Non
Tant qu'on restera sur cette confusion entre quelque chose et sa représentation, il est impossible de discuter.
http://www.poster.net/magritte-rene/...me-9907073.jpg
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Non
Tant qu'on restera sur cette confusion entre quelque chose et sa représentation, il est impossible de discuter.
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C'est peut être une pipe alors ?
La représentation de l'espace-temps par le cubisme http://fr.wikipedia.org/wiki/Quatri%..._et_le_cubisme
Patrick
je comprends l'idée et je me rend compte que je me suis mal exprimé.(ou alors je n'ai pas les outils pour exprimer correctement ma pensée)Bonjour,
Je crois que ce qu'on peut dire, c'est que le temps ne va pas plus vite ou moins vite selon le lieu (ou le mouvement). Ce qui change, c'est que chaque point "se charge" d'une histoire particulière et différente, et que cette charge différente se traduit par une tension quand les points se trouvent réunis dans l'espace, c-à-d quand on les contraint à partager désormais la même histoire. Un "choc culturel" en quelque sorte...
je vais tenter l'analogie et avec mes mots.
ce que j'ai voulu dire , imaginons que l'univers soit un bonbon bicolore (jaune et rouge par ex) et que le temps soit une des couleurs, si tu tords le bonbon, cela va changer la couleur.(etirée , elle ne sera pa la meme partout..)
que nous de notre point de vue rien ne change, les horloges marquerons toujours une seconde,les constantes seront verifiées mais vu que l'univers lui meme est instable et changeant, la seconde en 2010 n'est peu etre pas la meme que celle de 1900 meme si les horloges le disent, vu que la terre s'est deplacée dans l'univers qui a lui meme change de forme, c'est plus le meme referentiel. je suis d'accord avec toi sur les points et leur charge, mais je parlais plus dans ce sens la.
pour pouvoir repondre a cette question il faudrait une connaissance precise des mecanismes qui regissent l'univers et des outils qui permetraient de mettre en lumiere une eventuelle anomalie( si elle existe...)
ma reflexion est purement theorique je ne connais meme pas les bases de la base (j'ai un niveau bac ) mais je pense que la question se pose.
La seconde est un étalon permettant de comparer des durées. Cela reviendrait à changer d'étalon. Quel impact cela aurait-il sur les lois de la physique qui servent à décrire la nature ? Nous serions dans le cas d'une invariance par transformation symétrique non ?
Patrick
Salut,
ben moi je veux bien... mais je ne sais pas ce qu'en penseraient les jumeaux. La physique, pas de souci, je sais bien qu'elle peut dormir tranquille!
La pensée des jumeaux je ne sais pas car je n'ai jamais eu l'occasion de les rencontrer, par contre concernant les equations de la RG il me semble que l'horloge nous indiquerait la même chose.
Patrick
A partir du moment ou l'objet mesuré et l'étalon sont dans le même rapport proportionnel, quelle que soit l'échelle, il n'y a rien à observer ...et les changements demeurent en deçà de notre connaissance.
Le changement d'étalon ne change rien à la mesure hormis la façon dont elle s'exprime, ce que ne semble pas réaliser betatron. A vrai dire, l'étalon on s'en fout, 0° Celsius ou 32 Fahrenheit ou 273 Kelvin, c'est du pareil au même
273,15 k !!! :s:
Merci octafou, c'est d'un intérêt majeur ! Un bémol, K c'est en majuscule.
Je t'en pris pas octafou ... çà m'irrite un endroit que je ne nommerais pas !!!
Oui mais je sais pas y'a eu un bug et lors de la prévisualisation çà ne voulait pas passer en majuscule !!!
ou alors 0,27315 kK si on veut garder un k minuscule
Waouwww, t'es en forme Michel, mais cela correspond t'il à une norme valide (internationalement parlant), bref selon les conventions quoi !
Je galèggeeeeuuuuuuu !
