Voilà une question difficile dès qu'on s'intéresse à la physique des particules.
La modélisation de l'énergie de l'électron en orbite existe mais modélisation la + précise concerne semble-t-il le cas de l'hydrogène qui comporte un seul électron. Après il faut tenir compte des forces électrostatiques entre électrons sur différentes orbitales en concurrence avec l'attraction du noyau et là, le calcul devient compliqué.
Je suis en train de lire un livre d'un polytechnicien sur la MQ qui suscite des tas de questions, mais des questions de base encore que j'imagine que tout ce qu'il dit a du être vérifié ultra-vérifié. Donc fiable..
Voici quelque unes de ces assertions:
1° il existe une corrélation entre état flou et et état méta-stable c.-à-d. dire que toute particule est dans un état indéterminé avant qu'on ne l'observe. Le continu et le discret sont 2 possibilités pour la particule mais la quantition (terme qui revient chez lui et dont je ne comprends pas très bien la signification) est surnommée aussi par lui "menace quantique", concept aussi ardu à concevoir et semblant faire partie de sa propre terminologie et conceptualisation.
2° Selon ce que j'ai lu l'énergie d'un électron est de + en + plus élevée au fur et à mesure qu'il progresse vers une orbite (orbitale serait + approprié dans ce cas) éloignée du noyau.
Ces dernières sont repérées par les lettres K,L,M,N etc. donc l'énergie sur une couche périphérique est maximum. Or c'est sur cette couche qu'un photon incident d'énergie E=hν peut le plus facilement détacher la particule qui deviendra électron libre. N'y a-t-il pas contradiction ? Il me semble dans mes souvenirs que plus un électron se rapprochera du noyau en quittant son orbite (i.E. se retrouvera par exemple de la couche N à M) , il émettra un photon. Réciproquement pour le faire atteindre une couche supérieure donc de + haute énergie il faudra lui fournir un photon incident.
Mais la longueur d'onde de ce photon incident rencontrant l'électron doit exactement correspondre à la différence d'énergie associée à la nouvelle énergie qu'il sera censée avoir sur cette orbitale + éloignée, me semble-t-il pour que la migration de l'électron se produise
Si c'est le cas dans la théorie il y aurait donc une extrêmement faible probabilité pour que l'électron quitte son orbitale pour une autre ? Il ne le pourrait , en suivant la théorie qu'en admettant qu'il soit impacté par un photon qui ait PILE la bonne longueur d'onde, donc la bonne énergie en vertu de la loi de Planck.
De plus intuitivement il me semble que plus l'électron se rapproche du noyau au niveau orbital, plus les forces électromagnétiques deviennent gigantesques et donc son énergie cinétique et potentielle doivent devenir énormes % à un électron sur couche périphérique. Et c'est là qu'il me semble que l'électron doit être le plus stable, sur des couches proches du noyau.
Bref tout cela m'embrouille un peu, déjà que ce sont des souvenirs un peu loin
Je m'excuse par avance si ma question parait embrouillée et pas suffisamment claire
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