En changeant le nom du QI, en test de mesure de cognition problématique (TMCP).
Bonjour
Avant de parles d’intelligence ne devrions-nous pas savoir à quel type d’intelligence nons nous referons, autrement dit aux différentes intelligences qui nous habitent ?
Tout en tenant compte que même si nos capacités pour des fonctions mentales comme l’intelligence, le langage ou l’émotion sont innées, nous ne pouvons pas pour autant expliquer leurs différences entre les gens en termes génétiques.
Bonjour,
Je ne pense pas qu'il y a des gens qui sont plus intelligents que d'autres. Il y a juste des personnes qui travaillent, stimulent et améliorent leur capacité mentale plus que d'autres.
On peut être nul dans un domaine, mais grâce à différents outils on peut améliorer notre intelligence dans ce domaine. La lecture, la curiosité, l'éducation, le questionnement, la remise en cause, peuvent être de pistes pour améliorer son intelligence!
Nier les différences d'intelligence (en qualité comme en "quantité"), c'est nier la variété humaine d'une part et de facto léser ceux qui ne seront pas dans "la" norme d'une façon ou d'une autre
À chacun ses forces et ses faiblesses, dans tous les domaines et pas uniquement "l'intelligence"
Peut-on parler, par exemple, d’une intelligence de la bactérie qui s’adapte à l’environnement, en appréciant sa propre situation chimique et celle de ce qui l’entoure ?
Comment pouvons-nous interpréter le fait que certains individus manifestent un talent exceptionnel dans un contexte pathologique ?
Oserais-je affirmer qu’on n’est jamais intelligent que de l’intelligence des autres ? P.S. Au néolithique, Galileo, Einstein et bien d’autres hommes célèbres, n’auraient sans doute inventé « que » un nouveau moyen de mesurer les peaux d’ours ou, exceptionnellement, un boomerang ?
Non : la bactérie n'a pas de cerveau. Pas plus qu'une hématie humaine. Va falloir sérieusement arrêter de voir de la "volonté" ou de "l'intelligence" partout
Un talent "exceptionnel" ou non est avant tout une capacité reposant sur une base innée plus ou moins favorable, travaillée/développée par des acquis qu'on appelle l'expérience.
Un talent exceptionnel n'est d'ailleurs pas synonyme avec "facilité innée", eut égard à la bonne tendance à l'échec scolaire des enfants précoces qui vivent très mal leurs premiers (et relativement "tardifs") efforts/difficultés, voire échecs.
…….. « Non : la bactérie n'a pas de cerveau. Pas plus qu'une hématie humaine. Va falloir sérieusement arrêter de voir de la "volonté" ou de "l'intelligence" partout »….
D’accord en ce qui concerne la volonté, mais quand on parle d’intelligence artificielle, par exemple, à quel type d’intelligence s’adresse-t-on ? Sur le plan de l’intelligence, l’ordinateur pourrait-il un jour nous être supérieur ?
Lorsqu’on s’intéresse à la cognition humaine, il faut définitivement admettre l’entrelacement causal du cognitif et de l’émotif, qui ne se bornent pas à cohabiter (comme par exemple le font la musique d’un film et le film lui-même) mais s’influencent mutuellement. Pourquoi ne pas s’imaginer que l’entrée en résonance d’objets mentaux au niveau de l’élément cognitif se communique au plus proche voisin « émotionnel » dit cortex frontal, y déclenche des règles d’impulsion qui se propagent jusqu’au système limbique et l’hypotalamus, y déterminant une tonalité effective de plaisir ou, au contraire, en cas de dissonance, un effet dépressif ?
P.S. Peut-on imaginer, quand on se rend compte d’une faute, que changer de paradigme est un signe d’intelligence ?
L'émotion, c'est juste une part de la cognition
Vous confondez "résonance" (comme en physique newtonienne ou autre ?) avec la capacité cognitive d'empathie -- laquelle s'appuie sur les fameux neurones-miroirs qui n'ont rien de mystique/magique.
