Le potentiel n'a pas besoin d'être constant. J'ai d'ailleurs été étonné lorsque je m'en suis aperçu.
Bonjour à tous,
En vous lisant je me suis posé une question, une question probablement naïve, mais il est mieux de paraitre ignorant que de le rester.
Si on utilise la relativité restreinte pour décrire une accélération et la relativité générale pour la gravitation, qu'advient-il d'une accélération dans un champ gravitationnel? Relativité générale, restreinte ou un mélange des deux? Enfin... de quoi ça aurait l'air?
Merci d'avance
On ne dit pas qu'il faut utiliser la RR pour décrire une accélération. On dit simplement qu'on peut le faire. La RG traite très bien des accélérations. Et contrairement à la RR, elle peut même décrire des observateurs accélérés.
La RG dit même qu'accélération et champ gravitationnel sont équivalents.
D'accords, c'est donc moi qui avait mal compris, merci beaucoup.On ne dit pas qu'il faut utiliser la RR pour décrire une accélération. On dit simplement qu'on peut le faire. La RG traite très bien des accélérations. Et contrairement à la RR, elle peut même décrire des observateurs accélérés.
La RG dit même qu'accélération et champ gravitationnel sont équivalents.
Bonsoir,
Bizarre ce fil... Sacré pagaille... Je vais en rajouter!
- Les trois théories, classique, RR + gravitation classique et RG, permettent de traiter les mêmes problèmes. Elle le font plus ou moins bien, c'est tout.
- Elles donnent des résultats proches pour les faibles vitesses relatives et les faibles champs gravitationnels;
- La classique présente des différences avec la RR ou la RG qui croissent vers l'infini quand une vitesse relative tend vers c, et les observations montrent que c'est la RR et la RG qui donnent les résultats les plus corrects;
- la classique et la RR présente des différences avec la RG qui croissent avec la valeur des champs gravitationnels, et les observations montrent que c'est la RG qui donnent les résultats les plus corrects.
- Les trois théories permettent de traiter n'importe quel référentiel. La différence n'est pas dans le choix du référentiel, il est dans l'expression des lois de la physique. En classique et en RR, l'expression des lois est la même dans des référentiels inertiels l'un par rapport à l'autre, et ont l'expression la plus simple dans les référentiels dits inertiels dans l'absolu. Par contre la RG fournit une expression des lois de la physique indépendante du référentiel.
- La gravitation et l'accélération ne sont pas du tout la même chose en RG, et ne sont pas traitées pareil. L'accélération est un mouvement relatif entre deux objets, la gravitation est une courbure de l'espace-temps. En particulier, une accélération (due à autre chose que la gravitation) peut disparaître par un choix adapté de référentiel, pas la gravitation. (En pratique on peut toujours détecter la gravitation par les effets de marées, indépendamment de toute accélération.)
(Il me semble que la confusion accélération/gravitation vient des premiers efforts d'Einstein, qui cherchait alors à traiter seulement les cas de gravitation uniforme, et c'est dans ce cadre qu'il présentait son ascenseur, qui a ensuite été repris à plaisir. Mais la RG "finale" est différente.)
Rincevent va avoir fort à faire pour réduire la confusion qui règne dans ce fil
Cordialement,
Dernière modification par invité576543 ; 13/08/2007 à 20h46.
Dommage que cela manque de précisions, en particulier au niveau des équations.
Dans la formule ci-dessus on ne voit pas du premier coup d'oeil que la vitesse tend vers c lorsque t tend vers l'infini. La mienne est non seulement plus lisible mais encore plus élégante, surtout si on l'écrit comme cela, bien que le Latex ne le soit pas vraîment:
La vôtre est la même, au détail près qu'elle n'est pas valide à t=0, ça fait désordre pour une équation physique sensée décrire un mouvement uniformément accéléré !
Elle n'est donc pas élégante.
