Pour préciser un peu : j'aurais tendance à associer déterminisme interne et absence de libre-arbitre.
Ainsi, le sujet serait soumis à un ensemble de déterminismes :
- génétique ;
- familial - éducatif ;
- social - culturel.
En clair, le sujet serait déterminé par ce qui a été introjecté en lui de naissance et par l'éducation, ce qui constituerait un déterminisme interne.
Si j'aime le chocolat, je ne suis pas libre, car je ne suis pas libre de ne pas l'aimer. Je peux me forcer à n'en pas manger, je peux chercher à m'en dégoûter, mais au départ mon goût pour le chocolat m'est imposé. Et tout à l'avenant.
L'idée de liberté serait différente.
Si j'aime le chocolat, et que rien ne m'interdit d'en manger, alors je suis libre d'en manger. J'ai la liberté de succomber à mon absence de libre-arbitre, et d'y trouver du plaisir.
Si on m'interdit d'en manger, là c'est une atteinte à ma liberté. C'est un déterminisme externe, qui contrarie mon souhait de suivre mon déterminisme interne.
Enfin, il me semble.
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