mais quand on veux comprendre avec ses moyens de bord, on'est toujours gagnant , au moins on'a fait fonctionner ses neurones , ou bien on tire le tapis sous les pieds des spécialistes .
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mais quand on veux comprendre avec ses moyens de bord, on'est toujours gagnant , au moins on'a fait fonctionner ses neurones , ou bien on tire le tapis sous les pieds des spécialistes .
Mais quand on veut comprendre avec ces moyens de bord on'ai toujours gagnant , au moins on'a fait fonctionner ces neurones .
Bonjours !
Si dans la relativité, une particule est soumise à une force qui dérive de l'énergie potentielle, peut t'on dire que la gravitation est une force qui dérive les particules, photon ou autre ?
De même que dans la relativité restreinte une particule sans masse peut voyager a la vitesse de la lumière.
Petite précision.Envoyé par HamoniqueDe même que dans la relativité restreinte une particule sans masse peut voyager a la vitesse de la lumière.
Une particule sans masse peut voyager à la vitesse limite, et non pas à la vitesse de la lumière.
La vitesse de la lumière est réservée à la lumière.
On ne sait pas si le photon a une masse très faible, et ceci ne remet pas en cause la notion théorique de vitesse limite.
Deedee ? Je sais pas si il a fait avancer LA science mais il a fait avancer la mienne
T'as pas du aller beaucoup à la fac, tu sais le parc ou on met les grands enfants pour ne pas gonfler les chiffres du chomage...
Non non... ici j'ai rien demandé, je cherchais à relancer le fil pour avoir une critique des formules de Zefram
Et on ne m'enlèvera pas de l'esprit que l'habit ne fait pas le moine, enfin, le diplome ne fait pas le genie... si on pouvait s'arrêter là svp, c'est trop hors sujet !
A+
Mailou
Je ne suis pas totalement autodidacte, j'ai quand même fait Polytechnique En outre, je n'ai jamais rien publié (dans une revue avec referee).
N'exagérons pas, tous ceux de ma promotion on trouvé du travail (parmi ceux que j'ai suivi : un dans un laminoir, un dans un centre de recherche sur la robotique, un dans les télécom et un comme civil pour l'armée américaine).
Moi je me fixe pas sur le diplôme. On peut très bien étudier par soi-même et exercer sa pratique sur son lieu de travail (certains ont cette chance). Mais les connaissances et la pratique absorbée est la même. C'est incontournable. Qu'on ait le bout de papier qui va avec ou pas.
Mais ok, on peut arrêter
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
Bonjour,
Sur le fond je pense à présent que tu as raison effectivement. J'ai fait quelques recherches concernant la variation de c près d'un objet massique et j'ai notamment trouvé qu'Einstein lui-même a écrit un article sur le sujet dès 1911 ! On peut voir l'article original(et des liens vers une traduction en anglais) sur ce site. On peut y voir la formule à laquelle tu es sensé arriver. Cela va surement t'apporter du grain à moudre ! Il y a également d'autre références où cela est discuté. En fin de compte c'est très loin d'être une bizarrerie et encore moins une nouveauté. Le tout réside en effet dans le fait que la vitesse de la lumière est relative dans des référentiels non-inertiels mais que cela ne remet pas en cause l'invariance de Lorentz locale.
Tant mieux .Sinon je suis dans la bouse.
Le postulat d'Einstein concernant le la constance de la vitesse de la lumière est qu'elle est constante pour tout référentiel inertiel. Pour un champ de gravitation à symétrie sphérique. Deux référentiels situés sur la même radiale à une distance R différente, ne constituent pas un ensemble de référentiels inertiels entre eux.
Donc sur le fond, personnellement le sujet est clos, cela répond directement à la question initiale et j'ai appris quelque chose!
