Bonjour,
On sait (et on l'a encore vu dernièrement sur ce forum) que caractériser du vocable "fictives" les force centrifuge et de Coriolis sème le trouble. L'argument (pertinent) étant qu'elles n'ont rien de fictifs. (On les ressent.) C'est souvent dû à un problème de compréhension de la notion de référentiel et à un refus de penser mathématiquement. si on challenge ChatGPT (pour avoir une vision du "savoir commun" "probable" sur le sujet), on voit il n'intègre pas non plus la notion et on peut en conclure que le problème est général du coup.
Mais y aurait-il un paradoxe ou des problèmes à reformuler les PFDs ainsi :
Dans tout repère, inertiel ou non :
* (1) ma = F où F est la résultante vectorielle des forces fondamentales et d'inertie agissant sur un corps.
* (2) quand 2 corps interagissent, ils exercent l'un sur l'autre des forces égales et opposées.
* Corollaire : si F = 0, a = 0 et v = cst
On perd que l'expression des forces est indépendante du référentiel inertiel. (Mais l'avait-on ? F = q v X B n'y obéit pas par exemple.)
On y gagne en clarté tout en entrouvrant la porte à la RG.
Peut-être y a-t-il une évidence qui m'échappe ?
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; qu'elle ait été introduite au début seulement à propos du champ métrique, s'explique par le fait que Riemann est parti de la théorie de Gauss de la courbure des surfaces, dans laquelle la surface obtenait une métrique grâce au fait qu'elle était plongée dans un espace euclidien" (cf Correspondanceavec Michele Besso, Hermann). Il décrit ensuite pourquoi ce "champ de déplacement" (la connexion) permet de franchit "l'obstacle du système inertiel". On voit qu'il a soigneusement étudié les articles de Cartan!

