Le paradoxe de l'alternateur
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Le paradoxe de l'alternateur



  1. #1
    Quod

    Le paradoxe de l'alternateur


    ------

    Bonjour,

    Je comprends très bien l’interprétation actuelle qui explique que la puissance motrice assume la totalité des pertes plus la puissance utile de la charge. C’est actuellement correcte, car à ma connaissance, aucune machine n’équilibre la réaction à son action.

    Pourquoi ne pas se poser la question*: que se passerait-il si une machine équilibrait la réaction à son action*? Parce-que c’est impossible, pas si sur*!

    Voici mon hypothèse*pour un alternateur à aimants permanents

    La fcém d’un alternateur actuel en charge se transforme en un couple mécanique que je nomme (Cfcém). Ce Cfcém associé à la rotation ω en rad/s, est une puissance opposée à la motricité.
    En conséquence*: La motricité d’un alternateur en charge, compense les pertes mécaniques et la puissance du (Cfcém), pour garantir la rotation (ω).
    L’énergie transformée dans la charge, est donc produite par l’induction électromagnétique de l’inducteur. Induction due au (Φ) inducteur constant et à (ω) responsable du Δ de (Φ) en du Δ de temps (t). Les Δ n’ont besoin que de (ω) pour être effectifs, sans autre énergie supplémentaire.

    Comment échapper au Cfcém : La puissance (P) en Watts est une unité d’énergie par seconde.
    Je libère le stator qui devient le rotor bleu. Un moteur fait tourner le rotor bleu à ω et un autre moteur fait tourner le rotor vert à 2ω.
    Les moteurs tournent dans le même sens. Le Cfcém (flèches rouges F’ et F) interagirait entre le rotor induit et le rotor inducteur, pour s’opposer (figer les rotors) par rapport au mouvement relatif (≠ω) entre les rotors.
    Nous aurions deux couples égaux et de sens opposé (F’*r) et (F*r) sur chaque rotor. Sous condition que le rotor bleu (à ω), ait une masse d’un poids quatre fois supérieure au rotor vert (à 2ω). Afin qu’ils aient la même énergie cinétique.
    La force opposée à la rotation a le signe mathématique moins (-F)


    Ces deux couples (F'*r) et (-F*r) peuvent-être équilibrés dans un système d’engrenages
    Toutes les pièces sont libres*: couronne noire, pignons satellites et porte-satellites oranges, ainsi que les planétaires bleu et vert.
    Rôles des engrenages sur les planétaires bleu et vert.
    _ Autoriser les axes bleu et vert à tournent dans le même sens.
    _ Autoriser un des deux axes bleu ou vert à tourner quand l’autre est libre ou à l’arrêt.
    _ Interdire la rotation inverses des axes bleu et vert.


    A vide
    , les engrenages tournent alors dans le vide, sans perturber la rotation des moteurs. Car sans appuis fixe, les engrenages ne peuvent transmettre l’énergie d’un moteur vers l’autre.
    En charge, les deux rotors reçoivent le Cfcém, qui tente de les faire tourner en sens inverse.
    Les engrenages bloquent ces puissances de rotations inverses et équilibrent le Cfcém. La puissance mécanique du (Cfcém) est incapable d’influencer les motricités des planétaires bleu et vert, sous condition d’une même énergie cinétique, (F’*r*≠ω) + (-F*r*≠ω) = 0
    Le Cfcém équilibré, serait alors incapable d’influencer les motricités, qui n’assumaient que les pertes mécaniques, bien que l’alternateur soit en charge.

    Je passe sur le concept imaginé, car cela reste une hypothèse sans expérimentation effectuée.

    Bilan des énergies :
    Actuellement écrire que : P moteur = (P pertes totales + P de transformation dans la charge), c’est supposer que, P induite = 0. C’est nier l’induction avérée.
    Avec l’alternateurbis-rotors :
    P induite - (P pertes autres + P de transformation dans la charge) = 0
    P du Cfcém = P du Cfcém/2 – P du Cfcém/2 = 0 (Cfcém équilibré)
    P motrice – P pertes mécaniques = 0 => ω reste effectif et garantit les Δ deΦ et Δ de (t) inducteur.


    Toutes les puissances sont prises en compte. Le (≠ω) maintient le (ΔΦ/Δt) inducteur, sans autre énergie supplémentaire. L’environnement de l’induction électromagnétique reste identique.


    Reste la question: d’où viendrait l’énergie de l’induction électromagnétique responsable de la fém, transformée en (U*I), qu’est l’énergie de charge ?