Le reste est du charabia fait d'accumulations sans réelle compréhension des neurosciences
Vous ne répondez pas à la demande : Sur le plan de l’intelligence, l’ordinateur pourrait-il un jour nous être supérieur ?
Et, comme vous qualifiez de « charabia » mon commentaire précedent, (qui n’est pas vraiment le mien ma celui d’Hugues Bersini !)… je vais essayer d’être le plus clair et rationnel possible. En commençant par les tests Q.I. :
1°-Ce que les tests QI mettent en avant, c’est l’aptitude au raisonnement mathématique ou logique, la capacité de jouer avec les mots et d’en maîtriser la richesse sémantique, la disposition à manipuler mentalement des figures géométriques ou à poursuivre des séries logiques. Pour ce type d’exercice, ce que le test doit réussir, et cela dans un minimum de temps, est de découvrir ce qui relie logiquement une suite de nombres (donc calculer dans sa tête), de s’interroger sur les synonymes ou des proximités sémantiques (donc feuilleter un dictionnaire dans sa tête), et relier des figures (en les faisant se déplacer ou pivoter, la encore dans sa tête). Tout doit en effet, se passer dans la tête vite et bien.
Ils prédisent l’avenir scolaire avec une précision remarquable, mais ils n’ont guère de valeur pronostique en ce qui concerne la vie professionnelle. De plus, comme ils ne mesurent que les capacités logiques ou logico-langagières, nous sommes presque « conditionnés » à restreindre la notion d’intelligence aux seules compétences mises en œuvre dans la résolution des problèmes de cet ordre.
2°-La mesure de l’intelligence par les tests d’intelligence franchit ce que nous considérons être les limites légitimes de la cognition. Une des raisons est que ces tests n’opèrent pas à l’intérieur des frontières d’un authentique domaine d’activités humaines. Alors que les tests d’intelligence ne se réfèrent qu’à l’individu, le concept de l’intelligence doit prendre en considération à la fois les individus et les sociétés.
Si l’évaluation n’est pas placée dans le contexte de domaines authentiques et d’environnements sociaux, nous doutons qu’elle puisse rendre compte du fonctionnement intellectuel de manière adéquate.
-Beaucoup d’individus réussissent leur vie mieux, ou moins bien, que ce que leur quotient intellectuel (QI) laissait présager ! Et j’ajoute, sans aucune hésitation, que le succès dans la vie « réussir dans la vie » mais aussi « réussir sa vie » dépend autant, si ce n’est plus, d’un quotient émotionnel (QE) élevé que d’un fort quotient intellectuel (QI).
3°-Comme presque tous les rôles culturels requièrent plusieurs intelligences, il importe donc de considérer l’individu comme détenteur d’un éventail d’aptitudes, plutôt que d’une faculté unique de résolution de problèmes qui seraient mesurables par des tests papier-crayon. La maturité dans un domaine n’implique pas l’équivalent dans un autre, pas plus que l’existence d’une prédisposition dans une discipline ne signifie que l’individu sera talentueux dans une autre.
P.S. -La question essentielle -qui n’est sans doute pas celle du psychologue- est de savoir si l’intelligence est une fonction physiologique. Autrement dit : peut-on l’expliquer à partir de l’anatomie et de la physiologie ?
Ah, les ordinateurs de la SF
Un ordinateur n'est qu'une machine de calcul. Celui qui est intelligent n'est pas tant le programme que l'équipe de programmation et assemblage derrière. Un peu comme dire que le silex était déjà intelligent parce qu'il savait couper.
D'ailleurs ne pas confondre les tests de "QI" sur Internet avec les vraies évaluations du QI que font passer es professionnels de la santé psychiatrique. En effet lesdits professionnels ne limitent pas la mesure du QI au décompte des bonnes et mauvaises réponses, c'est tout un métier. Croire le contraire c'est seulement se fourvoyer, d'où des biais dans votre raisonnement Le reste, à l'avenant.
