Bien évidemment les personnes atteintes d'un dysfonctionnement peuvent selon les cas altérer le libre arbitre. C'est communément admis par les psychiatres et par la justice dans certains cas. Je faisais réference à l'homme de la rue encore fallait il effectivement le préciser.
Si je comprends bien, il s'agit de discuter des limites physiques/mentales de notre libre arbitre.
Si tel est le cas je crains que nous aurons beaucoup de difficultés à apporter une réponse suffisamment étayée dans l'état actuel des connaissances.
A mon sens il faudrait avoir des concepts scientifiquement solides sur lesquels s'appuyer par exemple pour :
1. comment et pourquoi nos idées/actes se mettent en place dans notre cerveau ?
2. quelles sont les interactions entre les idées qui se forment dans notre cerveau ?
3. quel est le/les processus de décision qui interviennent si il s'agit bien de processus ?
et d'autres questions
Si l'on progresse remarquablement dans l'étude du cerveau, nous ne sommes qu'au tout début d'une formidable exploration scientifique et ce grace à de nouvelles technologies.
A mon humble avis, cette question est à classer dans les points d'interrogations de la science pour lesquels vouloir apporter une réponse étayée et plausible relève à l'heure actuelle du défi. C'est pour cette raison que je me place dans un cadre culturel par rapport au libre arbitre.
Cependant si quelque chose de construit sur la question ressort de ce fil je serais le premier partant.
Cordialement.
S.W.
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