    -----
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  2. #2
    Antoane
    Responsable technique

    Re : Le paradoxe de l'alternateur

    Bonjour,

    Pourquoi ne pas se poser la question*: que se passerait-il si une machine équilibrait la réaction à son action*? Parce-que c’est impossible, pas si sur*!
    Ce concept a déjà été discuté, jusqu'a ce que la discussion soit fermée : https://forums.futura-sciences.com/p...-reaction.html

    Le message reste assez incompréhensible, possiblement car je ne maitrise pas le sujet, mais en tous cas caril contient un vocabulaire étrange et/ou innadapté et des erreurs. Par exmple:

    Sous condition que le rotor bleu (à ω), ait une masse d’un poids quatre fois supérieure au rotor vert (à 2ω). Afin qu’ils aient la même énergie cinétique.
    J'imagine qu'on parle de moment d'inertie ?
    Qu'est ce que le moment d'inertie a à faire dans une affaire ou les vitesses sont constantes ?

    _ Autoriser les axes bleu et vert à tournent dans le même sens.
    _ Autoriser un des deux axes bleu ou vert à tourner quand l’autre est libre ou à l’arrêt.
    _ Interdire la rotation inverses des axes bleu et vert.
    C'est en contradiction
    Par ailleurs un tel mécanisme n'est pas influencé par les sens de rotation.

    -F*r*≠ω
    Est-ce une typo ? erreur d'homogénéité ? formule simplifiée avec sens caché ?

    A vide,...
    En charge, ...
    Qui est à vide, qui est en charge, comment cela se traduit-il en pratique ?
    Deux pattes c'est une diode, trois pattes c'est un transistor, quatre pattes c'est une vache.

  3. #3
    Quod

    Re : Le paradoxe de l'alternateur

    Bonjour,
    C’est bien de l’énergie cinétique dont il est question.
    Je ne vois pas de contradiction dans le système d’engrenages. Effectivement aucune influence si les sens de rotation sont de même sens, ou l’un des axes est à l’arrêt par rapport à l’autre. C’est le but recherché.
    (-F) c’est la force, (r) est le rayon d’action à l’axe et (≠ω) est le différentiel de rotation entre les rotors. (≠ω) est responsable des Δ de Φ et de t.
    Le fonctionnement est à vide ou en charge, terminologie souvent écrite.
    En pratique cela se traduit comme le fonctionnement à vide ou en charge d’un alternateur.

  4. #4
    Antoane
    Responsable technique

    Re : Le paradoxe de l'alternateur

    \omega est une vitesse de rotation. F*r est un couple.
    C'est pas les mêmes grandeurs, donc une égalité n'a aucun sens. Une non-égalité n'en a pas tellement non plus...


    > Autoriser un des deux axes à tourner quand l’autre est à l’arrêt.
    Ca suggère que ca autorise un différentiel de vitesse positif ou négatif. Ca suggère aussi que ca autorise une rotation dans un sens ou l'autre.

    > Interdire la rotation inverses des axes bleu et vert.
    Ca suggère quand même une influence du sens de rotation relatif, ou relatif au bati, des axes.
    Deux pattes c'est une diode, trois pattes c'est un transistor, quatre pattes c'est une vache.

  5. A voir en vidéo sur Futura
  6. #5
    Quod

    Re : Le paradoxe de l'alternateur

    > Un couple mécanique multiplié par la vitesse angulaire en rad/s fournit une puissance ou énergie par seconde. Le (≠ω) est le référentiel identique pour F est F’.

    >Autoriser un des deux axes à tourner quand l’autre est à l’arrêt.
    Oui ça suggère autoriser un différentiel de vitesse relatif. Mais certainement pas positif ou négatif. Car les vitesses ont le même sens. Aucune rotation n’est réellement inversée par rapport à l’autre.
    Les engrenages n’ont que les axes libres en guise de points d’appuis.
    En résumé*:
    1) Rotations dans le même sens, couple dans le même sens, opposition des couples impossible. Les engrenages absorbent le différentiel de valeur des couples par leur rotation. Car aucun couple moteur n’est réellement inversé par rapport à l’autre.
    2) Rotation en sens inverse, couples de sens opposé, opposition des couples possible. Les engrenages additionnent ces couples qui vont s’opposer sur la couronne noire.
    _ Soit les oppositions sont égales et les engrenages ne tourneront pas, les axes non plus. Comme deux moteurs de même puissance mis en opposition directe. Donc rotation inverse impossible.
    _ Soit l’une des valeurs est supérieure à l’autre. Elle bloquera alors l’axe le plus faible. Ce qui revient à un axe arrêté. L’axe le plus fort entraînera les engrenages dans un sens unique. Donc rotation inverse impossible.

