Bien alors si votre cerveau décide d'arrêter de respirer, le bulbe rachidien se révolte au bout d'un moment et vous force à reprendre votre respiration. Maintenant la respiration est-elle une action ? On attend encore la définition...
Donc on a bien deux fonctions différentes, qui interviennent toutes deux dans la prise de décision mais qui s'expriment comme si elles ne communiquaient pas entre elles. D'où mon idée que dans ce cas, on peut interpréter les deux choix comme valide du point de vue de l'intérêt de l'organisme et que c'est la raison pour laquelle on peut avoir envie d'arrêter de fumer mais ne pas le faire.
Je n'ai pas dit que l'implication de l'interprétation, disons à court terme, du cerveau était que la personne n'avait aucun intérêt d'arrêter, mon argument répond justement à ce point. Si on veut arrêter, c'est qu'on a une bonne raison, mais de toute manière cette raison est influencée par le cerveau, ça n'interdit pas les contradictions comme celle dont je parle juste au dessus.Sinon pourquoi l'individu veut arrêter si son intérêt est de continuer, qu'il le sait et qu'il n'a strictement aucune raison d’arrêter ?
Je pense que tu ne m'as pas bien lu. le problème n'est pas que deux besoins de l'organisme soit en contradiction, comme je l'ai dit, c'est explicable via mon argument. Il faut trouver un exemple ou une action n'est pas explicable par l'intérêt de l'organisme. Ton exemple ne répond pas à ce critère pour la raison que j'ai expliqué : On peut interpréter les deux solutions comme viables du point de vue de l'organisme. Donc les actions résultant d'une décision basée sur l'une ou l'autre des solutions seront toutes en accord avec ce que le cerveau te commande de faire. La contradiction n'existe que dans le cerveau, mais pas entre l'intérêt de l'organisme et les décisions de la personne.PS : j'ai très bien compris les explications qui provoquent ce comportement contre son propre intérêt car en plus du fait que c'est bien un comportement contradictoire, c'est une des raisons qui m'ont précisément fait choisir cet exemple.
D'où l'intérêt d'avoir des définitions précises
Ecoute, y a un moment faut décider de quoi on parle. Si on se met à parler des différentes parties du SNC ( comme j'ai l'impression que c'est le cas) faut s'en tenir aux définitions anatomiques sinon on n'a pas fini!
C'est exaspérant cette habitude de toujours remettre en question des définitions qui sont communément admises! Quand on parle d'anatomie, on se sert des définitions anatomiques!
Dernière modification par mh34 ; 02/08/2012 à 23h06.
"Музыки хватает на всю жизнь, но целой жизни не хватает для музыки"
Rachmaninoff
Je ne parle pas des raisons qui expliquent cet état de fait ni même de ce que tu ou "on" pourrait interpréter ou ce qui pourrait nous passer par la tête : j'ai même donné des liens qui abordent sérieusement cet effet, je dis simplement que cet état de fait correspond aux critères du contre exemple demandé.Donc on a bien deux fonctions différentes, qui interviennent toutes deux dans la prise de décision mais qui s'expriment comme si elles ne communiquaient pas entre elles. D'où mon idée que dans ce cas, on peut interpréter les deux choix comme valide du point de vue de l'intérêt de l'organisme et que c'est la raison pour laquelle on peut avoir envie d'arrêter de fumer mais ne pas le faire.
Et ça montre que mon contre exemple est valide.Je n'ai pas dit que l'implication de l'interprétation, disons à court terme, du cerveau était que la personne n'avait aucun intérêt d'arrêter, mon argument répond justement à ce point. Si on veut arrêter, c'est qu'on a une bonne raison, mais de toute manière cette raison est influencée par le cerveau, ça n'interdit pas les contradictions comme celle dont je parle juste au dessus.
J'ai très bien lu et je répondais à ça ou il n'est aucunement question de critère "d'explicabilité" :
Message 204.
Si tu changes les critères au fur et à mesure qu'on répond aux questions, il n'y aura jamais de réponses.
Ensuite, on pourra toujours trouver des explications surtout quand on les suppose mais, bien que ça n'aie pas de rapport avec la validité de mon exemple, il faudra maintenant que tu démontres que ces explications sont pertinentes.
