Qui l'eut cru, on va faire de Tom200 un relativiste !
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Qui l'eut cru, on va faire de Tom200 un relativiste !
Bon, ok, on voit que l’hypothèse de l’isotropie est exploitée sur le plan physique par impossibilité de mesurer la vitesse aller simple de la lumière dans les mouvements transactionnels. mais dès que ça tourne la mesure est faisable et l’hypothèse physique s’effondre.
Cela étant, c’est comme les fuseaux horaires, on ne va pas s’amuser à utiliser sur la terre entière le temps universel sous prétexte qu’il est plus vrai. Il est beaucoup moins pratique. Donc la synchronisation d’Einstein doit rester en pratique.
Et non lis ci dessus, je suis un absolutiste.Qui l'eut cru, on va faire de Tom200 un relativiste !
Dernière modification par Tom200 ; 27/11/2022 à 11h39.
l'autre point de vue ne fournit pas non plus de procédure opérationnelle de synchronisation puisque tu ne sais pas dans quel référentiel tu dois la faire
sauf que l'accélération propre est mesurable alors que la vitesse absolue ne l'est pas, donc tu ne peux pas trouver l'accélération en dérivant une quantité que tu ne connais pas.b) ceci semble cacher que l'accélération propre est un changement du vecteur vitesse absolu d'un objet.
Remarque : en présence de force d'inertie/gravitation, l'accélération n'est pas la dérivée de la vitesse, un objet immobile dans le référentiel terrestre a une accélération propre.
sauf que ça ne marche pas à cause de l'universalité de la gravitation. Ce que tu fais en changeant de référentiel, c'est de construire des référentiels en chute libre "quasi-galiléens", attachés à une origine (Terre, Soleil, centre de la Galaxie ...) mais en passant à l'échelle cosmologique, tu n'as plus de centre défini auquel attacher ton référentiel.Les tortues ont la même vitesse par rapport au disque, mais pas par rapport au laboratoire, une des deux tortues a un temps propre plus important que celui du disque, ce qui signifie qu'elle va moins vite que le disque dans le laboratoire. On peut refaire l'expérience avec la terre et on trouvera que le référentiel géocentrique est plus fondamental, on peut faire pareil avec l'orbite terrestre et on trouvera que le centre de gravité du système solaire est plus fondamental, on peut continuer comme cela jusqu'à un référentiel où il est impossible de mettre en évidence un mouvement plus lent, on est arrivé au zéro de la vitesse.
Dans le référentiel cosmologique. C'est lui qui est à la vitesse zéro. Localement l'info de la vitesse absolue est portée par le CMB.l'autre point de vue ne fournit pas non plus de procédure opérationnelle de synchronisation puisque tu ne sais pas dans quel référentiel tu dois la faire
A l'échelle cosmologique il faut tenir compte de 4 dimensions et non de 3, et on trouve un centre universel. Mais je préfère ne pas rentrer dans ces considérations qui pourraient être jugées trop personnelles.lsauf que ça ne marche pas à cause de l'universalité de la gravitation. Ce que tu fais en changeant de référentiel, c'est de construire des référentiels en chute libre "quasi-galiléens", attachés à une origine (Terre, Soleil, centre de la Galaxie ...) mais en passant à l'échelle cosmologique, tu n'as plus de centre défini auquel attacher ton référentiel.
Dernière modification par Tom200 ; 27/11/2022 à 12h03.
Bonjour
Ben non!
Le dispositif expérimental (celui qui détecte une variation des franges d'interférence quand on met la plateforme en rotation uniforme) est sur la plateforme en rotation.
C'est donc là qu'il faut faire le calcul.
Dans le calcul de Langevin, qui est très moderne, pas de transformation de Lorentz, pas de référence à une synchronisation avec l'extérieur, en fait il ignore même ce qui se passe à l'extérieur de la plateforme en rotation.
Ce qu'il faut bien comprendre c'est qu'on peut détecter une rotation " de l'intérieur", sans aucune référence à l'extérieur. Ce n'est pas un phénomène relatif comme entre 2 référentiels galiléens, le phénomène est physique. C'est cela qui est vraiment la caractéristique du phénomène, il est physique, on peut détecter une rotation indépendamment de toute référence extérieure!
Pour cela, il définit une métrique sur le plateau tournant et fait les calculs avec cette métrique, pour les rayons lumineux caractérisés par ds² =0.