Sinon, je voulais juste préciser une petite chose dans ton dernier message.
variation d'énergie cinétique(Ec(finale) – Ec(initiale)) pour un mobile allant de Rz à l'infini:
<0
Tu sembles insinuer que Ec(finale) = mc² et Ec(initiale)=mc²(1/sqrt(1-v²/c²)). J'imagine bien entendu que tu sais que Ec = mc²(gamma - 1) en RR, et que si la vitesse s'annule à l'infini alors on a forcément Ec(finale) = 0 J. La variation d'énergie cinétique est bien celle que tu écris, mais il ne faut pas hésiter à passer par l'étape d'écriture Ec(finale) - Ec(initiale) = 0 - mc²(gamma - 1) pour bien montrer que tu ne confonds pas l'énergie totale et l'énergie cinétique.(Ta présentation n'en sera que plus crédible!)
Malgré tout je ne voudrais pas que tu crois que tes calculs vont t'amener au bon résultat(c'est certain que non), (cf. ceux d'Einstein et autres). Il est clair que le TEC n'a pas sa place dans un tel calcul de RG.
Au niveau de l'intention je note un gros problème : tu ne maîtrise pas la RG, donc tu fais avec ce que tu connais, mais tout le problème est là. ça ne marchera forcément pas ! L'envie de faire des calculs pour faire des calculs(et avoir l'impression de faire de la recherche) est je pense plus importante qu'une motivation purement désintéressée, rigoureuse et objective face à la science. Et sur ce point il faut que tu te poses des question sur tes réelles motivations. Personne n'a jamais fait avancer les choses en faisant de la cuisine de formules. Mais bon à la fois c'est normal de commencer par ça, mais ne va pas trop loin car sinon tu perdras ton temps.
D’ailleurs il me semble que c'est le tort de beaucoup (la totalité?) de ceux qui proposent de la "nouvelle physique" sur ces forums : ils font de la cuisine de formule.Au niveau de l'intention je note un gros problème : tu ne maîtrise pas la RG, donc tu fais avec ce que tu connais, mais tout le problème est là. ça ne marchera forcément pas ! L'envie de faire des calculs pour faire des calculs(et avoir l'impression de faire de la recherche) est je pense plus importante qu'une motivation purement désintéressée, rigoureuse et objective face à la science. Et sur ce point il faut que tu te poses des question sur tes réelles motivations. Personne n'a jamais fait avancer les choses en faisant de la cuisine de formules. Mais bon à la fois c'est normal de commencer par ça, mais ne va pas trop loin car sinon tu perdras ton temps.
La cuisine de formule c'est bien tant qu'on reste à l’intérieur du cadre où elles sont valables (ie. application bête et méchante de la théorie), si on essaye de montrer quelque chose en désaccord avec ce cadre, on ne peut plus les utiliser sans avoir justifié rigoureusement que c'est légitime de les utiliser dans ce cadre : ça devient beaucoup plus fin.
Personnellement, je ne suis pas physicien, donc quand je fais de la physique j'applique "bêtement" les équations que nos amis les physiciens ont démontrés pour moi, mais il ne me viendrait pas à l'esprit de pouvoir trouver quelque chose de nouveau au point de vue théorique en faisant de la cuisine
Un grand merci, ce fut passionnant,
Un extrait (traduction automatique) du lien donné par vaincent :
« …Contrairement à la relativité restreinte, la vitesse mesurée de la lumière dans un champ gravitationnel n'est pas une constante, mais plutôt une variable en fonction du référentiel de l'observateur; ce qu'un observateur voit comme vrai un autre observateur voit comme fausse. Les seuls observateurs qui peuvent réellement convenir que la vitesse de la lumière à l'extérieur des champs de gravitation est 299792.458 km / s sont ceux qui sont eux-mêmes en dehors des champs gravitationnels... »
Donc, si j’ai bien compris (ou pas ), C peut variée en fonction de la gravité, j’avoue n’avoir pas tout saisi par « … variable en fonction du référentiel de l'observateur… », mais peu importe.