Au passage, montrer que la limite est c dans la formule que je donne est à la portée d'un élève de TS, donc si vous trouvez que c'est difficile à voir, je ne peux plus rien faire pour vous
si t=0 le dénominateur est infini et le tout est nul; je ne vois pas où est le problème.La vôtre est la même, au détail près qu'elle n'est pas valide à t=0, ça fait désordre pour une équation physique sensée décrire un mouvement uniformément accéléré !
Elle n'est donc pas élégante.
Au passage, montrer que la limite est c dans la formule que je donne est à la portée d'un élève de TS, donc si vous trouvez que c'est difficile à voir, je ne peux plus rien faire pour vous
pour avoir une information précise, encore faudrait-il que vous posiez une question précise...
les électrons sont des particules. La RG décrit sans problème le mouvement de particules dans un espace-temps donné. Si vous n'êtes pas plus précis dans vos questions, on ne peut rien vous dire de plus...
n'a pas besoin d'être constant pour quoi ? pour être non-physique ? bah, oui, c'est vrai : il existe des tonnes de potentiels qui ne représentent rien de physique... un potentiel en forme de lapin par exemple, c'est pas très physique.Le potentiel n'a pas besoin d'être constant. J'ai d'ailleurs été étonné lorsque je m'en suis aperçu.
si vous essayiez de faire une phrase précise et claire au moins une fois de temps en temps, ça éviterait qu'on ne comprenne rien à ce que vous racontez...
et notez bien que sur ce point précis (et rien d'autre ), je suis d'accord avec vous.si t=0 le dénominateur est infini et le tout est nul; je ne vois pas où est le problème.
Êtes-vous certains que cette formule est valable:
J'ai testé et ça m'a donné un résultat bizarre... Par contre, celle-ci donne un résultat plus probable:
Je peux avoir fait une erreur, mais la différence est assez flagrante (donc si j'ai fait une erreur, c'est une grosse erreur)...
Mis à part cela, j'aimerais savoir comment, comme disait Coincoin, la relativité générale peut décrire un observateur en mouvement. En supposant qu'il y ait une accélération, comment savoir que ce n'est pas le reste de l'univers qui accélère soudainement en sens contraire (mis à part par déduction logique bien sûr)?
Pour être précis, il faut avoir fait le calcul que j'ai déjà envoyé à Coincoin (voir précédemment Chute radiale.pdf) où on voit que la vitesse ne dépend que du potentiel comme, d'ailleurs, en mécanique classique, en vertu du principe de la conservation de l'énergie où on a en chute libre, 1/2mv2+V=constante.pour avoir une information précise, encore faudrait-il que vous posiez une question précise...
les électrons sont des particules. La RG décrit sans problème le mouvement de particules dans un espace-temps donné. Si vous n'êtes pas plus précis dans vos questions, on ne peut rien vous dire de plus...
Vous n'êtes pas sérieuxn'a pas besoin d'être constant pour quoi ? pour être non-physique ? bah, oui, c'est vrai : il existe des tonnes de potentiels qui ne représentent rien de physique... un potentiel en forme de lapin par exemple, c'est pas très physique.
Si on n'a pas les équations en tête on ne peut se contenter du langage ordinairesi vous essayiez de faire une phrase précise et claire au moins une fois de temps en temps, ça éviterait qu'on ne comprenne rien à ce que vous racontez...
et notez bien que sur ce point précis (et rien d'autre ), je suis d'accord avec vous.
le calcul n'a rien à voir avec des électrons : il s'agit d'une masse ponctuelle en chute libre. Dans le cas d'une chute libre dans un espace-temps de Schwarzschild, il est bien connu qu'il existe une énergie conservée puisque la stationarité de l'espace-temps est associée à un vecteur de Killing du genre temps. Reste que je ne vois toujours pas où vous voulez en venir ni même en quoi ce calcul prouve que la RG ne peut pas traiter "le mouvement des électrons"...Pour être précis, il faut avoir fait le calcul que j'ai déjà envoyé à Coincoin (voir précédemment Chute radiale.pdf) où on voit que la vitesse ne dépend que du potentiel comme, d'ailleurs, en mécanique classique, en vertu du principe de la conservation de l'énergie où on a en chute libre, 1/2mv2+V=constante.
