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C'est parce qu'avec une variable supplémentaire on doit avoir une équation supplémentaire et qu'on peut faire L=1 . Je n'utilise pas le hamiltonien, mais cela revient au même comme conséquence de l'équation de Lagrange en t.
à condition d'admettre que la vitesse de la lumière (vue de l'infini) est de 0,4c à cet endroit, ce que je vais vérifier.les équations d'Euler-Lagrange pour donnent l'équation de la géodésique. Il est important de noter que nous n'avons ici qu'une seule coordonnée généralisée, à savoir la coordonnée , alors que dans votre traitement utilisant pour paramétrer les points de trajectoires on a deux coordonnées généralisées, à savoir et . Ceci a son importance, nous le verrons plus loin.
Étant donné que le lagrangien ci-haut ne dépend pas explicitement de , on sait que la fonction définie par:
où
est une constante sur la trajectoire réelle de la particule, appelons-là .
Le moment généralisé est:
Par conséquent, on a:
Considérant comme vous une vitesse nulle en , on a .
Après quelques manipulations algébriques, on obtient pour la vitesse:
Nous arrivons donc au même résultat. Mais je vous montrerai dans mon prochain post que votre méthode fonctionne par accident, la raison étant qu'avec le choix de la variable pour paramétrer les points, vous avez deux coordonnées généralisées, et , et par conséquent deux équations. Et je montrerai que ces équations peuvent mener à des résultats contradictoires à l'aide d'un cas simple.
D'ici là, je voudrais revenir sur ce que vous avez dit au début du fil :
Il n'y a aucun désaccord avec la relativité restreinte.
La "vitesse" , chez vous, est, chez moi:
Votre t est mon tau (ou s) .
Mon t correspond à votre .
Mon est votre .
Quant à mon , il correspond à votre .
Votre l n'apparaît pas chez moi car je fais
et passe directement à v=dr/dt.
Donc on est d'accord dans l'ensemble. Je vais vérifier tranquillement que la vitesse de la lumière, pour l'observateur à l'infini est bien de 0,4c, ce qui est probable.Or la limite concerne la distance parcourue par unité de temps, tel que mesuré sur une horloge standard.
Premièrement est une différence de coordonnées, pas une distance. La distance est donnée par :
Deuxièmement, est une différence de coordonnées, pas l'intervalle de temps donné par une horloge standard. L'intervalle de temps mesuré sur une horloge standard est donné par:
On a donc pour la vitesse locale telle que mesurée avec des horloges standard locales:
La valeur maximum de est atteinte au rayon de Schwarzschild où elle est égale à
Je vous laisse vérifier s'il y a des erreurs de calcul ou de logique. C'est possible, ça peut arriver à n'importe qui ;)
Je vous reviendrai ce soir ou demain avec le contre-exemple que je vous ai promis plus haut en rapport avec votre méthode.
A bientôt
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