Si la mesure de C a été effectuée sur terre, et qui donne 299792.458 km / s, cette valeur doit être fausse, car non effectué en dehors des champs gravitationnels. Il y a manifestement quelque chose que j’ai pas compris, pas simple tout ça !
je voulais creuser la question du message 29 j'ai tombé su ça :http://forums.futura-sciences.com/de...-bogdanov.html
Cette formulation est peut-être maladroite.Envoyé par daniel100« …Contrairement à la relativité restreinte, la vitesse mesurée de la lumière dans un champ gravitationnel n'est pas une constante, mais plutôt une variable en fonction du référentiel de l'observateur; ce qu'un observateur voit comme vrai un autre observateur voit comme fausse. Les seuls observateurs qui peuvent réellement convenir que la vitesse de la lumière à l'extérieur des champs de gravitation est 299792.458 km / s sont ceux qui sont eux-mêmes en dehors des champs gravitationnels... »
Si j'ai bien compris, à faire valider par les spécialistes.
On se base ici sur cette formule :
Or comment cette vitesses est-elle mesurée localement ?
Avec une horloge locale dont la frequence est identiquement accelerée ou ralentie à ce que la vitesse de la lumière l'est.
Il y a compensation.
Comme c'est expliqué page 5 doc pdf, page 906 document original ici :
On the Influence of Gravitation on the Propagation of Light, Annalen der Physik, 35, 1911 A.Einstein
http://www.physik.uni-augsburg.de/an...35_898-908.pdfEnvoyé par Albert EinsteinMisst man nämlich in dem beschleunigtem, gravitationfeldfreien system System K' an verschiedene Orten die Lichtgeschwindigkeit unter benutzung gleich beshaffenen Uhren U, so erhält man überall die selbe Grösse.
Ce qui implique une constance de la vitesse limite c, localement, quel que soit la force du champ gravitationel.
La vitesse de la lumière est donc constante là ou on la mesure. Le champ gravitationel n'influe pas localement sur cette vitesse (l'horloge, la vitesse du phénomène étant influencée identiquement).
De ce principe découle l'universalité des phénomènes. Tout phénomène local peut être transposé à tout autre lieu, il n'y aura pas de différence phénoménale.
Cette "règle" sort de ce cadre de validité au voisinage immédiat de l'atome, elle ne s'y applique plus.
Mais bon, ce n'est pas là qu'on va mesurer la vitesse de la lumière.
Un décallage relatif est observé uniquement si l'observateur n'est pas dans un champs gravitationnel de même intensité que celui que parcours la lumière.
C'est ce qu'indique le c', la vitesse relative observée, et qui dépend de , qui est le rapport entre l'intensité du champ gravitationnel de l'observateur et celui dans lequel la lumière se déplace.
Evidement, si l'observateur et le phénomène sont dans le même champ gravitationel, et donc c'=c avec c=299792458 m.s-1.
Dans la relation E'(r')=E(r)(1+-GM/zc²) je ne suis pas sûr qu'on peut éliminer la masse dans l'égalité ?, avec delta[E(potentiél...)]=mg(r'-r)=mgz CAR pour calculer la déviation de la lumiére prés du soleil les physiciens on pris c'=c(pour calculer le temps de la traverser ....voir tests expérimentaux de la RG) et l'observateur est un peut loin du champs traverser par les photons ET la lumiére qui vient des étoiles massives a toujours la vitesse C dans les observatoires ...
Bonjours !
`` l’effet d’une onde gravitationnelle sur deux particules de masses
négligeables est la variation de leur distance au cours du temps.
Alors que se passe t'il lors de cette variation de distance, cette plasticité gravitationel peut t'elle avoir un point de rupture ?
L'effets d'une onde garvitationel dans le spectre des ondes gravitationel est dificiles a saisir, imaginé l'effets de deux système composé de milliarde de particules répartie en différent amas de diférentes masses ?
Cest pour cela que l'on peut déterminer que les ondes gravitationel forme un rayonnement gravitationel, comme le dit Einstein, la luminosité gravitationel.
`` Les ondes électromagnétiques sont produites par la variation du moment dipolaire des charges électriques, et les ondes gravitationnelles sont produites par la variation du moment quadrupolaire des masses.
Cela définie :
`` On peut donc estimer que les ondes gravitationnelles les plus fortes et peuvent être émises par des masses accélérées : qui possèdent un très fort champ gravitationnel, qui vont a une vitesse proche de celle de la lumière, qui n’ont pas une forme sphérique.
Dans les objets astrophysiques connus, les plus efficaces pour le démontré semblent être : les étoiles a neutrons.