Cela évite de s’empêtrer dans des problèmes de synchronisation, qui sont des reliques de la mécanique classique.
Cordialement
je ne suis pas tout à fait d'accord pour dire que la synchronisation est une relique, la métrique se calcule à partir d'un changement de coordonnées d'un référentiel galiléen, mais la métrique de Minkowski existe parce qu'il y a possibilité de synchronisation dans ce référentiel. Sinon ce ne serait pas la métrique de Minkowski. La synchronisation n'est pas explicitement utilisée mais elle est là en "fantôme", et les problèmes qui se posent dans un référentiel en rotation sont liés à l'impossibilité de la réaliser entre horloges en rotation, ce qui interdit justement d'avoir une métrique de Minkowki dans ce référentiel tournant.
le référentiel cosmologique n'est pas galiléen, différents points au repos sans ce référentiel ne restent pas à distance constante. Tu ne peux même pas définir correctement une distance à grande distance,et tu ne peux trouver aucune façon de calculer une vitesse de la lumière "égale à c" globalement (vu que la distance n'est pas définie, la vitesse absolue non plus). Il n'y pas de vrai référentiel galiléen à l'échelle cosmologique.
Ok mais une accélération translationnelle (sans changement de direction) est physique aussi et elle dénote un changement de vitesse physique. Donc la vitesse d'un objet dans deux référentiels galiléens avant et après accélération n'est pas la même. On peut donc discerner la vitesse des objets en mouvement rectiligne uniforme en consultant l'historique des accélérations propres de chacun d'eux.
Si l'espace-temps est plat et qu'on ne peut pas utiliser la métrique de Minkowski dans les référentiels tournants c'est que l'espace-temps plat physique n'a pas une métrique de Minkowski. Cette métrique est une convention. Donc en choisissant la convention de Selleri et comme référentiel privilégié celui de la masse attractive, on doit pouvoir refaire la RG sans Minkowski. Qu'en pensez-vous ?
Ce référentiel est inertiel puisqu'il ne subit aucune accélération. S'il ne peut subir aucune accélération c'est qu'on ne peut ni l'accélérer ni le ralentir.le référentiel cosmologique n'est pas galiléen, différents points au repos sans ce référentiel ne restent pas à distance constante. Tu ne peux même pas définir correctement une distance à grande distance,et tu ne peux trouver aucune façon de calculer une vitesse de la lumière "égale à c" globalement (vu que la distance n'est pas définie, la vitesse absolue non plus). Il n'y pas de vrai référentiel galiléen à l'échelle cosmologique.
La vitesse absolue est ce que l'on appelle la vitesse particulière ou locale, elle est donc bien définie.
Dernière modification par Tom200 ; 27/11/2022 à 14h38.
Donc, après avoir refait le RR sans Einstein, on s'attaque à la RG sans Einstein.
C'est ça le but de tout cet "exercice" ?
Tout est toujours plus complexe qu'on (que je) ne le pense de prime abord.
C'est juste un exo de math à résoudreDonc, après avoir refait le RR sans Einstein, on s'attaque à la RG sans Einstein.
C'est ça le but de tout cet "exercice" ?
qu'est ce que tu veux dire par accélérer ou ralentir un référentiel?
la vitesse "locale" est de toutes façons c dans tous les référentiels...La vitesse absolue est ce que l'on appelle la vitesse particulière ou locale, elle est donc bien définie.
Rien, c'est l'univers qu'on ne peut pas accélérer ou ralentir. En fait, on ne peut pas trouver de référentiel galiléen par rapport auquel l'univers a une accélération propre. Donc, on peut se servir de lui comme d'une référence absolue. Ensuite, le mot absolu n'est qu'une étiquette pour dire préférentiel sur tous les autres. Les vitesses sont toutes relatives, mais celle absolue est relative à l'univers.
Dernière modification par Tom200 ; 27/11/2022 à 18h12.
Au bout du compte, c'est la limpidité même.
Au départ, on a des corps immobiles par rapport à l'univers.
On les synchronise façon Einstein.
Certains partent dans tous les sens.
Ils vont alors mesurer que les corps restés immobiles sont plus longs qu'eux et que les horloges immobiles tournent plus vite que les leurs.
Il n'y aura pas de mesure symétrique tant que les corps en mouvement n'auront pas resynchronisés leurs horloges internes à la Einstein.
