Heuuu par contre j'avais zappé le mot "autonome".
Ça couterait moins cher, certainement, effectivement.
quoique... il reste a mettre au point une technologie assez révolutionnaire pour réaliser ces expériences de façon automatisée...
houlaaa désolé le gros multipostage
Tu ne vois pas la différence entre envoyer (et faire revenir) des hommes et des véhicules et envoyer une cage ?Je me base sur le programme Apollo qui a couté la moité de ça, et pour lequel il n'y avait aucune base lunaire apte a tester les souris plusieurs semaines d'affilée.
Rappelons qu'il a fallu (certes, "a l'époque") faire bosser 300 000 personnes pendant 7 ans afin que 12 hommes posent le pied sur la Lune.
Le projet Mars Exploration Rover (2 robots autonomes posés, plusieurs sondes) a couté moins d'1 milliard de dollars. Pour MARS.
Et tu prétends qu'envoyer une cage sur la Lune couterait 500 fois plus ?
Faut rester sérieux.
[EDIT]Croisement avec ton correctif.
Tu oublies qu'il faut proposer un milieu de survie aux souris...Tu ne vois pas la différence entre envoyer (et faire revenir) des hommes et des véhicules et envoyer une cage ?
Le projet Mars Exploration Rover (2 robots autonomes posés, plusieurs sondes) a couté moins d'1 milliard de dollars. Pour MARS.
Et tu prétends qu'envoyer une cage sur la Lune couterait 500 fois plus ?
Faut rester sérieux.
[EDIT]Croisement avec ton correctif.
Compares le cout d'un mission lunaire non habité avec celui d'un mission habité.
+ une automatisation totale des procédures de test dont il faut intégralement développer la technologie.
Y a pas photo : ce serait bien plus économique de faire ça en orbite terrestre avec des humains en opérateurs... et cobayes tant qu'on y est
Sachant que la souris ce n'est pas un être humain, et qu'après les souris, il faudra forcément passer a homme.
Comme en médecine.
Donc autant aller directement à l'essentiel.
... mais de toute façon, ceci ne peut se justifier QUE dans le cadre d'une préparation de voyage vers mars, donc lorsque le programme aura déjà été lancé.
Voyons Carcharodon, je n'ai pas attendu FS pour m'intéresser à divers sujets scientifiques Et merci de ne pas me juger, tu ne connais rien de moi, à part quelques propos. Je préféres de loin quand tu n'utilise pas un ton méprisant ; c'est plus facile pour discuter.
Je fais parfaitement la distinction entre conquète et colonisation (cf ce sujet : http://forums.futura-sciences.com/sc...ra-t-lieu.html). J'y disais que la colonisation ne commencera que quand nous serons mesure d'installer une colonie autonome sur une planete, ne serait-ce que pour quelques temps.
C'est sur, la position que je défend est "ultra minoritaire". Mais en sciences, quelques découvertes ont fait passer plus d'une "théorie majoritaire" dans les poubelles de l'oubli.
Ensuite, si l'on doit voyager loin et longtemps dans l'espace, est-ce qu'on devra pas créer une gravité artificielle ? Du coup est-ce que cette question de la reproduction à 0G est si importante ?
J'ai bien vu le résumé d'un rapport apparement de la AAA, ou ils disent que rien de l'accouplement est difficile : http://www.lyber-eclat.net/lyber/aaa/sexualite.html. Il faut du matériel, des ceintures et autres sangles pour maintenir les partenaires. Mais ils ne parlent pas de reproduction.
Sinon je dis peut-être une bétise : mais pourquoi en insémination articielle, puis en gestation dans un utérus artificiel ?
Ce n'est pas l'acte de reproduction le problème, voyons ! (Au contraire...)
C'est le développement embryonnaire. Il me semble qu'il y a déjà eu des expériences en Og avec des animaux. La plupart des embryons ne survivaient pas.
Il semble aussi que la gravité ait une incidence sur nombre de phénomênes mécaniques et chimiques durant la gestation. Il y a de forte chances qu'il soit impossible à des humains de porter des enfants dans un environnement à 1/3 de g...
Quand même joues pas sur les mots :/La reproduction est l'ensemble des processus par lesquels une espèce se perpétue, en suscitant de nouveaux individus.