De toutes façons, les deux actions sont opposées (fumer et ne pas fumer) donc forcément une des deux va contre l’intérêt de l'organisme et n'est même pas non plus explicable par l’intérêt de l'organisme, quelle que soit l'explication que tu vas imaginer.
Tu est en train de me dire que tu as imaginé une explication dont au passage tu n'as aucune idée de la pertinence donc les critères ne sont pas remplis.Ton exemple ne répond pas à ce critère pour la raison que j'ai expliqué : On peut interpréter les deux solutions comme viables du point de vue de l'organisme. Donc les actions résultant d'une décision basée sur l'une ou l'autre des solutions seront toutes en accord avec ce que le cerveau te commande de faire. La contradiction n'existe que dans le cerveau, mais pas entre l'intérêt de l'organisme et les décisions de la personne.
Je dis que ce que tu imagines ou interprètes reste ce que tu imagines et interprètes et le fait de modifier encore le critère pour en faire maintenant ce qui est "viable pour l'organisme" permet de répondre à coté.
Je parle de ce qui semble être le "propre intérêt" et non pas de ce qui serait viable du point de vue de l'organisme (et au passage, le tabac n'est justement pas viable du point de vue de l'organisme donc le fait de ne pas arrêter est également de ce point de vue un contre exemple).
Pour être clair, si je veux arrêter de fumer parce que je sais que c'est mon propre intérêt, tu es en train de m'expliquer que je n'ai pas envie d’arrêter parce que ce n'est pas mon intérêt et que je ne connais pas mon intérêt.
Ben, désolé mais pour moi, ça ne tient pas debout (pour le moins).
Non ce n'est pas du tout ce que je dis. C'est n'importe quoi.
Pour être clair, si je veux arrêter de fumer parce que je sais que c'est mon propre intérêt, tu es en train de m'expliquer que je n'ai pas envie d’arrêter parce que ce n'est pas mon intérêt et que je ne connais pas mon intérêt.
Ben, désolé mais pour moi, ça ne tient pas debout (pur le moins).
Je ne change pas les critères au fur et à mesure, j'ai expliqué ce que je voulais dire et pourquoi. La personne avec qui tu discutes est complètement imaginaire.
Moi j'arrête là.
Les extraits et les messages que j'ai cité et que tout le monde peut contrôler - petite flèche bleue à droite du pseudo -(j'ai même cité le message 204 que j'ai surligné en rouge) ne sont pas imaginaires.
J'ai également surligné en gras les critères qui changeaient (besoin, raison, contradiction, action pas explicable ... versus "intérêt perçu") et tu as été jusqu’à te justifier en arguant que le fait de fumer pouvait être interprété comme un choix valide du point de vue de l'intérêt de l'organisme :
Alors oui : ça, c'est bien n'importe quoi, tout comme les interprétations et idées non fondées qui te servent d'argument.
Au lu des nombreuses interprétations toutes personnelles, un petit rappel :
6. Ayez une démarche scientifique. Ce forum n'est pas un lieu de discussion sur de soi-disant phénomènes paranormaux ou "sciences" parallèles. Toutes idées ou raisonnement (aussi géniaux soient ils) doivent reposer sur des faits scientifiquement établis et non sur de vagues suppositions personnelles, basées sur d'intimes convictions. Étant sur un forum scientifique, les discussions religieuses ou politiques ne sont pas tolérées. D'autre part la seule vocation de Futura-Sciences étant la vulgarisation scientifique de bon niveau ce n'est pas le lieu pour des questionnements ou remises en cause de théories admises dont seuls des spécialistes ont les compétences pour débattre, ni pour l'exposé de théories strictement personnelles. Une telle démarche aurait sa place uniquement dans un séminaire ou un congrès scientifique.
Julien, tu crois que je te vois pas venir, avec tes gros sabots?
Pour les définitions simplement, je me sers du Garnier Delamare ( le mien actuellement c'est la 21è édition).
Mais bon, ça...c'est pas faux, je le reconnais.il est acceptable d'utiliser le terme "cerveau" pour désigner .........l'ensemble de l'encéphale.