`` Le rapprochement des deux
étoiles a neutrons (pulsars)
de PSR1913+16
correspond, avec une
précision extrême, a ce qui
est prédit si ces deux étoiles
émettent des ondes gravitationnelles.
``Prix Nobel de Physique pour Hulse et Taylor en 1993
Maintenent le comportement de cette densités dit supra- nucléaire est telle, que de définir la composition de sa mécanique est incertaine, car certaine étoiles a neutron massive vont se transformer en trou noir.
Et nous savont que l'effets gravitationnel d'un trou noir affecte la lumière.(t,Spin axial)
Donc, oui les rayonnement des ondes gravitationel de spectre x inconnu, affecte les ondes et rayonement photonique (La lumière)
`` Laboratoire de l’Univers et de ses Théories (LUTH)
CNRS / Observatoire de Paris
.
Bonsoir
Je te remercie pour ton intégrité scientifique (qui me fait m'interroger sur la mienne), et pour tes recherches.
Sur le fond je pense à présent que tu as raison effectivement. J'ai fait quelques recherches concernant la variation de c près d'un objet massique et j'ai notamment trouvé qu'Einstein lui-même a écrit un article sur le sujet dès 1911 ! On peut voir l'article original(et des liens vers une traduction en anglais) sur ce site. On peut y voir la formule à laquelle tu es sensé arriver. Cela va surement t'apporter du grain à moudre ! Il y a également d'autre références où cela est discuté. En fin de compte c'est très loin d'être une bizarrerie et encore moins une nouveauté. Le tout réside en effet dans le fait que la vitesse de la lumière est relative dans des référentiels non-inertiels mais que cela ne remet pas en cause l'invariance de Lorentz locale.
Donc sur le fond, personnellement le sujet est clos, cela répond directement à la question initiale et j'ai appris quelque chose!Oui effectivement, il s'agit de la variation d'énergie totale. C'est du en partie à cause du fait que soit obliger de tout taper sur un traitement de texte pour copier-coller ma réponse depuis que le site à été modifié sinon je ne pourrais rien poster. Aussi du fait que j'ai tendance, malgré mes relectures à me focaliser sur un point (le signe des termes de gauche et de droite) et je laisse souvent glisser des erreurs, mais qui n'ont pas d'incidence sur le résultat final (cf la variation de l'énergie cinétique).Sinon, je voulais juste préciser une petite chose dans ton dernier message.
Tu sembles insinuer que Ec(finale) = mc² et Ec(initiale)=mc²(1/sqrt(1-v²/c²)). J'imagine bien entendu que tu sais que Ec = mc²(gamma - 1) en RR, et que si la vitesse s'annule à l'infini alors on a forcément Ec(finale) = 0 J. La variation d'énergie cinétique est bien celle que tu écris, mais il ne faut pas hésiter à passer par l'étape d'écriture Ec(finale) - Ec(initiale) = 0 - mc²(gamma - 1) pour bien montrer que tu ne confonds pas l'énergie totale et l'énergie cinétique.(Ta présentation n'en sera que plus crédible!)
A force de truffer mes messages de formules, je commence à avoir une certaine technicité. Je ne sais plus qui disait le Latex c'est fantastique, mais même si c'est facile à apprendre, on se perd vite au milieu des \ _ }}} et autres. D'ailleurs, je ne sais pas de quel message tu a tiré la formule, je pensais avoir corrigé le <0.
Probablement puisque à priori le est le même mais que la relation à c est différente; peut être à cause de l'utilisation du TEC. Par contre je suis curieux de savoir dans le détail comment Einstein est arrivé à cette conclusion.
Et cela explique pourquoi Einstein dit :
Albert Einstein dans la théorie de la relativité restreinte et générale (première édition 1923 , éditions Dunod 2004) à la page 84:
"En second lieu, cette conséquence (courbure des rayons lumineux) montre que, conformément à la Théorie de la relativité générale, la loi déjà souvent mentionnée de la constance de la vitesse de la lumière dans le vide, qui est une des deux suppositions fondamentales de la théorie de la relativité restreinte, ne peut prétendre à une validité illimitée.En effet, une courbure des rayons lumineux ne peut se produire que si la vitesse de la lumière varie avec le lieu
On pourrait penser que cette conséquence renverse la Théorie de a relativité restreinte et avec elle la Théorie de la relativité en général. Mais en réalité il n'enest pas ainsi.