à peine moins que vous malheureusement....Vous n'êtes pas sérieux
dans tous les cas il faut que le contexte soit bien défini... or vous sautez du coq à l'âne sans avoir posé proprement le problème... après, il vous est facile d'affirmer tout et son contraire...Si on n'a pas les équations en tête on ne peut se contenter du langage ordinaire
sur ce point je ne suis pas d'accord : la RR ne t'explique absolument pas comment observer du point de vue d'un observateur non-inertiel. Les termes d'entrainement et d'inertie (équivalents des forces du même nom chez Newton) ne sont pas donnés par la théorie.Envoyé par mmy- Les trois théories permettent de traiter n'importe quel référentiel.
les deux ne sont pas indépendants...La différence n'est pas dans le choix du référentiel, il est dans l'expression des lois de la physique.
ok sur ça pour la physique classique, mais pas pour la RR : impossible d'avoir une expression générale des termes d'inertie dans ce cadre.En classique et en RR, l'expression des lois est la même dans des référentiels inertiels l'un par rapport à l'autre, et ont l'expression la plus simple dans les référentiels dits inertiels dans l'absolu.
la quadri-accélération d'un objet ponctuel est bien définie sans faire référence à un deuxième objetL'accélération est un mouvement relatif entre deux objets,
euh... tout ça me plait pas trop... ce qui peut disparaître par un choix de coordonnées, ce sont d'éventuelles "forces d'entrainement" (liées à la connexion), mais tu ne peux pas faire disparaître n'importe quelle force par un choix de coordonnées...En particulier, une accélération (due à autre chose que la gravitation) peut disparaître par un choix adapté de référentiel, pas la gravitation. (En pratique on peut toujours détecter la gravitation par les effets de marées, indépendamment de toute accélération.)
non, non : il se bat pas contre des moulins à ventRincevent va avoir fort à faire pour réduire la confusion qui règne dans ce fil
T'as des pistes (liens, ...) pour clarifier ce point? Pourquoi ne peut-on pas appliquer la même chose qu'en RG, et en mettant la connexion à 0?sur ce point je ne suis pas d'accord : la RR ne t'explique absolument pas comment observer du point de vue d'un observateur non-inertiel. Les termes d'entrainement et d'inertie (équivalents des forces du même nom chez Newton) ne sont pas donnés par la théorie.
(...)
ok sur ça pour la physique classique, mais pas pour la RR : impossible d'avoir une expression générale des termes d'inertie dans ce cadre.
Bourde de ma part: tu en as donner l'expression un peu plus tôt dans le fil!!la quadri-accélération d'un objet ponctuel est bien définie sans faire référence à un deuxième objet
Cordialement,
que veux-tu dire précisément par "la même chose qu'en RG" et "mettre la connexion à 0" ?
sans le dire....Bourde de ma part: tu en as donné l'expression un peu plus tôt dans le fil!!
Je commence à entrevoir ce que tu veux dire... La connexion est à 0 uniquement dans les référentiels inertiels. En newtonien, le temps absolu permet de calculer une connexion pour un référentiel accéléré. En RG, l'opération est "naturelle". Mais en RR, aucun des deux ne marche, ou quelque chose comme ça?
Je raisonne "tout haut" et en "mode intuitif": Un observateur accéléré peut chercher à feuilleter l'espace-temps sur son temps propre, en prenant des tranches spatiales bien plates et perpendiculaire à la direction de son temps (modèle RR oblige): mais ça va se recouper nécessairement à cause de l'accélération (qui est une rotation), d'où une impossibilité d'attribuer un temps de manière univoque à ces lieux-moments là, et donc une impossibilité de "modéliser" un espace-temps qui se tienne...
Pas très formel tout ça...