On voit bien que le temps de l'univers est le plus rapide possible, ensuite, plus les objets vont vite, plus leur temps est lent.
C'est le point de vue des absolutistes.
Tout cela sans faire aucune hypothèse physique.
Mais on devine que ça tient à ce que la vitesse moyenne (aller-retour) de la lumière est plus lente du facteur gamma pour les corps en mouvement.
Dernière modification par Tom200 ; 27/11/2022 à 18h47.
Là ça fait trop d'affirmations fausses et donc hors-charte.Si l'espace-temps est plat et qu'on ne peut pas utiliser la métrique de Minkowski dans les référentiels tournants c'est que l'espace-temps plat physique n'a pas une métrique de Minkowski. Cette métrique est une convention.*
Je ferme, au moins temporairement
Never feed the troll after midnight!
Réouverture. Peut-être temporaire. Attention au point 6, la prochaine fois il y aura fermeture définitive et sanction.
A moins de fournir des liens vers des publications ou ouvrages de référence, cette affirmation qui suggère que le référentiel cosmologique est le référentiel de l'éther par rapport auquel les vitesses sont absolue est de la théorie personnelle. Elle ne sera plus acceptée en l'état.
oui, c'est carrément hors-charte.
oui, plus précisément l'accélération propre, qui se mesure avec un accéléromètre et est donc indépendante de tout choix de répère/référentiel (contrairement à la dérivée de la vitesse)
Ben non, c'est bien plus subtil, sans parler du manque de sens de "vitesse physique". En relativité restreinte, il y a des référentiels non galiléens où il y a accélération propre sans changement de vitesse par rapport à ce référentiel. En relativité générale, il y a des référentiels qu'on considérerait volontiers galiléen en physique classique et dans lesquels il y a une accélération propre sans changement de vitesse (par exemple dans le référentiel terrestre pendant une durée très courte pour donner l'exemple le plus simple).
Il semble qu'il y ait confusion ici entre métrique et expression de la métrique. Si l'espace-temps est plat, la métrique est celle de Minkowski. Point. Peu importe le référentiel utilisé qui est une construction artificielle dans l'espace-temps.
En choisissant un système de coordonnée, on va utiliser l'expression de la métrique de Minkowski dans ce système de coordonnées. Si il s'agit de coordonnées de Lorentz, ce sera le fameux (les coordonnées de Lorentz sont justement faites pour avoir cette expression de la métrique). Mais s'il s'agit d'autres systèmes, on peut avoir des expressions bien différentes, dans lesquelles parfois on ne reconnait la métrique de Minkowski qu'après des calculs approfondis.
Exemples :
Ce sont quatre expressions différentes de la métrique de Minkowski. C'est toujours la métrique de Minkowski, c'est toujours un espace-temps plat qui est décrit. On a juste choisi d'étiqueter les évènements de cet espace-temps différemment.
Un choix de référentiel s'accompagne automatiquement d'un choix de système de coordonnées adaptées à ce référentiel afin d'effectuer plus facilement certains calculs. Plusieurs systèmes de coordonnées différents peuvent être adaptés à un même référentiel. Pour les construire on s'appuiera sur différents critères (par exemple une horloge immobile par rapport au référentiel doit avoir une ou plusieurs coordonnées spatiales constantes, une horloge immobile par rapport au référentiel doit indiquer un temps correspondant à la coordonnée temporelle ou pas, la vitesse coordonnée de la lumière doit être isotrope ou pas, les tranches de coordonnées temporelle constante doivent être orthogonales aux lignes d'univers des horloges immobiles ou pas). Tous les critères ne peuvent pas forcément être satisfaits en même temps dans le cas général, certains d'entre-eux pouvant mener à des comportements pathologiques. C'est ce qui se passe pour des horloges qui tournent à vitesse constante autour d'un cercle. Si on veut que les horloges indiquent la coordonnée temporelle, que leurs coordonnées spatiales soient constantes et que les tranches à coordonnées temporelle constante soient orthogonales aux lignes d'univers des horloges, on aboutit à des tranches spatiales avec une discontinuité ( https://en.wikipedia.org/wiki/Born_c..._BornChart.png ). Si on ne veut pas de discontinuité, il faut adopter les coordonnées de Born, mais les tranches à coordonnée temporelle constante ne seront pas orthogonales aux lignes d'univers des horloges et la vitesse coordonnée de la lumière sera anisotrope.
