Je précise tout de suite que je ne possède aucune compétence dans le domaine scientifique, mes propos ne revêtent donc aucune autorité, et ne doivent être lus que par des personnes qualifiées, seules capables d'en discerner, éventuellement, les limites de par leur plus grande expérience dans le domaine. Je déconseille à l'étudiant lambda de lire ce qui suit, car elle pourrait l'induire en erreur et l'écarter de la science telle qu'elle se présente en l'état actuel des choses, et qui a, statistiquement, infiniment (ou presque) plus de chances de s'avérer exacte.
Je débute dans le domaine en tant que profane, je poserai ici quelques-unes des objections qui se présentent à mon esprit alors que j'entame l'étude d'un domaine intéressant au demeurant. Probablement trouverai-je réponse à mes interrogations par la suite de mes lectures, mais je préfère néanmoins transcrire certains points que je risquerais d'oublier par la suite, emporté par le maelstrom théorique. À cela s'ajoutant bien entendu la volonté d'une réponse de personnes compétentes, qui permettraient d'écarter sans délai les objections qui me poussent à considérer la théorie avec mesure.
Cela part de ce que je considère comme des paradoxes (univers sans temps dans le passé, entités phénoménales réduites à objets mathématiques, univers "cylindrique" plat ce qui n'a à mes yeux pas de sens (car pour ce faire il y a nécessités d'un vide, non vide d'être, mais vide spatial incarnant le volume nécessaire au déploiement de cet univers cylindrique plat etc.)).
Concernant les particules élémentaires, qui s'avéreraient être véritablement à la fois ondes et corpuscules :
Forme que prend l'observation d'un électron en fonction de l'observateur :
La première figure représente l'électron photographié, la seconde reproduit un "film" (les états successifs) de ce même électron.
Les différents états de la fig. 2 ne se suivent pas au rythme de un par période ; ils ne constituent que des fragments de période, mais ils ont été représentés afin de visualiser le caractère ondulatoire de cet électron. À une période correspond une onde du diamètre de celui de l'électron (peu importe que celui-ci soit considéré comme nul ; on peut poser que la période est également nulle ; elle représente un instantané).
Je ne prétends pas ici représenter "le réel" de l'électron, mais simplement l'électron vu sous deux angles différents. Je représente ici deux (et seulement deux) de ses aspects, corpusculaire dans le premier cas, ondulatoire dans le second. La différence entre les deux, est la durée d'observation, ou, si l'on préfère, la vitesse de déclenchement de l'obturateur.
Lorsque l'on photographie une étoile avec une appareil à obturateur extrêmement bref, on obtient une image nette et précise ; on a un instantané.
Lorsque l'on photographie la même étoile avec un appareil à obturateur extrêmement lent, on obtient une image en quelque sorte "de l'étoile en mouvement". Ce mouvement est bien figé (dans sa représentation), pourtant il est visible.
Et on ne prétend pas, ici non plus, avoir photographié, ou avoir une représentation, du "réel de l'étoile".
On a simplement sur celle-ci deux informations : la forme qu'elle prend en un instant t, et la forme qu'elle occupe sur un période dépendant de la vitesse de l'obturateur photographique.
C'est la même chose concernant un électron : si on le considère en un instant t, il prend la forme de corpuscule, sur une durée, la forme d'une onde. Dans le cas de l'électron (et de toute particule élémentaire), la différence entre les deux est tellement ténue (la différence tend vers 0), que l'on peut observer les deux aspects sous les (quasi) mêmes conditions.
Je dois ajouter qu'un individu se déplaçant suffisamment rapidement (vitesse supérieure à , car manifestement la lumière ne traverse pas la matière), pourrait traverser la matière. Il faudrait pour cela que sa vitesse soit supérieure à celle de propagation d'onde constituant les particules élémentaires.
La vitesse de la lumière est la vitesse limite de déplacement d'une particule. Ici, il s'agit de la vitesse propre, le facteur donnant l'existence à ces mêmes particules. Si le concept est exact, cette vitesse doit être bien supérieure à celle de la lumière (dans le cas contraire un photon ne pourrait exister).
Si l'on se penche sur une durée (infiniment brève), la particule est une onde. Si l'on s'intéresse à un instant, cette même particule est une corpuscule. Cette onde (donnant "naissance" au "grain" particule) doit avoir une vitesse de propagation excessivement élevée puisqu'elle manifeste cette particule à chaque instant t. Sa vitesse de propagation n'a rien à voir avec celle du déplacement de la particule dans un milieu, raison pour laquelle je suppose qu'elle doit être bien plus élevée que celle de la lumière. Dans le cas contraire, le temps que cette onde se "propage" (en d'autres termes qu'elle donne naissance à la particule), cette particule se déplaçant à la vitesse de la lumière se serait déplacée d'autant que cette même onde ne peut le faire. La particule ne pourrait donc exister.