On peut seulement en conclure que la Théorie de la relativité restreinte ne peut pas prétendre à un domaine de validité illimitée; ses résultats ne sont valables que dans la mesure où l'on peut négliger les influences que les champs de gravitation exercent sur les phénomènes (par exemple de la lumière)."
Je me définis plus comme un Trekky que comme un scientifique. J'ai envie de croire que les voyages intersidéraux seront possibles un jour. Pour ça, je pense qu'il est nécessaire d'augmenter artificiellement la vitesse de la lumière autour d'un vaisseau et c'est mal barré si la dite vitesse est une constante cosmologique.Au niveau de l'intention je note un gros problème : tu ne maîtrise pas la RG, donc tu fais avec ce que tu connais, mais tout le problème est là. ça ne marchera forcément pas ! L'envie de faire des calculs pour faire des calculs(et avoir l'impression de faire de la recherche) est je pense plus importante qu'une motivation purement désintéressée, rigoureuse et objective face à la science. Et sur ce point il faut que tu te poses des question sur tes réelles motivations.
Ceci-dit cela ne m'empêche pas de m'interresser à d'autres sujets scientiques et je suis assez intègre sur ce plan pour que cette envie de croire ne se fasse pas au détriment de la vérité scientifique. J'ai prends en compte ta remarque sur le TEC comme j'ai déjà pris en compte d'autres de tes remarques ou de celles d'autres intervenants.
Je pense qu'avec mes connaissances actuelles, j'ai fait le tour de ce sujet. Il me faut à présent progresser et passer à l'étape supérieure et donc me replonger dans les bouquins de maths et physique. Ma tambouille a au moins eu le mérite de réouvrir le sujet sur ce forum qui me semblait être un peu enterré.
Est-ce qu'il existe une traduction anglaise et, même de préférence française du document d'Einstein?
http://www.physik.uni-augsburg.de/an...35_898-908.pdf
Cordialement,
Zefram
je peux croire que je sais, mais si je sais que je ne sais pas, je ne peux pas croire
Bonjour,
De rien, rien de plus normal.Bonsoir
Je te remercie pour ton intégrité scientifique (qui me fait m'interroger sur la mienne), et pour tes recherches.
Est-ce qu'il existe une traduction anglaise et, même de préférence française du document d'Einstein?
http://www.physik.uni-augsburg.de/an...35_898-908.pdf
Cordialement,
Zefram
Oui il existe une traduction anglaise(en français faut pas rêver quand même) comme cela est précisé dans le lien que j'ai fourni. On peut acheter le livre, où la traduction a été faite, pour une somme modique ici (il y a plein d'articles intéressant dans ce bouquin). C'est également très facile de trouver le lien vers la 2ème formulation d'une vitesse variable(un peu moins intuitive cependant) dans 'The meaning of Relativity' : la relativité spéciale et générale expliquées par Einstein ! Sympa! (au format pdf et en anglais!).
J'ai glissé chef !Envoyé par Maillou75Bon après je suis tellement une chevre en math que t'as ptet raison
Non, c'est bien un Schraubenshlüssel.
http://www.youtube.com/watch?v=DKGkF...eature=related
Si je connaissais le con qui a fait sauter le pont !
WOW,c'est du n'importe quoi ...Dans la relation E'(r')=E(r)(1+-GM/zc²) je ne suis pas sûr qu'on peut éliminer la masse dans l'égalité ?, avec delta[E(potentiél...)]=mg(r'-r)=mgz CAR pour calculer la déviation de la lumiére prés du soleil les physiciens on pris c'=c(pour calculer le temps de la traverser ....voir tests expérimentaux de la RG) et l'observateur est un peut loin du champs traverser par les photons ET la lumiére qui vient des étoiles massives a toujours la vitesse C dans les observatoires ...
Bonjours !