Que vouloir faire de la RG sans Minkowski, c'est comme vouloir calculer la longueur d'un chemin à la surface de la Terre sans Euclide : voué à l'échec. C'est la métrique qui permet de définir les longueurs et les angles (avec en plus les durées et les rapidités pour celle de Minkowski).
??
Ca ne tient pas de debout. L'accélération propre c'est intrinsèque, pas par rapport à un référentiel. Les comobiles (les horloges qui voient un CMB uniforme dans l'hypothèse d'un univers homogène et isotrope) n'ont pas d'accélération propre (par définition), mais ils ne forment pas un référentiel rigide (et donc pas un référentiel galiléen) : les comobiles ont une vitesse les uns par rapport aux autres (ils s'éloignent, et de plus en plus vite). Du coup comment définir une vitesse absolue alors qu'elle va dépendre du comobile qu'on choisit comme référence ? Si un corps a une vitesse v par rapport au comobile ici, il y a forcément un comobile là-bas par rapport auquel il a une vitesse nulle, du coup quel est la vitesse "absolue" de ce corps? 0 ou v ? Pour aller encore plus loin, si on choisit localement un référentiel galiléen arbitraire, il y a forcément un comobile quelque part qui a une vitesse nulle par rapport à ce référentiel.Rien, c'est l'univers qu'on ne peut pas accélérer ou ralentir. En fait, on ne peut pas trouver de référentiel galiléen par rapport auquel l'univers a une accélération propre. Donc, on peut se servir de lui comme d'une référence absolue. Ensuite, le mot absolu n'est qu'une étiquette pour dire préférentiel sur tous les autres. Les vitesses sont toutes relatives, mais celle absolue est relative à l'univers.
Tout cela sans faire aucune hypothèse physique ?Au bout du compte, c'est la limpidité même.
Au départ, on a des corps immobiles par rapport à l'univers.
On les synchronise façon Einstein.
Certains partent dans tous les sens.
Ils vont alors mesurer que les corps restés immobiles sont plus longs qu'eux et que les horloges immobiles tournent plus vite que les leurs.
Il n'y aura pas de mesure symétrique tant que les corps en mouvement n'auront pas resynchronisés leurs horloges internes à la Einstein.
On voit bien que le temps de l'univers est le plus rapide possible, ensuite, plus les objets vont vite, plus leur temps est lent.
C'est le point de vue des absolutistes.
Tout cela sans faire aucune hypothèse physique.
Mais on devine que ça tient à ce que la vitesse moyenne (aller-retour) de la lumière est plus lente du facteur gamma pour les corps en mouvement.
"Au départ, on a des corps immobiles par rapport à l'univers.", ce ne serait pas un peu une hypothèse physique quand même ?
Et il n'y a pas besoin de synchroniser des horloges pour remarquer que d'autres horloges tournent plus ou moins vite ou que des corps en mouvement sont plus courts (même si il faut un peu plus se creuser la tête pour trouver un bon protocole dans ce dernier cas et que je ne crois pas que ça ait pu être mesuré en vrai pour l'instant)
De plus dans un modèle type FLRW, ce ne sont pas les immobiles qui ont le temps le plus rapide comparé au temps cosmologique, mais les comobiles.
m@ch3
Never feed the troll after midnight!
Quelques liens CMB et référentiel privilégié, pour ne pas dire absolu
https://forums.futura-sciences.com/a...ferentiel.html
https://forums.futura-sciences.com/a...t-doppler.html
https://forums.futura-sciences.com/p...os-absolu.html
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Merci pour la réouverture. Il faut que je m'y replonge pour répondre.
"Dans le référentiel cosmologique. C'est lui qui est à la vitesse zéro. Localement l'info de la vitesse absolue est portée par le CMB."
Cette idée est loin de m’être personnelle, on la retrouve chez la plupart des tenants de l’interprétation de Lorentz.
https://arxiv.org/abs/1801.03775
https://arxiv.org/pdf/1302.3508
https://www.researchgate.net/publica...referred_Frame
http://www.mysearch.org.uk/website3/...MX-Szostek.pdf
http://www.mysearch.org.uk/website3/...MMX-Cahill.pdf
http://www.mysearch.org.uk/website3/...-MMX-perez.pdf
En outre :
Si le référentiel de l’éther existe ce ne peut être que celui-ci car le référentiel de l’éther est nécessairement celui dans lequel le temps s’écoule le plus vite possible. Or le référentiel du CMB est justement celui dans lequel le temps s’écoule le plus vite possible, c’est aussi le référentiel cosmologique. Le choix du référentiel de l’éther n’est donc pas permis.
