le point de vue.
Ce problème semble indiquer que les événements 1 et 2 simultanés pour A sont aussi simultanés pour B.
Oui mais alors cela montre que le rayon 1 et le rayon 2 ne vont pas parcourir la même distance par rapport à B en 1 seconde. Le rayon 1 va parcourir 299 999 kilomètres le rayon 2 va parcourir 300 001 kilomètres. Le ralentissement ou l'accélération du temps n'y change rien. En effet les distances parcourues par la lumière seraient soit plus longues soit plus courtes des deux cotés.
Cordialement
Quand B est en C, il est à la fois en C pour A et pour B, c'est ce qui permet de comparer la position du photon 2 du point de vue de A et du point de vue de B quand B est en C.
cordialement
Salut , du coté de (2) on 'a L(2)/t(2)=a.L(1)/a.t(1)=c (on'a c =distance /temps , la distance se contracte par rapport un l'observateur ,ce qu'est l'inverse pour l'autre : il se dilate , ce qui compense en MÊME temps que le temps qui se dilate , et pour L(1) c'est l'inverse c'est la distance qui se dilate (qui en vérité se contracte par rapport l'un deux comme : L =a. l , ce qui donne : l=k.L ) , ce qui donne dans les deux cas c= aL/at , avec k =1/a ,facteur de L orentz.
A partir du moment ou on peut prolonger les référentiels dans différentes directions, les différents référentiels se trouvent en contact les uns avec les autres , les différents points d'un référentiel ayant le même temps propre ce qui se passe pour A devrait se passer aussi pour B, même si A et B ont un temps propre différent.
Cordialement
la formulle exacte c'est k.a.L/t=1.c=c .Salut , du coté de (2) on 'a L(2)/t(2)=a.L(1)/a.t(1)=c (on'a c =distance /temps , la distance se contracte par rapport un l'observateur ,ce qu'est l'inverse pour l'autre : il se dilate , ce qui compense en MÊME temps que le temps qui se dilate , et pour L(1) c'est l'inverse c'est la distance qui se dilate (qui en vérité se contracte par rapport l'un deux comme : L =a. l , ce qui donne : l=k.L ) , ce qui donne dans les deux cas c= aL/at , avec k =1/a ,facteur de L orentz.
SVP , voir la discution sur le temps propre , c'est un invaraint (localement : référentiéls 'Minkowskien'), c'est le temps physique le plus simple pour paraphrasé deedee81 qui'a paraphrasé Kip torn, si non, chaque fois qu'ont prend la voiture , on doit régler nos montres l'un par rapport à l'autreA partir du moment ou on peut prolonger les référentiels dans différentes directions, les différents référentiels se trouvent en contact les uns avec les autres , les différents points d'un référentiel ayant le même temps propre ce qui se passe pour A devrait se passer aussi pour B, même si A et B ont un temps propre différent.
Cordialement
Désolé , je me suis trempé , j'ai un tas de papiérs , la formule c'est soit c=al/t d'un coté , et c=l/at d'un autre coté car on'a deux conditions dx=0 pour la dilatation du temps et dt=0 pour la contraction du longueure .
aL/t =l/t=c=l/KT=l/t , avec L =[c,(2)] et T temps entre [(1),c] , t et l temps et longueur pour A
Salut , la formulle c'est k.a.L(2).T(2)=l/t=c = k.a.L(1)/.T(1)=k.a.L(1)/.T(1)] = l/c , le probléme c'est dans un cas k est pour le temps et dans l'autre cas et pour l'espace , de même pour a .
correction , la formulle c'est k.a.L(2)/T(2)=l/t=c = k.a.L(1)/.T(1)=k.a.L(1)/.T(1)] = l/c , le probléme c'est dans un cas k est pour le temps et dans l'autre cas et pour l'espace , de même pour a , la vérité c'est difficile de savoir où on 'ai avec les notations , qui se dilate par rapport à quoi ,qui se contracte et faire l'inverse pour conserver les conditions dx=0 ou dt =0
je crois , j'ai dit ce qu'il faut , ce sujet ma pris énnormément de mon temps ...., bonne continuation , .
Afin de démontrer que les événements 1 et 2 simultanés pour A sont aussi simultanés pour B
Source lumineuse 1 ….........................C... .A............................ ...Source lumineuse 2
-------------------------------------> B
les deux sources lumineuses sont a 300 000 kilomètres de A
C est situé a 1 kilomètre de A
On considère que la vitesse de la lumière est 300 000 kilomètres par seconde
Les deux Sources lumineuses C et A ont le même temps propre
B est en mouvement de 1 km seconde par rapport aux deux sources lumineuses C et A
Quand B arrive en C chaque source lumineuse émet un photon (on peut avoir synchronisé les événements du point de vue de A)
Flash 1 émis par la source lumineuse 1 = événement 1
Flash 2 émis par la source lumineuse 2 = événement 2
Les deux photons rejoindront B quand il sera sur le point A
On peut prolonger B de deux baguettes, le Flash 1 faisant une marque 1 sur la baguette 1 quand B est en C du point de vue de A, le Flash 2 faisant une marque 2 sur la baguette 2 quand B est en C du point de vue de A. On peut rajouter un flash 3 placé en C qui fait une marque 3 sur B quand B est en C du point de vue de A.
Ce que l'on peut dire pour B c'est que la perception des distances de la marque du flash 3 aux marques du flash 1 et 2 n'est pas la même que pour A.
Mais comme le flash 3 et la marque du flash 3 sont deux événements simultanés pour B (a un infime décalage près). On ne peut pas décaler le moment ou se font les marques 1 et 2 pour B car cela décalerait la marque 3. Donc les marques 1 et 2 se font en même temps pour B.
Et comme l' événement1 et la marque 1 sont simultanés pour B, et l'événement 2 et la marque 2 sont simultanés pour b, on peut donc dire que l'événement 1 et 2 simultanés pour A sont aussi simultanés pour B.
Cordialement
Philippe de Bellescize
Heure de l'événement pour les baguettes de B
Le temps pour les baguettes de B est le même pour tous les points des baguettes de B.
on a pu d'ailleurs mettre des horloges synchronisés aux divers points. Comme le mouvement est le même les horloges resteront synchronisés.
Donc ce qui se passera a une certaine heure sur les baguettes de B, pourra être enregistré comme s'étant passé à la même heure pour B. Bien que la distance a B ne soit pas la même.
Le point sur les baguette de B pourra dire a B il y a eu tel événement a telle heure.
Cordialement