L'intelligence est aussi un aspect cognitif, comme l'émotion/"psychologie". D'ailleurs vous devriez relire l'intégralité de ce fil, parce que nombre de réponses à vos questions ont déjà été abordées précédemment. Histoire d'éviter de tomber dans la fiction ou les préjugés quant à ce que devrait être "réussir sa vie"
Vous affirmez : …..Un ordinateur n'est qu'une machine de calcul. Celui qui est intelligent n'est pas tant le programme que l'équipe de programmation et assemblage derrière…..
Vous n’avez pas répondu à ma demande : « Sur le plan de l’intelligence, l’ordinateur pourrait-il un jour nous être supérieur ? »
Pour autant que l’on tienne séparés aussi nettement que possible intelligence rationnelle et intelligence émotionnelle et corporelle, il est effectivement envisageable de comparer entre elles des performances intellectuelles idéalement délimitées. La réponse est alors évidente. Bien sur que oui. Il nous est d’ailleurs déjà supérieur dans de très nombreuses occasions. Kasparov est bien placé pour le savoir.
-L’ordinateur nous rend plus intelligent, en nous aidant à comprendre les phénomènes complexes, mais la croissance exponentielle de nos ordinateurs, considérés comme un troisième lobe du cerveau, est limitée par notre propre capacité à comprendre leurs résultats. Sic ! -Créatures divines dites-vous ?.....
P.S. Contrairement à vos certitudes, il s’avère que les organismes vivants dépourvus de tout cerveau, si on descend jusqu’aux protozoaires, ont également un comportement qui paraît –jusqu’à preuve du contraire- intelligent et finalisé ! Leur finalité ? Se reproduire !
Permettez-moi une toute dernière question : Existe-t-il à votre avis des « gènes de l’intelligence » ? Merci pour la réponse.
Implicitement, je comprends que la machine de calcul est dépourvue d'intelligence et la réponse serait donc non, sinon, ce ne sera plus une machine à calculer mais autre chose.Vous affirmez :Vous n’avez pas répondu à ma demande : « Sur le plan de l’intelligence, l’ordinateur pourrait-il un jour nous être supérieur ? »…..Un ordinateur n'est qu'une machine de calcul. Celui qui est intelligent n'est pas tant le programme que l'équipe de programmation et assemblage derrière…..
Doit on donc aussi mettre le chimiotactisme parmi les formes d'intelligences ?P.S. Contrairement à vos certitudes, il s’avère que les organismes vivants dépourvus de tout cerveau, si on descend jusqu’aux protozoaires, ont également un comportement qui paraît –jusqu’à preuve du contraire- intelligent et finalisé ! Leur finalité ? Se reproduire !
indépendamment des avis et des votes des uns et des autres, on n'a pas encore vraiment déterminé ce qu'est l'intelligence (même si on constate ce que représente son absence) et il est donc difficile de trouver des gènes qui coderaient spécifiquement pour quelque chose qu'on ne connait pas.
De rien
Les neuroscientifiques ont aperçus très vite qu’il n’était pas possible de mesurer une intelligence dans l’abstrait. Toute tentative en ce sens avait pour effet d’évaluer des expériences antérieures. Si nous demandons à des coristes de chanter une chanson, ou de créer une nouvelle mélodie, nous n’évaluons pas une intelligence musicale « authentique » mais plutôt la nature et l’étendue de leurs expériences précédentes dans le domaine musical.
Cependant Sternberg discerne au moins trois facettes de l’intelligence,
-Howard Gardner en décèle neuf….
N.B. La vie est un processus, une organisation de la matière et qu’elle n’existe pas en tant qu’entité indépendante qu’on pourrait caractériser (quelque substance spéciale ou force vitale). Suivant la même logique, les sciences cognitives contemporaines, notamment la psychologie expérimentale et les neurosciences, considèrent que l’intelligence n’est autre qu’un processus, une organisation de la matière (corps, cerveau) et de la vie. Elle s’affirme au fur et à mesure des sommets atteints dans les massifs de la pensée abstraite. Et se manifeste dans la faculté à très vite aller à l’essentiel, à atteindre le bon niveau d’abstraction, celui qui permet les cheminements mentaux les plus instructifs, le plus aboutis, et qui s’approchent le plus vite de la solution.