"et elle dénote un changement de vitesse physique."
En RR, sauf empêchement physique, l'accélération entraîne toujours un changement de la vitesse vue depuis un autre référentiel que celui qui accélère.Ben non, c'est bien plus subtil, sans parler du manque de sens de "vitesse physique". En relativité restreinte, il y a des référentiels non galiléens où il y a accélération propre sans changement de vitesse par rapport à ce référentiel. En relativité générale, il y a des référentiels qu'on considérerait volontiers galiléen en physique classique et dans lesquels il y a une accélération propre sans changement de vitesse (par exemple dans le référentiel terrestre pendant une durée très courte pour donner l'exemple le plus simple).
Question : Si l’accélération ne change pas la vitesse, elle change quoi ?
Si tous les référentiels galiléens sont équivalents, ça veut dire que si un objet en inertie accélère pendant un certain temps, ensuite il n’aura pas changé son état, il sera dans la même situation après qu’auparavant. Mais alors qu’est-ce qui est physique dans l’accélération si rien n’a changé ? Où est passé l’énergie de la poussée ? Elle est relative ? Mais la poussée n’est pas relative, donc comment l’énergie associée pourrait-elle l’être ?
"Rien, c'est l'univers qu'on ne peut pas accélérer ou ralentir. En fait, on ne peut pas trouver de référentiel galiléen par rapport auquel l'univers a une accélération propre. Donc, on peut se servir de lui comme d'une référence absolue. Ensuite, le mot absolu n'est qu'une étiquette pour dire préférentiel sur tous les autres. Les vitesses sont toutes relatives, mais celle absolue est relative à l'univers."
Le mot propre était en trop :Ca ne tient pas de debout. L'accélération propre c'est intrinsèque, pas par rapport à un référentiel. Les comobiles (les horloges qui voient un CMB uniforme dans l'hypothèse d'un univers homogène et isotrope) n'ont pas d'accélération propre (par définition), mais ils ne forment pas un référentiel rigide (et donc pas un référentiel galiléen) : les comobiles ont une vitesse les uns par rapport aux autres (ils s'éloignent, et de plus en plus vite). Du coup comment définir une vitesse absolue alors qu'elle va dépendre du comobile qu'on choisit comme référence ? Si un corps a une vitesse v par rapport au comobile ici, il y a forcément un comobile là-bas par rapport auquel il a une vitesse nulle, du coup quel est la vitesse "absolue" de ce corps? 0 ou v ? Pour aller encore plus loin, si on choisit localement un référentiel galiléen arbitraire, il y a forcément un comobile quelque part qui a une vitesse nulle par rapport à ce référentiel.
"En fait, on ne peut pas trouver de référentiel galiléen par rapport auquel l'univers a une accélération"
Toute la suite est fautive parce que les comobiles n’ont pas de vitesse, la vitesse c’est ça : peculiar velocity.les comobiles ont une vitesse les uns par rapport aux autres
https://en.wikipedia.org/wiki/Peculiar_velocity
L’observateur fondamental est immobile :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Observateur_fondamental
Or l’observateur fondamental est un comobile.
L’expansion n’est pas une vitesse.
La vitesse choisie comme absolue peut être déterminée à l’aide du dipole du CMB. D’ailleurs, s’il existe une telle vitesse, ça ne peut être que celle-là.
Pour bien comprendre la situation, voici une image :
Sur une sphère qui grossit des points fixes s’éloignent les uns des autres, mais il n’ont pas de vitesse propre (peculiar velocity), ce qui est justement la vitesse dite absolue. Ce terme d’absolu n’est qu’une étiquette pour dire que cette vitesse est relative à l’éther.
"Au bout du compte, c'est la limpidité même.
Au départ, on a des corps immobiles par rapport à l'univers.
On les synchronise façon Einstein.
Certains partent dans tous les sens.
Ils vont alors mesurer que les corps restés immobiles sont plus longs qu'eux et que les horloges immobiles tournent plus vite que les leurs.
Il n'y aura pas de mesure symétrique tant que les corps en mouvement n'auront pas resynchronisés leurs horloges internes à la Einstein.
