c'est sans doute qu'ils sont arrivé au bout du bout de la bétise humaine, et que donc selon la relation d'einstein sur l'infini, si la bétise humaine est finie, c'est que l'univers doit l'être lui-aussi cqfd ;o))
sinon, l'infini est surtout un terme de l'ordre de l'indéterminé, et de l'indénombrable... un peu comme "beaucoup", "enormement", "brouétté", et d'autres termes permettant de poser un concept de quantité, en poid, masse, ou mesure diverse, mais que l'on est pas capable de dénombrer (mesurer donc)... l'infini dénote surtout donc ce manque de connaissance permettant de faire une quelconque estimation (il ne faut pas se fier aux concepts d'infini d'un matheux bargeot dont j'ai oublié le nom)... l'indéterminé ne comprend pas les concepts de comparaison qui demande quelques chose de dénombré) (voir une planète c'est une grosse brouétté d'atome, quand à l'univers il est par principe infini, puisqu'on ne peux le mesurer... quoique pour l'univers, il me semble c'est encore pire, puisque l'indétermiantion porte sur la connaissance elle-même, impossible d'en parler) autant se demander quelle taille on en moyenne les yétis et/ou le poid du père noël... (avant et après distribution)
alors ça peux sembler logique qu'un objet ayant un début soit fini en étendu, car son expansion serait lié a une durée limité... et de cette limite en temps, l'on déduit une limite en étendu, donc la finitude de l'univers... mais dans ce cas l'univers à un bord, puisqu'il a une limite... et donc il s'étend dans autres chose... par là, l'univers se trouve juste être un grosse boule en expansion, loin des complexités topolo-géométrique ... et nous trouvons donc sur un bord de la grande nébuleuse universelle...
j'avais l'habitude que l'on me sorte des "images" un brin plus complexe... enfin bon, c'est l'été, faite chauffer les coins de nappes... ;o))
-----