Il ne faut pas perdre de vue que le ridicule, quand il est produit par l’excès, est payant. C’est ce qui attire les foules. Oui tout cela est ridicule, volontairement.Mis à part l'aspect complètement (et volontairement) caricatural de tes "propositions", le principe en lui-même est très intéressant.
Oui, un "loft-lunaire" serait une idée très intéressante.
Oui, ajouter un spectacle autour de décollages spatiaux serait intéressant (pas la proposition ridicule de lancer des feu d'artifices, particulièrement dangereux pour une navette).
Le processus de décollage des fusées est aujourd’hui bien maitrisé. Il me semble possible de disposer des feux d’artifice à distance raisonnable pour que ce soit spectaculaire tout en restant sûr.
J’imagine les feux d’artifice dans l’espace. Il doit y avoir des effets tout à fait différents en impesanteur. Il faudrait certainement faire des adaptation.
Mais dans tous les cas on pourrait traiter ça en incrustation vidéo et donc éviter de transporter des matières dangereuses et forcément pondéreuses.
Toute la question est de savoir si les droits de retransmission, de publicité, de merchandising, etc., seraient suffisants.
Ma proposition est-elle plus ridicule que celle d’utiliser la Lune comme support publicitaire ?
Je verrais bien SpaceX, qui n’a pas de tutelle étatique, recourir à ce genre de chose.
Cela va sans dire, mais pour toi cela va mieux en le disant : quand nous ne faisons pas état de connaissances scientifiques reconnues il est évident que le reste de nos propos, surtout dans le cas d’un débat sur l’opportunité d’un type de mission, ne reflètent que nos opinions. Tout le monde en est parfaitement conscient, enfin presque…
Je parle toujours d’un ratio résultats scientifiques / cout de la mission.
Dans le cas d’Apollo il est dérisoire comparé à des missions robotisées qu’on aurait pu développer si cette mission n’avait pas été conduite dans la précipitation et avec des objectifs politiques.
SoHO bosse depuis plus de quinze ans et va encore continuer bravement. Il nous a fait quelques frayeurs et s’est remis au boulot. C’est un exemple parmi bien d’autres de succès éblouissants par la quantité et la qualité des données recueillies.
Par contre qu’est-ce qu’il y a sur Mars de si intéressant qui mériterait une mission qui couterait aussi cher que toutes les missions actuellement en service, voire plus, et surtout qu’est-ce qu’il y a que des missions robotisées ne pourraient pas faire ?
Une mission Constellation représente l’annulation de dizaines de missions sur une multitude de sujets divers.
Au demeurant je n’aurais rien à redire que les Américains dépensent l’argent du contribuable pour la simple folie des grandeurs. Ce sont les dommage collatéraux qui me font réagir.
Tes deux premières phrases sont une tautologie. Mais par rapport à la deuxième assertion, tu oublies que c’est une adaptation qui s’est faite dès les débuts de la vie terrestre, donc à la louche dans les 500 millions d’années.
Parier ne se fait pas en science. La seule méthode correcte est l’expérimentation… sauf que l’expérimentation humaine pose un petit problème d’éthique, bref c’est complètement interdit. On aurait pu compter sur les Soviétiques pour relever ce pari et envoyer un couple enfanter sur Mars au nom des grands principes révolutionnaires. Hélas le paradis des travailleurs a mordu la poussière.
ND
Je n'ai pas été méprisant, je ne faisais que te rappeler que tout ce que tu nous disais au sujet de la colonisation de planètes venait de poncifs romanesques ou hollywoodiens, qui n'avaient aucun rapport avec la réalité du secteur spatial.
On a été capable d'automatiser les rovers pour extraire et étudier le sol martien, on a réussi à collecter des poussières de comète dans l'espace et tu penses qu'on aura du mal à étudier des souris sur la Lune ?
Le facteur important n'est pas habité/inhabité mais homme/pas-homme.Compares le cout d'un mission lunaire non habité avec celui d'un mission habité.
50% de pertes chez les souris, on s'en fout.
Une souris, c'est 2kg de bouffe pour 1 an.
Je n'arrive pas à trouver la quantité d'oxygène, mais je suppose que c'est également très réduit. Bref, peu de poids.
Pour le cout de développement de la cage, je doute que ce soit beaucoup plus cher que celui des rovers et de leur système d'amarsissage...
On se demande alors pourquoi ça n'a pas été fait depuis 40 ans qu'on a mis les pieds sur la lune !