Cordialement,
exactementJe commence à entrevoir ce que tu veux dire... La connexion est à 0 uniquement dans les référentiels inertiels. En newtonien, le temps absolu permet de calculer une connexion pour un référentiel accéléré. En RG, l'opération est "naturelle". Mais en RR, aucun des deux ne marche, ou quelque chose comme ça?
mais l'idée est effectivement là... on dit ça parfois de la façon suivante souvent : un espace-temps donné peut se couper en 3+1, mais pas toujours en 1+3. En fait plus précisément, si tu te donnes une congruence, il faut qu'elle soit sans rotation pour pouvoir définir aussi un feuilletage de l'espace-temps en hypertranches spatiales. C'est par exemple derrière les pbs du disque en rotation : il n'y a pas moyen d'avoir un ensemble d'horloges synchronisées sur un disque en rotation...Je raisonne "tout haut" et en "mode intuitif": Un observateur accéléré peut chercher à feuilleter l'espace-temps sur son temps propre, en prenant des tranches spatiales bien plates et perpendiculaire à la direction de son temps (modèle RR oblige): mais ça va se recouper nécessairement à cause de l'accélération (qui est une rotation), d'où une impossibilité d'attribuer un temps de manière univoque à ces lieux-moments là, et donc une impossibilité de "modéliser" un espace-temps qui se tienne...
Pas très formel tout ça...
Bonjour,
J'ai lu votre document et il me semble y avoir une petite erreur d'analyse. Vous utilisez un lagrangien dont la valeur est toujours égale à 1. Avec un tel lagrangien, l'intégrale d'action sur tout chemin entre et possède toujours la même valeur, à savoir :
Par conséquent tout chemin est solution de l'équation:
À partir de là, votre résultat me semble suspect.
À moins que j'aie loupé quelque chose ?
Cordialement
Je ne l'ai pas précisé, il s'agit d'un mouvement radial, ainsi que l'indique la lettre r. Ci-joint le calcul completBonjour,
J'ai lu votre document et il me semble y avoir une petite erreur d'analyse. Vous utilisez un lagrangien dont la valeur est toujours égale à 1. Avec un tel lagrangien, l'intégrale d'action sur tout chemin entre et possède toujours la même valeur, à savoir :
Par conséquent tout chemin est solution de l'équation:
À partir de là, votre résultat me semble suspect.
À moins que j'aie loupé quelque chose ?
Cordialement
Bonjour,
Je vais évidemment attendre de pouvoir voir la pièce jointe (après tout les modos ne sont pas des esclaves ), mais à première vue, à partir du moment où l'intégrale d'action est la même sur tous les chemins indépendamment des contraintes que l'on pourrait poser, je ne vois vraiment pas comment mon argument peut tomber. Mais si vous me prouvez que mon argument ne tient pas, j'en serai le premier heureux
Votre réponse m'inquiète car je ne suis pas sûr que mon fichier pdf soit lisible sur tout ordinateur (j'ai un Mac).Bonjour,
Je vais évidemment attendre de pouvoir voir la pièce jointe (après tout les modos ne sont pas des esclaves ), mais à première vue, à partir du moment où l'intégrale d'action est la même sur tous les chemins indépendamment des contraintes que l'on pourrait poser, je ne vois vraiment pas comment mon argument peut tomber. Mais si vous me prouvez que mon argument ne tient pas, j'en serai le premier heureux
Non non... ne vous inquiétez pas, une pièce jointe n'est accessible que lorsqu'un modérateur l'a examinée et validée, c'est vrai pour tous les participants. Et je ne doute pas que votre document passera le test: mais cela ne signfie pas que le modo appuie les idées exprimées
Je n'avais pas remarqué votre question concernant le lagrangien égal à un. On n'est pas obligé d'utiliser un tel lagrangien, mais il est si pratique car c'est une intégrale première. On peut alors se passer d'une des équations de Lagrange, ce qui simplifie considérablement les calculs.Bonjour,
J'ai lu votre document et il me semble y avoir une petite erreur d'analyse. Vous utilisez un lagrangien dont la valeur est toujours égale à 1. Avec un tel lagrangien, l'intégrale d'action sur tout chemin entre et possède toujours la même valeur, à savoir :
Par conséquent tout chemin est solution de l'équation:
À partir de là, votre résultat me semble suspect.
