Salut,
j'ai parcouru le document : plusieurs choses me gênent.
Je passe sur ces énormités... Ce serait cool de mettre des références bibliographiques, s'il y en a (mais j'en doute fort). Bref.Le premier à « tomber dans le piège » de Fermat fut Euler dont les travaux devaient définitivement orienter vers la théorie des nombres les recherches ultérieures qui allaient se faire sur cette question. Cinquante plus tard, d’autres empruntèrent la même voie consacrant ainsi l’approche arithmétique : Sophie Germain, Legendre, Lebesgue, que sais-je ? Kummer (par sa théorie des nombres idéaux élaborée à d’autres fins)…Gauss s’y essaya, sans trop insister, puis désista.
D'accord avec ça : ta démonstration me paraît bonne (et élégante, bien que la formulation soit un peu alambiquée - il faut souvent remonter trois pages). Mais ce n'est pas le théorème de Fermat : c'est la résolution dansthéorème : Dans un triangle rectangle d’hypoténuse z, l’égalitéest impossible quand n≠2.
du système mentionné plus haut.
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De fait, ton argument pour démontrer le GTF se situe à partir du titre 6. Et là, c'est très maigre tant du point de vue de l'explication que de la rigueur :et
sont des fonctions de n, mais quid de x, y et
?
Ton théorème 1 est faux tel quel : l'équationadmet une infinité de solutions dans
! Nulle part apparaît la condition x, y, z
...
Cordialement.
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