Eh bien justement! Il semble que l'horloge en question montre clairement que deux secondes étalon peuvent être en contradiction observationnelle. Evidemment, on peut toujours se demander ce que ça signifie:La pensée des jumeaux je ne sais pas car je n'ai jamais eu l'occasion de les rencontrer, par contre concernant les equations de la RG il me semble que l'horloge nous indiquerait la même chose.
-est-ce que le temps ne s'écoule pas à la même vitesse dans un champ de gravitation (les atomes gardant leur rythme)
ou:
-est-ce que la vibration d'un atome (et de n'importe quoi d'autre) est ralentie dans un champ de gravitation (le temps restant inchangé)
Je n'ai pas l'impression que ça fasse une grosse différence. Ce qui en fait une, c'est la signification ontologique du désaccord. Et ça, aucune équation ne saurait l'expliquer.
Je ne comprends pas pourquoi l'ontologie de la MQ a pu faire couler tant d'encre, et qu'on considére la Relativité comme une simple recette de cuisine. Les deux me semblent aussi inconvenantes pour l'esprit.
Je ne réaliserai rien du tout tant que je n'aurai pas compris les jumeaux de Langevin. Sans diagramme!
Ceci dit, je crois réaliser tout ce qu'on peut réaliser à BAC S +2, ce qui me donne le droit de balayer devant la porte de Rovelli
Pffff... prout ma chère .... mais toujours sans réponse quant au changement isomorphe de mesure ... et les jumeaux de Langevin n'y changent rien.
C'est chouette de se donner des droits (encore faut-il se rappeler qu'à tout droit est associé un devoir, notamment celui d'honnêteté ... scientifique)
Je me le rappelle à chaque instant. Mais, honnêtement, les jumeaux de Langevin ne font-ils pas apparaître un changement définitivement non-isomorphe? Ou alors je ne comprends pas la question...Pffff... prout ma chère .... mais toujours sans réponse quant au changement isomorphe de mesure ... et les jumeaux de Langevin n'y changent rien.
C'est chouette de se donner des droits (encore faut-il se rappeler qu'à tout droit est associé un devoir, notamment celui d'honnêteté ... scientifique)
Si on prend l'image d'un globe pour expliquer l'espace-temps courbe, il est clair qu'un point peut décrire plein de boucles différentes le ramenant à son point de départ. Mais une fois fois revenu à ce point de départ, toutes ses coordonnées se retrouvent identiques à celles de ce dernier. Avec les jumeaux, on a autre chose. On a deux points qui a la fin ont les mêmes coordonnées d'espace, mais une coordonnée de temps différente. Et qui pourtant dialoguent en temps réel, ont des interactions causales, etc... La question est: comment peut-on être aussi près et aussi loin en même temps?
En informatique oui
Patrick
salut,
je proteste énergiquement contre cette hérésie ! en électronique on compte en base 2 et pas en base 10, donc 1 kilo c'est 2^10 soit 1024 en décimal.
si on compte en hexadécimal (base 16) 2^10 ça fait 400, un compte rond, alors que en base 10 1000 ça fait 3E8 en hexa, ça veut rien dire !
vous aurez compris que je rigole bien sur, quoi que ...
La logique est une méthode systématique d’arriver en confiance à la mauvaise conclusion.
Je m'excuse platement si je suis lent à comprendre.
Les coordonnées spatio-temporelles du jumeau qui revient sont-elles, oui ou non, égales ou différentes de celles du sédentaire?
Pour parler de coordonnées, puisqu'elles ne sont pas gravées au laser indélébile dans la trame de l'espace-temps, il faut bien les mesurer avec quelque chose.
Le fait que les jumeaux retrouvés puissent se parler (si tant est qu'ils le peuvent...) incite à dire que leurs 4 coordonnées sont les mêmes.
D'un autre côté, la définition opérationnelle que je viens de donner des coordonnées implique que chacun leur attribue égoïstement la valeur lue sur son horloge. Alors, quelle est la "vraie" coordonnée de temps (au sens de la physique) au point de rencontre?