Les yakafokon donnent toujours des solutions simplistes et des résultats mirobolants.
super fiables les statistiques de survie, dans ce cas de figure...50% de pertes chez les souris, on s'en fout.
A l'époque d'Apollo, on avait toute la technologie pour faire ça.
Ce qui est interessant, c'est de se poser la question du pourquoi ça n'a pas été fait.
Pourquoi, aussi, on a consacré 200 milliards de dollars a l'ISS sans avoir déjà fait ces tests.
Pourquoi, sur Mir, on y a pas pensé non plus.
etc etc etc ...
Si c'était si évident, ça se saurait.
Tout ce qui est vivant augmente considérablement les paramètres d'une mission spatiale.
C'est justement pour ça que les robots ont le vent en poupe et qu'on a jamais envoyé, par exemple, de singes ou de souris en orbite martienne.
Et encore une fois, la souris, ce n'est pas l'homme, et pour valider les résultats, il faudra forcément en arriver a reproduire les expériences avec des humains.
C'est pour ça que je parlais de commencer directement avec des humains, en orbite et sous mini gravité.
Ce qui me semble nettement plus productif que d'envoyer des souris sur la Lune.
Le but étant de savoir si des mammifères peuvent enfanter des individus eux-même féconds (sans assistance médicale), la mortalité suite à des contraintes extérieures n'a pas grande importance.
A l'époque d'Apollo, on était trop pressé pour perdre son temps avec des reproduction de souris sur la Lune.A l'époque d'Apollo, on avait toute la technologie pour faire ça.
Ce qui est interessant, c'est de se poser la question du pourquoi ça n'a pas été fait.
Tu as toi-même dit que ça a effectivement été tenté... as-tu changé d'avis depuis ?Pourquoi, aussi, on a consacré 200 milliards de dollars a l'ISS sans avoir déjà fait ces tests.
Pourquoi, sur Mir, on y a pas pensé non plus.
etc etc etc ...
C'est surtout que ça n'a strictement aucun intérêt... L'orbite autour de Mars est rigoureusement identique à l'orbite autour de la Terre.C'est justement pour ça que les robots ont le vent en poupe et qu'on a jamais envoyé, par exemple, de singes ou de souris en orbite martienne.
Tu sais, en sciences, on procède par étapes...Et encore une fois, la souris, ce n'est pas l'homme, et pour valider les résultats, il faudra forcément en arriver a reproduire les expériences avec des humains.
C'est pour ça que je parlais de commencer directement avec des humains, en orbite et sous mini gravité.
Ce qui me semble nettement plus productif que d'envoyer des souris sur la Lune.
En particulier quand on parle de l'humain car on a inventé un truc bizarre qui s'appelle l'éthique et qui n'autorise pas à prendre des risques inconsidérés avec la vie humaine.
Tu peux relire les posts et tu verrais qu'il y quelques affirmations gratuites. C'est cela qui m'a fait réagir. Quand on aime pas quelque chose : on dit pas c'est pas bon, mais je trouve que c'est pas bon !quand nous ne faisons pas état de connaissances scientifiques reconnues il est évident que le reste de nos propos, surtout dans le cas d’un débat sur l’opportunité d’un type de mission, ne reflètent que nos opinions. Tout le monde en est parfaitement conscient, enfin presque…
Donc si je résume :
> C'est beaucoup trop cher, comment le financer (publicité, merchandising) ?
> Du coup le ratio résultats scientifiques / cout de la mission n'est pas intéressant
Donc en gros le seul frein a la colonisation de Lune (privé ou pas) est un motif économique :/
Peut-être justement pour étudier le comportement de l'Homme, pour essayer d'y vivre. La Lune, Mars, et ainsi de suite. J'ai pu lire ceci sur la page Wikipedia de la "colonisation de l'univers" :Par contre qu’est-ce qu’il y a sur Mars de si intéressant qui mériterait une mission qui couterait aussi cher que toutes les missions actuellement en service, voire plus, et surtout qu’est-ce qu’il y a que des missions robotisées ne pourraient pas faire ?
Apparement on est en plein dedansLe directeur de la NASA jusqu'en 2009, Michael Griffin, a identifié la colonisation de l'espace comme étant l'objectif ultime des programmes spatiaux actuels, mais la nécessité pour l'humanité de coloniser l'espace dans un futur proche ou lointain n'est cependant pas unanimement acceptée par la communauté scientifique, et un débat a toujours lieu à ce sujet.