-Plus on est intelligent, donc, et plus on risque de se tromper intelligemment…..
P.S. Question à 1€ : qu’est-ce que l’intelligence ?
@ GREBEN
Contrairement à vos certitudes/croyances, le Vivant n'a pas de "finalité" Ce serait comme voir une finalité à la masse de la matière dans des processus physiques.
Ce que vous croyez être "intelligent et finalisé" ne l'est pas (c'est truffé de défauts, d'erreurs, et le facteur chance y est pour beaucoup). Pour être plus juste, vous n'observez pas un protozoaire "intelligent", seulement le résultat d'innombrables pressions de sélections sur une lignée donnée. N'essayez pas de voir de "l'intelligence" partout comme certains penseraient même que les enzymes bougent intelligemment -- d'où on finit par en dériver des absurdité comme le Dessein Intelligent ou la Mémoire de l'Eau, etc.
Réponse à 1€ :
Et en bonus :Ce que vous expliquez là, est, comme l'a dit Shokin, la capacité de synthèse.
L'intelligence est une notion plus vaste que ça.
Les tests de QI mesurent les capacités d'analyse, d'abstraction, de déduction (à partir d'un support verbal ou visuel), la capacité à s'exprimer au travers de la qualité du champ lexical, la compréhension des normes sociales, la mémoire, les capacités d'attention ...
PS : de multiples spécialistes du cerveau, des neurologues, pédagogues, psychologues etc ... essayent de définir depuis des années ce qu'est l'intelligence.
Pas la peine d'essayer de réinventer l'eau tiède à partir d'une compréhension apparemment approximative de ce qu'est le fonctionnement cognitif
@noir-ecaille :
Je n’ai pas dit –et depuis belle lurette je ne le pense même pas- que le Vivant biologique, pas plus que l’Univers, a une finalité ! Il serait irrationnel, voire absurde, le croire. J’ai simplement dit que le protozoaire n’a d’autre « finalité » (ou but), du moins apparemment, que de vivre en symbiose avec son entourage et se reproduire. Peut-être ais-je eu tort d’employer le mot « finalité », dont cette attribution n’a pour moi aucune connotation métaphysique, en ce qui le concerne ? J’aurais pu tout aussi bien dire, par exemple, que ma « finalité » (mon objectif..) consiste à essayer de comprendre pourquoi le cerveau humain est un système sélectionniste, et non instructionniste ou pourquoi il y a quelque chose plutôt que rien…..
P.S. -Le progrès existe en philosophie des sciences. Mais il ne signifie nullement que nous sommes plus intelligents que dans le passé ! Et ce progrès n’est certainement pas du à notre encéphale, qui est à peu près stable depuis 40.000 ans, mais est étroitement lié au progrès de la science, notamment les sciences cognitives (bien qu’elles se soient surtout intéressées pour l’instant à l’auto-perception verbale plutôt qu’à celle imagée ou analogique), qui nous permet de mieux distinguer entre connaissance « véritable », jamais exacte et encore moins absolue, et nos illusions.
Attention donc à vos formulations. Mine de rien, contraindre son vocabulaire et son phrasé contraint au moins partiellement le raisonnement -- être rigoureux tend à limiter les biais.
Oui, on peut en citer plein ! Comme le très fameux Plasmodium falciparum (paludisme), Trypanosoma brucei (maladie du sommeil), Entamoeba histolytica (dysentrie), etc.
Par ailleurs, se reproduire est secondaire. Cette fonction ne s'active qu'à condition qu'un organisme donné parvienne à une maturité suffisante pour se la permettre, et encore. Un(e) organisme/cellule peut survivre même en étant stérile (ex : hématie, neurone, mulet, ouvrière fourmi...). Les premières divisions cellulaires ont sans doute été accidentelles, à l'image de la scissiparité irrégulière/désordonnée des formes L des eubactéries. La sélection naturelle a fait le reste.
