Rapidement, rencentrons nous sur le sujet. Personne n'a répondu à la prévision de mon expérience avec les 4 sujets différents.
Pour préciser un peu plus ce à quoi je veux en venir, c'est qu'une mesure n'est liée qu'à un espace de connaissance causal. Autrement dit toute mesure n'est que relative à un tel espace, qui doit définir son temps propre pour déterminer sa propre évolution causale de l'ensemble de ses mesures. Ce temps propre n'a pas à être psychologique, il peut très bien être basé sur une référence admise, mais dont on connaît la relation avec la mesure faite.
Ce qui fait qu'il va falloir rajouter dans les caractéristiques d'un référentiel donné non seulement les quantités physiques relatives à un autre système (vitesse, accélération...), mais aussi la quantité d'information relative à un autre système (ensemble causal connu commun, connu mais non commun, inconnu).
Par exemple avec l'expérience que je propose j'ai parlé de papyrus. Le "cône d'information" au sens relativiste du papyrus peut rencontrer un sujet, mais pas les autres ce qui fait une barrière physique à la connaissance causale, outre la barrière informationnelle.
Il s'agit donc de comprendre toute mesure comme étant dirigée vers une interprétation causale précise, et donnant quelque chose qui est soit interprétable totalement parce que les causes connues sont toutes connues, soit partiellement et donc en probabilités du fait de l'absence de connaissance des causes connues.
Je propose donc tout simplement en théorisant la mesure d'ajouter l'information comme paramètre essentiel de toute mesure physique, et l'interprétation causale comme étant la direction de la mesure, mais en les quantifiant précisément.
Refaire l'expérience des 4 sujets citée plus haut permet de comprendre le process. A quels résultats prédictifs doit-on s'attendre de 1, 2, 3 et 4 ? On sait le trouver !
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