Si je comprend bien la discussion Math's en cour
Le moment quadrupolaire.
Il faut tout d'abord considérer les noyaux dont le nombre de spin est supérieur à 1/2, dits noyaux quadrupolaire par le fait que la distribution des charges électriques nucléaires n'est plus de symétrie sphérique, ce qui confère au noyau un moment quadrupolaire.
L'espace-temps est déformé par la présence de matière (soit le soleil de masse M, rayon R, spin J et moment quadrupolaire gravitationnel J2). En conséquence, la lumière est défléchie.
Une interaction quadripolaire est susceptible de modifier très fortement l'énergie des états quantiques et donc influence la fréquence de résonance et la relaxation.
Selon les principes de la mécanique quantique, la relaxation est l'absorption d'un rayonnement électromagnétique s'accompagne toujours d'un phénomène de relaxation plus ou moins rapide, c'est-à-dire en d'autres termes, la réémission des photons absorbés.
Par contre Purcell avec le coéfficients d'Einstien montre qu'il faudrait un temps supérieur à l'age de l'univers pour une réémission photonique spontané et de quelque centaine d'années pour une réémission stimulé.
A priorie je trouve que cela reflète bien l'effets gravitationel subits par les photon dans l'horison des trou noir.
Donc c'est une certitude la lumière est défléchie par une influence gravitationel
M'est comme J2 nous est magoritairement inconnue, je me pose une question.
Nous somme certains que dans la mécanique dipolaire de la matière, l'énergie de cette matière se dit, E = mc2
Est ce que E = mc2 s'applique a J2 en toute circonstance, dans l'énergie gravitationel créé par une mécanique quadripolaire, car le rayonnement qui en découle n'a plus la symétrie sphérique habituelement rencontrée dans l'expression de l'énergie de la mécanique dipolaire.
Se peut t'il qu'une matière soi tellement compresser, que si ont déploie sa masse en énergie, elle devien E = mc3 , ou ........ ...... ...
Cat . .
Bonsoir et encore merci pour vos réponses,
On dit toujours que C est constant, quelque soit où la mesure est faite, il semblerait que non.
Ai-je bien compris vos propos comme quoi C est fonction de la gravitation ?
Si oui, dans quelle proportion proche d’un trou noir ?
Que la seconde (proche d’un TN) soit pour nous plus « lente » ne change en rien la mesure de C, à l’endroit ou la mesure est faite.
Mon interrogation est :
Que je mesure C sur terre, ou entre deux amas, ou très proche d’un TN en me déplacent à 99% de C, la gravitation perturbe-t-elle la mesure ?
Il semblerait que oui, mais j’ai un doute, j’ai parfois un peu de mal à vous suivre (ce qui est normal, je n’ai pas vos connaissances et vos intellects).
Merci,
Non dans le cadre de la relativité mais sinon Oui, d'une certaine manière.Envoyé par Daniel100Ai-je bien compris vos propos comme quoi C est fonction de la gravitation ?
C, est localement fonction de la gravitation, certes, MAIS, l'horloge c'est à dire l'écoulement du temps est AUSSI localement fonction de la gravitation.
Du coup C, qui est une vitesse, et qui dépend donc du temps (un déplacement selon un temps) est constant localement.
Il y a bien une difference de cette vitesse entre deux espaces ayant des intensités de leur champ gravitationnel différent, et c'est mesurable. (on constate, à défaut de pouvoir mesurer la vitesse de la lumière, que l'horloge des evenements accélère ou ralenti).
Ceci est valable dans l'espace compris depuis la surface de l'atome, l'horizon des evenements du tn et depuis la limite du CMDB, mais pas "au delà".
Le TN justement présente 2 problèmes.
Le premier problème, c'est que la gravité y varie fortement, il y a donc un gradient qui fait que la vitesse, si on voulait la mesurer (cette mesure nécéssite une distance, or sur cette distance le gradient du champ gravitationnel est important) ne serait plus constante, non pas localement, mais concretement sur cet espace de mesure.
Le deuxieme problème est issu du premier, lorsque la distance permettant la mesure devient inferieure à la longueur de Plank.