Pourquoi il y a quelque chose plutôt que rien est métaphysique par excellence. Ce qui illustre ce que j'explique relativement aux biais analytiques et à l'autodiscipline langagière.Peut-être ais-je eu tort d’employer le mot « finalité », dont cette attribution n’a pour moi aucune connotation métaphysique, en ce qui le concerne ? J’aurais pu tout aussi bien dire, par exemple, que ma « finalité » (mon objectif..) consiste à essayer de comprendre pourquoi le cerveau humain est un système sélectionniste, et non instructionniste ou pourquoi il y a quelque chose plutôt que rien…
Vu les progrès des dernières années par exemple en prosthétique électronique, en particulier tout ce qui concerne la motricité ou le toucher ou même la vue, il vaudrait mieux d'abord vous renseigner sur les progrès réels des neurosciences au lieu de plastronner vos préjugés réductionnistes sur ce qu'il en est vraimentP.S. -Le progrès existe en philosophie des sciences. Mais il ne signifie nullement que nous sommes plus intelligents que dans le passé ! Et ce progrès n’est certainement pas du à notre encéphale, qui est à peu près stable depuis 40.000 ans, mais est étroitement lié au progrès de la science, notamment les sciences cognitives (bien qu’elles se soient surtout intéressées pour l’instant à l’auto-perception verbale plutôt qu’à celle imagée ou analogique), qui nous permet de mieux distinguer entre connaissance « véritable », jamais exacte et encore moins absolue, et nos illusions.
Quant à l'humain, il est toujours en plein évolution, sur tout les plans. Par ailleurs, la Science et sa philosophie sous cette forme (moderne) qu'on lui connaît actuellement a, au plus deux cents ans d'existence.
Revenons à notre sujet : l’intelligence…
Le sens du mot intelligence n’est pas clair. Est-ce un bien, un processus, un contenu, un style, ou tout cela à la fois ? Fondamentalement, pourrais-je (oserais-je ?) considerer l’intelligence comme un potentiel biopsychologique ? En d’autres mots : que chaque membre de l’espèce a la potentialité d’exercer l’éventail de facultés intellectuelles propres à l’espèce ?
Tout en tenant compte que l’homme –singe épiphénoménal de l’espèce humaine- ne peut être que psychologiquement incohérent ?
P.S. : Le fait d’être réducteur a aussi mauvaise presse parce que, poussé dans sa logique extrême, cela demanderait par exemple de décrire la poésie en termes de particules subatomiques. Je considère ce type de réduction absurde qu’i faut éviter !
Je recherche plutôt les réductions non absurdes, celles qui font sens, et je crois qu’il est raisonnable de commencer à considérer le soi en termes de synapses !
Mon clavier est en panne donc j'écris à la souris.
Pardon si je ne développe pas cette fois.
"Biopsychologique" ou singe "épiphénoménal de l’espèce humaine" etc = pipotron
Pour la énième fois, relisez l'intégralité du fil au lieu de tergiverser en balançant des bêtises
Cher noir-ecaille, je crois avoir dépassé l’âge et le stade de me faire tirer en bourrique par un inconnu quelque peu cynique et qui semble prendre un certain plaisir à humilier certaines personnes dont je fais partie !
Si vous ne savez pas ce que respect et humilité veut dire, à quoi peut-il vous servir votre incommensurable savoir ? Je ne serais nullement surpris d’apprendre que vous êtes psychopathe ! Et comme disait Kai Nielsen : « si Dieu est mort, rien n’a plus de sens » est un enfant gâté qui n’a jamais jeté un regard de compassion sur ses semblables….
P.S. Mes interventions sur ce site s’arrêtent ici ! Vous voilà soulagé monsieur noir-ecaille, un ignorant et bête de moins, indigne de poster des commentaires sur votre site prestigieux, peut-être même quelque peu élitiste…..