Tu l'as dit toi même : ca coute trop cher et cette expérience a déjà été faite !On se demande alors pourquoi ça n'a pas été fait depuis 40 ans qu'on a mis les pieds sur la lune !
Du coup, vous pensez que si ces projets coutaient moins cher, ces colonisations seraient plus envisageable ?
Par combien faudrait-il diviser le cout de telles missions pour qu'elles soient scientifiquement intéressantes ?
Car la notion de cout est très importante dans certains argumentaires.
Concernant la reproduction : encore une fois est-ce que une gravité artificielle ne réglerait pas le probleme ? L'idée des utérus artificielle est complétement inenvisageable ?
Désolé pour le multipost mais c'est pour répondre à la question des la reproduction sans gravité. 2 expériences sont disponibles en point [7] et [8] dans la page https://secure.wikimedia.org/wikiped...i/Sex_in_space
Toutes les sources sont dispo mais en bref c'est résumé par : "Les études menées sur la reproduction des mammifères en microgravité, notamment des expériences avec des rats. Bien que le foetus développés correctement, les rats qui se sont développées en microgravité n'avait pas la capacité de se redresser. [7] Une autre étude a examiné la fécondation d'embryons de souris en microgravité. Bien que les deux groupes a entraîné chez les souris saines, les auteurs ont noté que le taux de croissance était plus lente pour les embryons fécondés in microgravité que pour celles de la pesanteur normale [8]."
Encore une fois on en sait rien on a pas testé.encore une fois est-ce que une gravité artificielle ne réglerait pas le probleme ? L'idée des utérus artificielle est complétement inenvisageable ?
Vous (toi et faith) mélangez les tests en IMPESANTEUR et les tests en mini gravité depuis le début.
En impesanteur, c'est clair que l'homme ne peut pas survivre très longtemps (dégénérescence muculo-squelettique, problèmes hormonaux etc...)
C'est seulement là que des tests ont été réalisés.
Ce que je dis depuis le début...
Mais on a JAMAIS testé la reproduction sexuée en mini gravité.
c'est pour cette raison que rien ne dit qu'elle soit suffisante non plus.
J'espère que c'est enfin clair et qu'on aura pas a y revenir...
Oui : quand on a pas les sous, on ne peut pas le faire.Donc en gros le seul frein a la colonisation de Lune (privé ou pas) est un motif économique :/
T'aimerais t'acheter une Ferrari, mais ce qui t'en empêches, c'est que t'as pas les sous.
Ça s'appelle la logique économique, effectivement.
Bienvenue sur terre, dans une civilisation capitaliste
N'importe nawak, justement ils n'avaient que ça a faire, a part mettre le pied sur la lune.A l'époque d'Apollo, on était trop pressé pour perdre son temps avec des reproduction de souris sur la Lune.
Trop pressé de quoi ? de rentrer ? de faire la sieste ? de jouer aux dominos ?
C'est vraiment l'argument qui sort de nulle part ce truc...
Et ça monte que tu ne connais pas grand chose a l'épopée spatiale, en particulier a la reconversion d'une Saturn V en Skylab... parce qu'ils ne savaient justement plus quoi en faire après l'annulation d'Apollo.
c'est toi qui est trop pressé de dire n'importe quoi.
Est ce de la mauvaise foi ou bien une incapacité a comprendre ce qui t'es dit ?Tu as toi-même dit que ça a effectivement été tenté... as-tu changé d'avis depuis ?
Cites moi une seule expérience en mini gravité et reviens en parler.
Bien entendu, il n'y aurait aucun bénéfice a tester les conséquences d'un voyage interplanétaire sur des animaux.C'est surtout que ça n'a strictement aucun intérêt... L'orbite autour de Mars est rigoureusement identique à l'orbite autour de la Terre.
Dis, tu sais ce que c'est que la ceinture de van allen et la protection de la terre du soleil pendant 50% du temps en orbite terrestre ?
On ne dirait pas non...
ha ouais ? sans déconner ? tu parles d'étapes qui servent a quelque chose ou de faire tout et n'importe quoi ?Tu sais, en sciences, on procède par étapes...
Parce que là, depuis le début, je n'ai pas lu un truc censé, scientifiquement parlant, de ta part, sur le sujet...