À moins que j'aie loupé quelque chose ?
Cordialement
Reprenons l'analyse à la base. Le principe du calcul variationnel appliqué à un espace courbe ou non est de trouver le chemin le plus court d'un point 1 à un point 2. Pour simplifier, limitons-nous au cas du plan euclidien. Le chemin élémentaire est ds. on a donc
En comparant le premier et le dernier terme, on voit immédiatement que le lagrangien est égal à un:
Ceci reste valable dans un espace-temps courbe, par exemple
où
Ici est la longueur le long du chemin: cette quantité dépend du chemin utilisé entre le point de départ et le point d'arrivée. Au point de départ, est et est donc le même pour toutes les trajectoires, comme il se doit, mais au point d'arrivée il y a à peu près autant de valeurs de qu'il y a de trajectoires différentes. On ne peut donc appliquer le procédé variationnel menant aux équations d'Euler-Lagrange en prenant comme paramètre de "temps".
Ici, on a un second problème. Avec ce lagrangien, les coordonnées et ne sont manifestement pas indépendantes. Une condition essentielle pour pouvoir appliquer le procédé variationnel menant aux équations d'Euler-Lagrange est que les coordonnées utilisées soient indépendantes.
Les mêmes objections que ci-haut s'appliquent ici.
Le mieux pour le comprendre est de faire le calcul dans un cas simple. Quel est le chemin le plus court dans le plan? On doit donc minimiser le cheminIci est la longueur le long du chemin: cette quantité dépend du chemin utilisé entre le point de départ et le point d'arrivée. Au point de départ, est et est donc le même pour toutes les trajectoires, comme il se doit, mais au point d'arrivée il y a à peu près autant de valeurs de qu'il y a de trajectoires différentes. On ne peut donc appliquer le procédé variationnel menant aux équations d'Euler-Lagrange en prenant comme paramètre de "temps".
Le lagrangien est, avec s comme variable d'action:
Appliquons les équations de Lagrange
En effectuant les dérivées partielles, la première équation s'intègre une première fois:
puisque L=1.
On aurait de même . La représentation de x en fonction de y via le paramètre s est donc une droite.
Si on choisit s=x, le lagrangien devient
Cette condition ne peut être vérifiée que si dy=0, c'est-à-dire que la solution est une horizontale si on prend s=x.
Faisons maintenant x=ict. Le lagrangien devient
Cette équation donne la dilatation du temps:
Pour résoudre complètement le problème, il nous suffit d'utiliser une seule des deux équations de Lagrange, puisque le lagrangien égal à un est une intégrale première. Reprenons le Lagrangien en le réécrivant en fonction des dérivées totales de x et y par rapport à s:
L'équation de Lagrange en y se résout comme plus haut en donnant
.
On peut donc faire le rapport
.
C'est-à-dire que la vitesse v est constante en relativité restreinte. Evidemment c'est écraser une mouche avec un pavé mais c'est le calcul le plus simple possible, il me semble pour comprendre l'application des équations de Lagrange à la relativité restreinte.
On peut passer à la relativité générale. Le chemin élémentaire n'est plus donné par le théorême de Pythagore mais par la métrique d'une surface courbe. Le lagrangien devient:
Le principe du calcul est le même dans la pièce jointe, quoique plus compliqué.
Comment voyez-vous que les coordonnées sont dépendantes? Elles ne le deviennent que lorsque la trajectoire a été calculée.Ici, on a un second problème. Avec ce lagrangien, les coordonnées et ne sont manifestement pas indépendantes. Une condition essentielle pour pouvoir appliquer le procédé variationnel menant aux équations d'Euler-Lagrange est que les coordonnées utilisées soient indépendantes.