Si, sur cet interval, le champ gravitationel ne peut plus être considéré comme uniforme ou du moins son gradient ne peut plus être considéré comme négligeable, et c'est le cas dans un TN, alors il devient techniquement et mieux dit théoriquement impossible de produire une mesure qui si elle etait réitérée une "longeur de plank plus loin" donnerait une vitesse C identique. (j'espère que la formulation est compréhensible )
C apparait alors effectivement ne plus être constante et dépend donc directement du gradient gravitationnel.
On sort alors du cadre de la relativité et on entre dans le domaine de la mécanique quantique qui doit être traité par la théorie quantique des champs.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A...que_des_champs
A noter, et à mon avis pour être très précis, que ceci, bien qu'étant logique, est fortement hypothétique sachant que le TN est théorique, déduit, plus qu'observationel jusqu'à preuve du contraire.
Il faut donc être extremement prudent lorsqu'on se hasarde à de telles affirmations, et c'est dans cet état d'esprit que mon propos doit être compris. Même si "ca marche".
Bonjours !
Je trouve vaux réponses sur la gravitation ayants beaucoups de sens, comme j'avance en ages et que je ne suis qu'une épave échoué, je vous fait part de certain résumés de mes écrits longtemps disparus.
Dans mes écrits théorique.
Section mécanique des Trous Noir.
Dans la mécanique théorique de la thermodynamique du trou noir massife(multi-phase), dans cette mécanique en E=mc2 du trou noir, la matière est déployer comme un rayonnement sphéérique calorifique subatomique, dans se rayonnement une faible partie est attribuer a un rayonnement ayant comme source E=mc3.
J'écrit E=mc3 a une tête comme émergé en E=mc2 comme la pointe de l'icberg.
Cette tête est une mécanique d'intriquement de haute énergies, née du seuil gravitationel d'un imbriquement se transforment en intriquement.
La masse ayant une accumulation constante la masse s'ajoute, et que les températures se refroidisses de façon exponnentiels, comme les masse s'accumules, le résultats de cette accumulation constante atteint un seuil gravitationel, qui déclenche une mécanique d'effondrement du mur imbriquer, se mur qui ne peut plus suporter `ni la première masse `ni la dernière masse, l'effondrement gravitationel qui s'en suis devient une brisure spontanée de symétrie, c'est a dire la naissance d'une mécanique de transformation de la matière.
La masse ayant une accumulation constante atteint un seuil gravitationel, qui déclenche une mécanique d'effondrement du mur imbriquer, se mur qui ne peut plus suporter `ni la première masse `ni la dernière masse, l'effondrement gravitationel qui s'en suis devient une brisure spontanée de symétrie, c'est a dire la naissance d'une mécanique de transformation de la matière par intriquement.
Dans cette phase mécanique décrite, le momen cinétique de l'énergie venants de mc2 qui tomber en mc3 et ainsi anclancher l'accumulation de masse en c3.
Question : Combien pèse le premier le premier quantum3 qui va intitialisé se moment cinétique et a quel température cette première goutte quantique va t'elle être produite ?
Cat . .
Une énergie ne peut pas être égale à une masse multipliée par une vitesse au cube, ce n'est pas homogène dimensionnellement.
Franchement je ne sais pas à quoi vous tournez, mais il faut arrêter tout de suite. Ne vous rendez-vous pas compte que vous raconter n'importe quoi ? Sans vouloir être méchant, j'irais consulter un spécialiste si j'étais vous. Je ne rigole pas.J'écrit E=mc3 a une tête comme émergé en E=mc2 comme la pointe de l'icberg.
Cette tête est une mécanique d'intriquement de haute énergies, née du seuil gravitationel d'un imbriquement se transforment en intriquement.
La masse ayant une accumulation constante la masse s'ajoute, et que les températures se refroidisses de façon exponnentiels, comme les masse s'accumules, le résultats de cette accumulation constante atteint un seuil gravitationel, qui déclenche une mécanique d'effondrement du mur imbriquer, se mur qui ne peut plus suporter `ni la première masse `ni la dernière masse, l'effondrement gravitationel qui s'en suis devient une brisure spontanée de symétrie, c'est a dire la naissance d'une mécanique de transformation de la matière.