Encore une grosse confusion de ta part : tu n'es pas au courant qu'il y a en permanence, au dessus de nos têtes, des hommes qui vivent en impesanteur, et que la mini gravité est censée être moins contraignante que cette absence de gravité pour le corps humain ?En particulier quand on parle de l'humain car on a inventé un truc bizarre qui s'appelle l'éthique et qui n'autorise pas à prendre des risques inconsidérés avec la vie humaine.
Avant de parler de méthode scientifique, il faudrait que tu te familiarises un peu plus avec le concept
En résumé, on prend plus de risques avec la vie humaine en l'absence de gravité qu'en gravité limitée.
C'est tellement évident que je me permettrait de demander de mûrir un peu ta réflexion avant de l'exposer.
Au moins JackCore, lui, ne fait pas preuve de mauvaise foi.
Avec lui on peu débattre de façon intéressante, comparer des arguments.
Avec toi, on a l'impression de faire un bras de fer ou tu veux montrer que tu as la plus grosse.
Essayes un peu d'apporter une contribution autre que purement rhétorique à la conversation pour changer...
Merci d'avance.
Alors fais bien gaffe : micro ne veut pas dire mini.
micro, c'est impesanteur = 0 g.
mini, c'est une partie non négligeable de la pesanteur (genre 1/4 ou 1/3 par exemple).
On sait que micro, c'est pas bon, mais on ne sait rien de mini car on a jamais testé sur une longue période (les seuls qui ont testé c'est ceux d'Apollo pendant quelques heures a la surface lunaire).
T'aurais pas "légèrement" confondu le mot espace avec le mot planète, par hasard ?Apparement on est en plein dedansLe directeur de la NASA jusqu'en 2009, Michael Griffin, a identifié la colonisation de l'espace comme étant l'objectif ultime des programmes spatiaux actuels, mais la nécessité pour l'humanité de coloniser l'espace dans un futur proche ou lointain n'est cependant pas unanimement acceptée par la communauté scientifique, et un débat a toujours lieu à ce sujet.
C'était surtout pour l'idée de fond
Tu disais : L'homme n'a rien a faire sur ces cailloux a part y poser le pied une fois.
Alors j'ose même pas imaginer ta position sur l'univers entier
C'est exactement ce que j'ai dit depuis le début...Vous (toi et faith) mélangez les tests en IMPESANTEUR et les tests en mini gravité depuis le début. (...) Mais on a JAMAIS testé la reproduction sexuée en mini gravité.
c'est pour cette raison que rien ne dit qu'elle soit suffisante non plus.
J'espère que c'est enfin clair et qu'on aura pas a y revenir...
Oui jouer aux dominos: ceux de la théorie du même nom. Au sein d'un jeu passionnant appelé "guerre froide". Jeu dans lequel un pied humain posé sur la Lune avait de l'importance, contrairement à une patte de souris.Trop pressé de quoi ? de rentrer ? de faire la sieste ? de jouer aux dominos ?
C'est vraiment l'argument qui sort de nulle part ce truc...
Quand au reste, le ton monte:
Pitoyable.c'est toi qui est trop pressé de dire n'importe quoi. (...) Est ce de la mauvaise foi ou bien une incapacité a comprendre ce qui t'es dit ? (...) (...) On ne dirait pas non... (...) ha ouais ? sans déconner ? (...)je n'ai pas lu un truc censé (...)
Alors pourquoi as tu sorti ça =>
T'as vraiment la mémoire trop sélective pour moi.Tu as toi-même dit que ça a effectivement été tenté... as-tu changé d'avis depuis ?
Mauvaise foi trollesque caractérisée.
Je vais te passer en ignoré, je ne perdrais rien au vu de ta "contribution" a ce sujet, comme a d'autres ou j'ai pu observer tes interventions.
On reconnait tout de suite ceux qui sont nourris de Science Fiction à leur difficulté à prendre en compte un certain nombre de contraintes. La question des couts est souvent balayée comme étant triviale : selon eux il faudrait que l’humanité dépense les sommes nécessaires à un projet qu’elle doit réaliser à tout prix.
Pour moi, une mission d’exploration habitée de type Constellation est tout à fait réalisable, moyennant la solution de quelques « petits » problèmes encore non résolus (la gravitation, les radiations, etc.) et surtout moyennant l’ouverture en grand du robinet à finances, comme cela a été le cas pour Apollo. L’Amérique pouvait se le permettre (ou croyait le pouvoir). Mettons encore une fois les points sur les i : Apollo n’avait d’autre motivation que politique. La science n’était qu’un cache-sexe.
