Je suis d'accord que ces comparaisons de coûts entre adaptation et mitigation ou arrêt ne relèvent pas de la science et ne sont pas pertinentes pour fixer un seuil.
Mais la question n'est pas là. Le problème c'est que l'incertitude des prévisions n'est pas un argument valide pour contester un objectif en terme d'augmentation par rapport à l'ère pré-industrielle. C'est juste le contraire en fait.
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ce coût psycho-social, diminution de confort, de plaisir réputé légitime.... je vois mal comment le chiffrer et le convertir en € pour établir un rapport coût/bénéfice de l'impact sur le climat.......