La masse ayant une accumulation constante atteint un seuil gravitationel, qui déclenche une mécanique d'effondrement du mur imbriquer, se mur qui ne peut plus suporter `ni la première masse `ni la dernière masse, l'effondrement gravitationel qui s'en suis devient une brisure spontanée de symétrie, c'est a dire la naissance d'une mécanique de transformation de la matière par intriquement.
Dans cette phase mécanique décrite, le momen cinétique de l'énergie venants de mc2 qui tomber en mc3 et ainsi anclancher l'accumulation de masse en c3.
Question : Combien pèse le premier le premier quantum3 qui va intitialisé se moment cinétique et a quel température cette première goutte quantique va t'elle être produite ?
salut tous le monde , pouviez vous me cité une seulle métrique comme ds²=a.dr²-b.c²dt² où les phyciseins on mit x² ou je ne sais pas quoi à la place de c² ??? .
Salut,
Ca n'aurait pas de sens.
Bien sûr, on peut toujours inventer une coefficient de métrique du type x²/l² (avec l une constante égale à une longueur). J'ai déjà fait ce genre de chose pour analyser des situations un peu particulière en gravitation quantique.
Mais remplacer c² par x² n'a pas de sens. Les dimensions (unités) ne sont pas compatibles ('c' est en m/s et x est en mètres).
Ce qu'on fait parfois c'est poser c = 1. Mais c'est juste un jeu avec les unités pour simplifier les calculs.
"Il ne suffit pas d'être persécuté pour être Galilée, encore faut-il avoir raison." (Gould)
Bonjour,
Je ne sais pas si ce que je vais dire contredit Xoxopixo ou non.
Le problème est que dans un champ de gravitation, et en nous définissant comme observateur de référence et fixons C à 299 792 458 m/s, nous pouvons mesurer le temps propre dans un référentiel plus immergé que le notre dans le champs de gravitation, et la longueur propre.
Quand nous comparons le temps et la longueur propre du référentiel immergé avec le temps et la longueur de référence de notre référentiel, nous observons l'existence d'un facteur commun, le facteur spatiotemporel Xr,
avec Xr= tref/tr et Xr = Lref/Lr
si on divise Lr/tr on obtient C = 299 792 458m/s ce qui est normal parce que les mesures de tr et Lr ont été faites dans notre référentiel.
Maintenant, si C, varie dans un champ de gravitation, ce n'est pas incompatible avec la Relativité, mais avec seulement la métrique de Schwarschild, et je suis convaincu qu'elle peut être adaptée à des champs de variation à symétrie sphérique de la vitesse de la lumière, reste à savoir comment.
Concernant le principe d'équivalence à une distance Rr, comprendre la distance R mesuré au point r,dans le cadre de la métrique de Schwarzchild, la force de gravitation engendre une contraction de l'espace-temps correspondant au facteur de Schwarzschild Xs. Mais dans un autre référentiel, ce facteur va correspondre à une autre distance Rz, qui correspondra à la distance R mais mesurée au niveau de l'observateur.
En RR (relativité restreinte précisons), une voiture qui accélère, est un mobile qui est la source de son accélération. En admettant que cette accélération soit constante dans le référentiel du conducteur, ce ne sera pas le cas pour l'observateur supposé fixe parce que la vitesse de la voiture change constamment et le facteur de Lorentz qui l'accompagne avec.
Maintenant en RG. l'accélération du référentiel immergé est subie par le référentiel. Donc l'accélération ar,r (accélération au point r mesurée en r) est différente de l'accélération ar,z c'est à dire l'accélération au point r mesurée par l'observateur.
Comment cela est-il pris en compte dans la RG, et dans le cadre de la métrique de Schwarzchild en particulier?
cordialement,
Zefram
je peux croire que je sais, mais si je sais que je ne sais pas, je ne peux pas croire
Salut,
J'ai une ptite question qui va sans doute vous paraitre idiote ...
Je n'arrive pas à comprendre à quel moment et comment on passe d'un systeme de coordonnées (x,y,z) à un repère en coordonnées polaires (TN)?
Merci