Ce programme a créé un précédent désastreux pour la NASA. Elle est née pour satisfaire le vœu du prince avec un budget illimité. Elle a réussi au-delà des espérances mais à mon sens elle ne s’en est pas remise : comme pour Ettore Bugatti rien n’était trop beau, rien n’était trop cher. Ça crée de très mauvaises habitudes.
Le problème d’aujourd’hui est que la NASA doit partager ses budgets entre une variété de missions : la navette jusqu’à la semaine dernière (mais elle continue à couter des sous), l’ISS, des programmes de recherche en aéronautique et astronautique et enfin la vraie science (les sondes et observatoires).
Depuis Apollo, les seuls succès de la NASA, éblouissants il faut le souligner, ont été dans le dernier domaine. Le reste, la navette, l’ISS, sont des fiascos dispendieux. Il faut aussi voir comment elle s’est pris les pieds dans le tapis avec les deux Ares.
En conclusion, tout projet autre que sonde ou observatoire robotisés ne peut que pomper les budgets déjà toujours sous pression des missions scientifiques.
En mettant les choses au mieux, une mission habitée sur Mars resterait 18 mois, chaque bonhomme pourrait travailler quelques heures par jour, cinq jours par semaine, six peut-être mais ça m’étonnerait, dans un rayon de quelques kilomètres autour de la base, alors que les rovers bossent pendant des années 24h/24 ou presque. De plus les hommes ne peuvent rien faire de plus et de mieux qu’un robot. Autrement dit, d’ici qu’une mission humaine mette le pied sur Mars (une vingtaine d’années) des dizaines de rovers auraient déjà sillonné tous les sites intéressants et amassé beaucoup plus de données.
Je parlais là de missions d’explorations lunaires ou martiennes : elles sont selon moi faisables mais inopportunes.
Par contre la colonisation est carrément une vue de l’esprit.
Une autre difficulté des amateurs de SF avec les contraintes (techniques, scientifiques, budgétaires, etc.) concerne l’éthique. Sur ce coup-là ce sont les Soviétiques qui ont créé des précédents fâcheux en faisant des expériences humaines dans leurs stations orbitales. Ça a donné au moins un résultat intéressant : on sait maintenant que l’homme ne supporte pas l’impesanteur à long terme. Mais aujourd’hui on est plus à cheval avec les principes : toute expérimentation humaine est proscrite à commencer bien sûr par celles qui ont trait à la reproduction et plus encore celles qui concernent l’évolution de générations futures dans un environnement différent.
Ne pas comprendre qu’il y a là une barrière infranchissable me parait assez grave.
ND
Alors la, les bras m'en tombent ! Je vais devoir écrire cette réponse avec le nezJe ne m’intéresse qu'aux sujets scientifiques.
T'es pas mal en mauvaise foi aussi : c'est tout de même fort de dire que la colonisation de l'espace n'est pas un sujet scientifique. Je veux bien que tu me dise que c'est une position ultra minoritaire comme tout à l'heure, mais certainement pas que ce n'est pas scientifique. C'est a la limite de l'insulte pour tous les scientifiques qui travaillent très sérieusement sur ces sujets.
Et quand tu parles de sujets scientifiques : tu parles de ceux qu'on trouve dans les livres des années 90 ?
Certes ce n'est pas envisageable économiquement et techniquement, c'est vrai aujourd'hui. Mais je suis certain que dès qu'il en aura les moyens, la possibilité, l'Homme ira forcément découvrir les planètes qui l'entourent. C'est ca nature : chercher, comprendre, découvrir, conquérir, avancer, coloniser ... et ca me rassure qu'il y ait des gens qu'il y travaillent ! Qui cherchent des solutions et qui ne rejetent pas tout en bloc ...
Après c'est sur qu'en l'état de nos connaissances c'est de la science-fiction, une douce utopie. Mais reconnait quand même que dans la sciences d'aujourd'hui, il y a pas mal de la science-fiction d'hier !
Attends : tu me parles de l'univers, donc de l'interstellaire au minimum (voir de l'intergalactique...), pas de l'interplanétaire.
La question de savoir si on pourra un jour envoyer un homme dans un autre système stellaire n'est pas, j'insiste, un sujet scientifique.