Bonne continuation à vous tous
Calmons-nous et tenons-nous-en au contenu au lieu de spéculer sur les personnes. L'humilité devrait nous encourager à ne pas adopter de comportements péremptoires, mais à toujours continuer d'apprendre.
Pardon, humilité, humour, hasard, tolérance, partage, curiosité et diversité => liberté et sérénité.
Juste une remarque d'ordre général : quand on cherche à continuer un fil de discussion, il est de bon ton de le lire au préalable. Cela évite des redites d'une part, et une question de courtoisie envers tous les autres intervenants d'autre part.
En espérant que ces vingt pages ne furent pas en vain
@noir-ecaille:
Cher monsieur ce que vous recherchez, peut-être inconsciemment, ce n’est guère un dialogue courtois digne d’une personne humble, non arrogante, respectueuse des autres, peut-être même cultivée…mais la provocation ! Dominer les autres avec des sous entendus et épithètes injurieux n’est pas vraiment digne d’une personne qui se croit cultivée ! Ce qui vous motive (et que vous semblez ignorer) ne serait-elle pas cette pulsion archaïque qui pousse l’humain à gravir l’échelle hiérarchique de dominance, arriver le plus haut possible -souvent pour compenser ses faiblesses, son mal-être- ou sentiments d’infériorité ?... démontrer sa (pseudo)force tout son « savoir », sa Vérité indiscutable ?..et gare à tout ceux qui osent avoir des opinions différentes, qui osent le contredire…
N.B. : Ne vous a ton jamais fait remarquer qu’on peut faire des remarques pertinentes, constructives, sans insulter et/ou humilier vos interlocuteurs ?
Pour votre information sachez que mes commentaires s’appuient sur des études académiques, conférences, livres, etc.. par des scientifiques tels que :
-Joseph Ledoux ; Gérard M.Edelman ; R.Vigouroux; J.P.Levy ; Jean Bricmond ; Hugues Bersini ; Laurent Cohen ; Howard Gardner ; Allen Frances ; G.Chauvet ; J.P.Changeux ; Georges Charpak ; Stanislas Dehaene, pour ne citer que ceux-là…..
Tous des paranoïaques dites-vous ?
Si vous voulez vous chicaner, il y a d'autres lieux pour ça.
Rappelons que les procédés d'intention (et autres sophismes) ne sont pas appréciés sur ce forum.
La finalité n'est pas l'objet de la science. Le forum FUTURA SCIENCES n'est pas le lieu où discuter de philosophie (sauf d'épistémologie et d'éthique appliquée aux sciences) ou de métaphysique.
Étaler ses différentes lectures n'est pas signe d'humilité mais relève plus de l'argument d'autorité.
Pardon, humilité, humour, hasard, tolérance, partage, curiosité et diversité => liberté et sérénité.
C'est à la fois un contenu : la somme des connaissances acquises (intelligence cristalisée) et la capacité à résoudre des problèmes nouveaux (intelligence fluide)
Non, tous les hommes ne sont pas égaux en termes de capacités intellectuelles.
Il y a une part d'inné et d'acquis.
L'environnement est très important dans le développement du potentiel inné
On peut définir l'intelligence en quelques mots pour moi (surdouée) :
La Capacités de ton cerveaux
il n'y a pas de basse intelligence ou de haute juste des intelligence différente
c'est comme les hommes, c'est quoi un humain normal et un humain anormal, la différence c'est quoi ? c'est ce qui ne ce ressemble pas, et rien ne ce ressemble
Très éclairante et opératoire, comme définitionOn peut définir l'intelligence en quelques mots pour moi (surdouée) :
La Capacités de ton cerveaux
il n'y a pas de basse intelligence ou de haute juste des intelligence différente
c'est comme les hommes, c'est quoi un humain normal et un humain anormal, la différence c'est quoi ? c'est ce qui ne ce ressemble pas, et rien ne ce ressemble
On y apprend que les surdoués sont quand même mieux dotés en cerveauX...