    >Le sens de rotation relatif a une influence sur le signe mathématique du Cfcém répartit sur les deux rotors. Car le Cfcém issue du rotor le plus rapide est opposé au sens de rotation unique qui est aussi le sens du (≠ω). De ce fait il a le signe mathématique (-).

  7. #6
    Quod

    Re : Le paradoxe de l'alternateur

    Bonjour,

    Il y a deux méthodes pour calculer mathématiquement la différence (ou l'écart) entre deux valeurs de même signe*: soit on attribue (en théorie) à la valeur la plus faible le signe moins, soit on compte le nombre d’unité à partir de la valeur la plus faible. Le résultat est le même.
    Valeurs 20 et 10, Exp*: 20 + (-10) = 10
    Exp*: de 10 pour arriver à 20 il faut 10 de plus
    Les valeurs absolues n’ont réellement pas changé.

    Je ne connais qu’une méthode pour calculer mathématiquement le résultat de la somme de deux valeurs de même signe*: C’est de les additionner.
    Exp*: 20 + 10 = 30
    Dans le cas ou nous avons (-20) et (-10), Exp*: (-20) + (-10) = (-30)
    Les valeurs absolues n’ont réellement pas changé

    Je ne connais qu’une méthode pour calculer mathématiquement le résultat de la somme de deux valeurs de signe contraire*: c’est de les additionner. Valeurs 20 et (-10)
    Exp*: 20 + (-10) = 10
    Dans le cas ou c’est la valeur 20 qui est négative, Exp*: (-20) + 10 = (-10)
    Les valeurs absolues n’ont réellement pas changé

    Il y a deux méthodes pour calculer mathématiquement la différence (ou l’écart) entre deux valeurs de signe contraire*: Soit on attribue (en théorie) le signe (+) à la valeur négative, soit on attribue (en théorie) le signe (-) à la valeur positive. Puis on additionne les deux valeurs. Valeurs 20 et (-10)
    Exp*: 20 + 10 = 30, Exp*: (-20) + (-10) = (-30)
    Les valeurs absolues n’ont réellement pas changé de signe.

    La méthode est selon le cas réel d’interaction entre les valeurs et selon l’utilisation pratique que l’on souhaite faire du résultat ou de la différence, car les valeurs absolues ne changent réellement pas.

    Je m’interroge sur l’origine de l’énergie d’induction des ondes électromagnétiques.
    Je sais que la fém est une onde électromagnétique d’une longueur de 6000 Km.
    Je sais qu’une onde électromagnétique est «*porteuse d’énergie*», c’est un potentiel d’énergie.
    Je pense que la Théorie Quantique devrait nous apporter des explications à ce sujet.

    Je suis dans la situation similaire à une époque lointaine, où, bien que l’on voyait les oiseaux voler, il était admis impossible que le plus lourd que l’air puisse voler. Car notre interprétation des faits est assujettie à nos connaissances. Heureusement, la nature reste indifférente à notre interprétation.

  8. #7
    jiherve

    Re : Le paradoxe de l'alternateur

    bonjour
    moi je vois un gros soucis : depuis un siècle et demi tout à été découvert et publié sur les alternateurs il n'y a plus rien à gratter.
    ton engin ne se différencie pas d'un alternateur classique sauf par une complication inutile et excessive.
    je sais que la fém est une onde électromagnétique d’une longueur de 6000 Km.
    ah bon donc le biniou fournit du 50Hz, quid des génératices 400Hz ou à fréquence variable comme c'est la norme maintenant en aéronautique?
    JR
    l'électronique c'est pas du vaudou!

  9. #8
    Antoane
    Responsable technique

    Re : Le paradoxe de l'alternateur

    Bonjour,

    Je suis dans la situation similaire à une époque lointaine, où, bien que l’on voyait les oiseaux voler, il était admis impossible que le plus lourd que l’air puisse voler. Car notre interprétation des faits est assujettie à nos connaissances. Heureusement, la nature reste indifférente à notre interprétation.
    Sauf que les oiseaux, on les voyaient voler.
    Ici, sans même parler de base théorique, tes dévelopments ne sont supportées par aucune obervation ou mesure -- bien au contraire, ces histoires de rendement ont été mesurées avec précision dans tous les sens.

    Fermer le ban.
    Deux pattes c'est une diode, trois pattes c'est un transistor, quatre pattes c'est une vache.

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