Sur mars, on peut faire des perspectives. Vers une autre étoile, c'est du plan sur la comète.
Ça ne signifie pas qu'on ne peut pas extrapoler, comme l'a déjà fait Gilgamesh, par exemple, sur ces forums, avec une méthodologie tout a fait scientifique.
Mais en faisant tellement de suppositions et de projections que c'est a prendre au deuxième degré et que c'est plus un exercice intellectuel que le reflet d'une quelconque réalité future.
Certainement pas non !Mais reconnait quand même que dans la sciences d'aujourd'hui, il y a pas mal de la science-fiction d'hier !
Il y a eu déjà de nombreux débats a ce sujet ici même, qui démontrent sans aucune ambiguïté que JAMAIS la science fiction n'a prévu quelque chose de façon correcte.
C'est pas pour rien qu'il y a fiction derrière science.
La science fiction, c'est du grand n'importe quoi qui n'a jamais rien prévu comme ça s'est passé dans la réalité, et qui n'est constellé que de projections totalement utopiques et déconnectés de la réalité.
A chaque fois que la science a réalisé une chose qui était proposée par la science fiction, c'est toujours par des moyens si différents, qu'ils n'ont aucun rapport avec ce qui a été réalisé.
La science d'aujourd'hui ne comprend aucune part de la science fiction d'hier.
Ceci est un mythe total, une croyance urbaine.
la prévision, en la matière, est un art impossible, car la science fiction se montre incapable de faire des projections sur autre chose qu'une partie infime de ce qui arrivera en réalité.
Exemple trivial : l'informatique et les réseaux.
Qui éliminent toute forme de crédibilité a ce qui a été produit avant les années 80 en matière de projection de science fiction.
Ne confondons pas les but et les moyens.
Les moyens ne peuvent pas, par définition, être anticipés.
Ce qui rend caduque toute forme d'anticipation, par définition.
Dire que Jules Verne avait prévu qu'on irait sur la lune, c'est oublier que c'est simplement le reflet du rêve de l'homme depuis les grecs (ou a peu près) et que les moyens proposés par le grand jules pour le faire ne nous auraient jamais permis d'y parvenir.
C'est donc de la très mauvaise prévision, comme toute la science fiction d'ailleurs.
La science fiction, c'est fait pour rêver, mais en aucun cas pour anticiper une réalité de demain.
Et voilà, t'es reparti dans les poncifs...
NON, personne ne travaille a la conquête des planètes du système solaire par l'homme, désolé.
"Travailler a", ce n'est pas quelques individus isolés qui produisent un rapport hyper optimiste pour justifier leur salaire, mais commencer a créer des réalisations concrètes.
Ne me cites pas Mars 500 stp... je parle de programme spatial, pas "d'études psychologiques".
Voilà un plaidoyer passionné… mais avec des arguments déjà entendus maintes fois.Mais je suis certain que dès qu'il en aura les moyens, la possibilité, l'Homme ira forcément découvrir les planètes qui l'entourent. C'est ca nature : chercher, comprendre, découvrir, conquérir, avancer, coloniser ... et ca me rassure qu'il y ait des gens qu'il y travaillent ! Qui cherchent des solutions et qui ne rejetent pas tout en bloc ...
Bon d’accord l’homme a besoin de se projeter dans le futur, dans des aventures épiques, dans des explorations lointaines et de vibrer avec les héros qui vont fouler des terres inconnues.
C’est un vrai besoin, c’est incontestable. Mais, tout au long de son histoire, et même sûrement avant la période historique, l’homme a éprouvé un autre besoin irrépressible et qu’il a satisfait jusqu’à plus soif : faire la guerre, aller faire des razzias chez ses voisins, étendre sa domination sur leurs territoires, voire réduire en esclavage ses habitants, à moins de les massacrer, de violer les femmes et de réduire leurs villes en cendres. C’est comme ça que s’est bâti l’empire romain, dont nous sommes les héritiers, entre autres. Certains autres conquérants ont surtout mis l’accent sur l’aspect destruction de leurs exploits guerriers comme les Mongols par exemple.
Ce besoin n’est certainement pas éteint aujourd’hui, il est seulement tenu en bride dans une certaine mesure.
La question est donc de savoir si le fait que ce besoin soit profondément ancré dans la nature humaine, et même dans la nature animale, le rend nécessairement légitime.