Ce phénomène expliquerait donc le phénomène de dilatation du temps d'une corpuscule se déplaçant à une vitesse proche de celle de la lumière, facteur de dilatation directement dépendant de la vitesse de propagation propre de toute particule élémentaire, que nous nommerons .
peut être trouvé en considérant le facteur de dilatation propre aux particules ultra rapides. (Mesures expérimentales nécessaires ; si la dilatation n'est pas proportionnelle à hautes énergies, l'hypothèse est fausse).
Si on a :
= vitesse du muon = 0,997 c (vitesse vérifiée avec certitude par appareils de mesure, non par calcul)
= facteur de dilatation propre au muon = 20 (vérifié expérimentalement non par calcul)
On doit avoir (pour que la présente hypothèse soit exacte) :
c = vitesse de la lumière
= facteur de dilatation propre au photon dans le vide = = 20,06
Ceci à la condition que les mesures effectuées soient extrêmement précises.
Si les mesures démontrent un facteur de dilatation de la lumière radicalement différent (exemple facteur 1000 au lieu de 20,06), alors mon concept est réputé réfuté par l'expérience.
Mais il faut une nouvelle fois que la vitesse réelle des muons soit vérifiée expérimentalement, et non par extrapolation d'avec celle de la lumière.
En prenant (pour hypothèse) un photon dont le facteur de dilatation serait de 20 : 1 photon existerait 1/20 du temps pendant son déplacement, ce qui signifie que
= = 1,0526 c
Mais que signifie, concrètement, une durée tendant vers 0 dans le monde phénoménal ?
Cette valeur tendrait vers zéro, mais ne l'est pas ; la vitesse tend vers l'infini, mais ne lui est pas égale. La période définirait ce en quoi consiste un "instantané" dans le monde phénoménal : l'instantané est la période propre aux particules élémentaires.
Cette "affaire" de durée représente la période propre à toute particule élémentaire (cf. dessin), que l'on ne peut percevoir que sous la forme de "flashs".
Cela donne :
Soit d = diamètre de la particule
= période propre de la particule
O = point central de cette particule
On a :
= instantané dans le monde phénoménal (temps unitaire, limite)
d = point dans le monde phénoménal (étendue unitaire, limite) ; ce "point" n'est pas d'étendue nul, mais représente la limite en deçà de laquelle on ne peut descendre dans le monde phénoménal. Son étendue est égale à celle d'une particule élémentaire
O = point (géométrique, virtuel) symbolisant le centre du diamètre d.
Pendant la période , l'onde propre à la particule parcourt une "distance" unitaire, soit du point O à la circonférence de ladite particule.
La vitesse de propagation de l'onde serait donc égale à
Les flashs correspondent à ce que l'on peut observer dans la nature.
Imaginons que l'on puisse observer une particule élémentaire. Nous ne pourrions observer cette particule que par flashs, càd périodes égales à . Tout simplement parce qu'il est impossible de fractionner cette période (correspondant à un instantané dans le monde phénoménal, càd la durée limite).
Ou pour prendre un exemple : que se passe-t-il lorsque l'on observe une roue de vélo tournant très vite : on ne voit pas ses rayons en déplacement, mais figés. Notre œil ne peut assimiler le mouvement propre à la rotation de la roue ; nous n'en observons que la composante globale, qui nous montre la roue dans son instantanéité, à savoir avec un certain nombre de rayon (que l'on voit effectivement). Sinon on peut prendre l'exemple d'une roue à bâtons.
Tout cela partant d'une hypothèse : toute particule serait bien à la fois onde et corpuscule, non seulement dans leur interaction, mais dans les faits, à savoir ce qu'elles sont.
Du caractère "étendu" des particules élémentaires (= étendue limite), vient l'idée d'une masse de toute particule subissant l'effet gravitationnel (effet gravitationnel manifestant cette masse).
Ce qui me fait envisager cela est le caractère paradoxal d'un univers plat cylindrique (ou plus généralement à courbure non nulle, même isolément (comme dans le cas d'une étoile massive)) :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Courbure_spatiale
http://fr.wikipedia.org/wiki/Gravitation
L'explication d'un super-univers à dimensions supplémentaires ne tient pas, car les dimensions nécessaires (au volume sur lequel un univers "plat cylindrique" puisse de déployer) extérieures à notre univers doivent bien être spatiales (longueur, hauteur, profondeur). Sinon, qu'y-a-t-il "au sein" de notre univers, qu'est-ce qui incarne le volume délimitant sa "surface" (volume représenté par les traits rouges). Autour "de quoi" notre univers s'enroulerait-il ? Autour de quel volume ? Quel espace ?
Voilà voilà, je trouverai peut-être la réponse demain en lisant tel ou tel article, en attendant, je suis dubitatif
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