Physiques ? Les probabilités peut-être ? C'est pas nouveau, nouveau mais à l'échelle de l'histoire, ça l'est quand même un peu, d'autant que leur statut en Mécanique quantique est vraiment différent de celui qu'elles ont du point de vue classique.
Dans le même ordre d'idée, ne pourrait-on pas citer aussi les espaces de Hilbert, les matrices auto-adjointes, la description par les fibrés encore (maths ou physique ?), ou plus récemment, les twisteurs de Penrose. La liste bien sûr n'est pas exhaustive. Les mousses de spin, la quantification de l'espace-temps, et bien que je ne partage pas leurs choix théoriques il faut citer les cordes.
Mathématiques ? D'accord avec ce que tu écris. Géométrie, oui mais surtout non-commutative, groupes de cohomologie je crois également, algèbres stellaires etc.
Sans oublier, c'est le sujet de la discussion, l'épistémologie avec l'apparition d'une exigence de formalisation, c'est-à-dire aujourd'hui une démarche principalement appuyée sur un acte méthodologique : le choix de la relation de un-à-un. Une approche qui éclaire d'une manière tout-à-fait inattendue les interprétations relationnelles de la Gravitation quantique à boucles.
Je n'en ai pas la moindre idée.Combien de temps reste un paradigme ?
-----