De la même manière, dès les origines, les sociétés humaines complexes qui ont donné naissance aux civilisations sont sans exception, selon nos critères modernes, totalitaires, inégalitaires et autoritaires. Les notions de démocratie, de justice et d’égalité sont des inventions très récentes et elles sont toujours allées à contre-courant des tendances lourdes. Un visiteur extraterrestre à la Renaissance, ne voyant sur Terre que des régimes intrinsèquement autocratiques et hiérarchiques et apprenant qu’il en avait toujours été ainsi aurait pu conclure que le fascisme (pour simplifier) est dans la nature humaine.
Aux temps forts du combat féministe il est devenu clair que beaucoup d’hommes considéraient comme légitime leur besoin de domination sur les femmes au nom d’une nature humaine qui les arrangeait bien.
La question est donc toujours de savoir si, même si c’est dans sa nature, ce besoin doit nécessairement être assouvi. La maturité consiste entre autre à accepter que ses envies soient frustrées parce qu’il n’est pas forcément possible ou souhaitable de toutes les satisfaire.
Que voilà encore une de ces idées débiles chères aux amateurs de SF ! Comme si la SF précédait la science et lui ouvrait la voie ! Depuis ses origines la science a toujours créé la surprise. Personne n’a jamais anticipé une seule découverte scientifique : que ce soient les découvertes de Galilée en astronomie ou en cinématique, celles de Newton sur la gravité, celles de la RG ou de la MQ pour ne prendre que quelques exemples.
Cela dit il me parait clair que tu fais une confusion entre la science et la technologie. En effet Jules Verne a envoyé des gens sur la Lune… mais avec un canon !
ND
C'est pour ça que je lui disais, avec tout le respect que je dois a sa passion, qu'il lui faudra un certain temps et une meilleure connaissance du secteur spatial (technique et économique) avant de donner plus de pertinence a son avis sur le sujet.
Je ne voulais pas le vexer, mais il ne se rend pas compte qu'il doit être le cinquante douzième qui tient ce discours ici
Et que ça ne rend pas ce discours plus crédible pour autant, que c'est le reflet de "l'imagerie populaire" (sans moquerie de ma part) ultra répandue, mais sans aucune consistance, car elle ne prend pas en compte ni l'histoire du secteur, ni les possibilités techniques, ni les possibilités financières.
Les responsables de cet état de fait étant les romanciers de science fiction et Hollywood qui pervertissent totalement l'approche qui doit être faite de ce secteur.
La différence entre la science fiction et la réalité, c'est la même qu'entre les vaisseaux spatiaux de starwars et la navette spatiale : absolument strictement rien a voir.
Sauf le thème de départ : voyager dans l'espace.
mais le thème de départ, c'est quand même extrêmement trivial, et ça ne présume en rien des moyens qui seront employés, ni a quelle date.
Donc, ni quand, ni comment.
On ne peut certainement pas dire, dans ces conditions, que la science fiction anticipe quoique ce soit.
Hey les mecs, juste un petit lien sur la science-fiction : http://www.itsf.org/index.php?PAGE=project%2Findex.html. Je cites :
La science s'inspire aujourd'hui même de la science-fiction ! Sans même que vous le sachiez !L'Agence Spatiale Européenne (ESA) a demandé à la Maison d'Ailleurs et à la O.U.R.S. Projet de diriger une étude sur les technologies décrites dans les oeuvres de SF, afin d'en tirer des idées pouvant éventuellement être développées plus avant et appliquées au secteur spatial européen.
Alors oui c'est sur que la SF ne décrit pas les moyens d'arriver à un résultat, mais c'est l'idée qui compte. Le rêve c'était d'aller sur la lune et pas d'aller sur la lune avec une fusée rempli de XXX mega tonnes d'ergols en prenant un angle de X degré ... et blablabla ! Sans ce rêve est-que nous aurions été un jour ?
Quand on rêve de voyager dans l'espace comme dans Star Wars par exemple : c'est ce rêve qui compte ou c'est savoir quelle forme aura le vaisseau ? Un avion, un triangle, une boule, une banane ... on s'en fou !
Et enfin, je ne me base pas sur ce que je voudrais qu'il soit possible, mais sur les discours de scientifiques qui disent que se sera peut-être possible un jour.
Et ca c'est de la science-fiction de quand ? 10 ans ? 20 ans ? 50 ans ?
http://www.youtube.com/watch?v=4sjV_...eature=related