On voit bien que le temps de l'univers est le plus rapide possible, ensuite, plus les objets vont vite, plus leur temps est lent.
C'est le point de vue des absolutistes.
Tout cela sans faire aucune hypothèse physique.
Mais on devine que ça tient à ce que la vitesse moyenne (aller-retour) de la lumière est plus lente du facteur gamma pour les corps en mouvement."
Sans faire d’hypothèse physique en faveur de la théorie de l’éther.Tout cela sans faire aucune hypothèse physique ?
"Au départ, on a des corps immobiles par rapport à l'univers.", ce ne serait pas un peu une hypothèse physique quand même ?
Et il n'y a pas besoin de synchroniser des horloges pour remarquer que d'autres horloges tournent plus ou moins vite ou que des corps en mouvement sont plus courts (même si il faut un peu plus se creuser la tête pour trouver un bon protocole dans ce dernier cas et que je ne crois pas que ça ait pu être mesuré en vrai pour l'instant)
De plus dans un modèle type FLRW, ce ne sont pas les immobiles qui ont le temps le plus rapide comparé au temps cosmologique, mais les comobiles.
Les immobiles par rapport à l'univers sont justement les comobiles. Il suffit de regarder la sphère qui enfle, ceux qui sont immobiles au sens de Mach3 sont en fait en mouvement par rapport à la sphère. Le CMB donne la vitesse par rapport aux comobiles et non par rapport ceux que Mach3 dit être immobiles (mais qui ne le sont pas).
Et si justement. Je le refais.Et il n'y a pas besoin de synchroniser des horloges pour remarquer que d'autres horloges tournent plus ou moins vite ou que des corps en mouvement sont plus courts
1-Les corps décollent en étant synchronisés avec le CMB
2-A haute vitesse ils mesurent que les corps restés immobiles sont plus longs qu’eux et que les horloges restées immobiles tournent plus vite que les leurs, car les horloges sont restées synchronisées (et non pas bien sûr synchrones) sur le CMB.
3-Ils synchronisent leurs horloges à la Einstein et maintenant seulement ils mesurent que les corps restés immobiles sont plus courts qu’eux et que les horloges restées immobiles tournent plus lentement que les leurs.
La nature nous dit qu’il n’y a pas de symétrie entre les référentiels. Cette symétrie est produite par la resynchronisation des horloges à haute vitesse, ce qui est une manipulation humaine et donc artificielle.
En ce qui concerne la métrique, je peux m'être trompé, il faut que je réfléchisse à ce qu'est une métrique
Pourtant la trajectoire orthogonale à un paraboloïde de Flamm est une chute libre de Newton. Si on ajoute une vitesse initiale à cette chute libre, est-ce qu'on n'obtiendra pas une orbite selon la RG ?Que vouloir faire de la RG sans Minkowski, c'est comme vouloir calculer la longueur d'un chemin à la surface de la Terre sans Euclide : voué à l'échec. C'est la métrique qui permet de définir les longueurs et les angles (avec en plus les durées et les rapidités pour celle de Minkowski).
https://forums.futura-sciences.com/a...incidence.html
Cette représentation est dépourvue de métrique de Minkowski, on n'y voit que 4 dimensions euclidiennes :
https://i.stack.imgur.com/2Gjqq.png
https://i.stack.imgur.com/zmeTI.png
https://askfrance.me/q/pourquoi-la-v...e-141833726604
(Trois cas, < vitesse d'orbite, < vitesse d'échappement, > vitesse d'échappement)
Enfin une remarque : après avoir consulté ceci : ##### je pense qu'il faut en tirer les conséquences qui s'imposent.
Dernière modification par Deedee81 ; 02/12/2022 à 08h30.
Bonjour,
Bon, je prend la liberté de refermer et de mettre la sanction. Mach3 contacte-moi si cela te pose un soucis.
Car là, ce message, après l'avertissement en vert. Et le dernier lien qui tend à revenir encore et encore depuis des années (un des pires truc de crank connu, déjà même avant que je vienne sur Futura, c'est dire). Ce dernier lien (que j'ai supprimé) : TROP C'EST TROP. J'aurais même pu mettre une deuxième sanction (pour la violation du point 6 de la charte, attention, faudrait pas me pousser beaucoup)
Merci,
Dernière modification par Deedee81 ; 02/12/2022 à 08h37.
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)