PS Je comprends bien que sur le diagramme on a une ligne brisée qui se raccorde au même point final. Mais ces lignes ne sont-elles pas conventionnelles, supposant une sorte de référence absolue?
Dans ce qu'on appelle "un système de coordonnées de l'espace-temps", les coordonnées sont celle du lieu-moment, d'un événement, et sont totalement indépendantes de ce qu'il passe ou de l'historique d'objets qui y seraient. Donc indépendantes du choix d'un jumeau plutôt que l'autre.
C'est une propriété élémentaire, intrinsèque à l'expression "coordonnées spatio-temporelles".
A tout système de coordonnées de type [temps, espace, espace, espace] (ce n'est pas le seul type) correspond un référentiel (qui définit la notion d'immobilité).Pour parler de coordonnées, puisqu'elles ne sont pas gravées au laser indélébile dans la trame de l'espace-temps, il faut bien les mesurer avec quelque chose.
Pour un tel système, on mesure avec des règles et des horloges immobiles dans le référentiel.
Non, à cause de "immobile"... Par description même du "paradoxe", il n'y a pas de référentiel où ils sont tous deux (et leurs horloges) immobiles.D'un autre côté, la définition opérationnelle que je viens de donner des coordonnées implique que chacun leur attribue égoïstement la valeur lue sur son horloge.
Le temps mesuré selon une horloge qui aurait été de tout temps immobile dans le référentiel choisi.Alors, quelle est la "vraie" coordonnée de temps (au sens de la physique) au point de rencontre?
On ne peut pas mesurer la coordonnée d'un point en soi. La coordonnée d'un point est définie par une relation a un autre point que l'on appelle l'origine des coordonnéesJe m'excuse platement si je suis lent à comprendre.
Les coordonnées spatio-temporelles du jumeau qui revient sont-elles, oui ou non, égales ou différentes de celles du sédentaire?Bonjour,
Les jumeaux qui se retrouvent au point évenement A ont effectivement même coordonnées
Pour parler de coordonnées, puisqu'elles ne sont pas gravées au laser indélébile dans la trame de l'espace-temps, il faut bien les mesurer avec quelque chose.
C'est là l'erreur. les horloges respectives des jumeaux n'indique pas du tout une mesure des coordonnées mais tout autre chose qui est la longueur de leur ligne d'univers respectives (cad la longueur de la "trajectoire" dans l'espace-temps).Le fait que les jumeaux retrouvés puissent se parler (si tant est qu'ils le peuvent...) incite à dire que leurs 4 coordonnées sont les mêmes.
D'un autre côté, la définition opérationnelle que je viens de donner des coordonnées implique que chacun leur attribue égoïstement la valeur lue sur son horloge.
Si l'évenement D départ est l'origine des coordonnées et si le jumeau sédentaire est en mouvement inertiel alors on peut définir une orientation du repère cad que le point A d'arrivée vaut (TauS,0,0,0) où TauS est l'indication de l'horloge du sédentaire.
Pour le jumeau voyageur la coordonnée de A est la même cad (TauS,0,0,0) mais la longueur de sa ligne d'univers est TauV < TauS
J'espère que les explications ci-dessus t'éclaireront.Alors, quelle est la "vraie" coordonnée de temps (au sens de la physique) au point de rencontre?
PS Je comprends bien que sur le diagramme on a une ligne brisée qui se raccorde au même point final. Mais ces lignes ne sont-elles pas conventionnelles, supposant une sorte de référence absolue?
En géométrie 3D la mesure de la longueur spatiale de deux chemins différents reliant deux points ne te pose pas de problème. Cette longueur est indépendante du repère choisi car c'est un invariant.
Maintenant si on raisonne dans l'espace de Minkowski ou la métrique est Lorentzienne et le point dévient l'évènement p = (t,x) avec x = (x1, x2, x3), l'invariant devient la distance spatio-tempotelle.
Patrick
Dernière modification par invite6754323456711 ; 14/05/2010 à 11h43.