Dans tous les cas, deux pages autour d'une définition qui ne laisse le choix qu'entre deux possibilités c'est quand même un peu exagéré.
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Rachmaninoff
En résumant on a donc deux types de personnes ; celles qui sont incapables de résister aux sollicitations de leur cerveau (les fameux robots humains ) et les autres qui sont capables d'imposer leur volonté à leur organisme .
La seule différence viendrait alors soit de nature biologique ou de l'éducation qu'ils ont reçues de leur entourage ?
En passant comment va naje et aussi teechah ? c'est étrange l'effet miroir quand même appliqué sur tarzan
Je n'y avais pas pensé quand j'ai choisi ce pseudo sinon mon cerveau n'aurait pas forcément été d'accord
Pour le cerveau, toutes les définitions officielles trouvables (ou peu s'en faut, peut être) sont pour l'instant utilisables et pour ce qui est du mot "action", c'est pour l'instant la même chose :
http://www.linternaute.com/dictionna...nition/action/
http://www.mediadico.com/dictionnair...nition/action/
...
Très bien, je vois le sens 3: Sens 3 Production d'un effet par un corps ou un agent quelconque sur un autre.
Eternuer est une action ?
c'est bien ton organisme qui décide d'éternuer non ?
L'organisme c'est une chose, le cerveau une autre. Il faut arrêter avec les définitions extensibles à volonté.
http://littre.fracademic.com/61582/r%C3%A9flexeL'éternument (contraction spasmodique du diaphragme), à la suite du chatouillement du nez, est une action réflexe.
L'éternument est contrôlé par le bulbe rachidien, qui ne fait pas partie du cerveau selon mh34.
En suivant ces définitions on vient de démontrer qu'on peut agir contre son cerveau. Si on en avait choisi d'autres on aurait démontré l'inverse. D'où l'intérêt de bien se mettre d'accord sur les termes.
La question bute nécessairement sur la définition de la volonté:
http://www.scienceshumaines.com/les-..._fr_14822.html
Sens 3 qui s'applique à n'importe quels objets alors pourquoi pas le sens 4 ?
Si on cherche un sens "humain" comme tout le fil le laisse supposer et la citation le précise ...Part du capital d'une société sous forme de titre négociable
On a :> action (nom féminin)
Opération, oeuvre.
Sens 1 Ce que fait quelqu'un qui réalise une volonté, une intention. Synonyme acte Anglais action
Sens 2 Exercice de sa capacité d'agir, par opposition à la pensée ou la parole.Ah, enfin !La question bute nécessairement sur la définition de la volonté:
http://www.scienceshumaines.com/les-..._fr_14822.html
C'est quand même un peu l'idée qui sépare l'action du réflexe.
C'est vous qui avez donné le lien vers cette définition. Pourquoi pas en effet ?
Pourquoi ne pas l'avoir précisé auparavant ? Ca ne fait pas de mal un peu de précision dans les débats scientifiques...Ah, enfin !
C'est quand même un peu l'idée qui sépare l'action du réflexe.
Il suffit de rattacher dans ce fil ce qui s'y rapporte de manière évidente.
Autant, ça aurait pu être fait, autant les termes portent peu à confusion, même avec une acceptation large, en tout état de cause, les précisions peuvent être apportées au fur et à mesure sur les cas qui limites nécessitant d'être nuancés qui risquent de se présenter. Parce qu'a ce point du fil, il n'y a pas de raison de demander une définition de conscient, volonté, faire, capacité, agir, intérêt, éternuer, manger, respirer, etc... puisqu'ils n'ont pas été considéré suffisant pour préciser les termes de la question, puis refaire tout le lexique Français pour définir les termes de la définition et pourquoi pas, toutes les notions biologiques élémentaires (comment savoir ?).Pourquoi ne pas l'avoir précisé auparavant ? Ca ne fait pas de mal un peu de précision dans les débats scientifiques...
Sans excès de pédanterie on aurait quand même pu parler d'action volontaire. Mais même dans ce cas la proposition de notre ami MadMarx est encore fausse car on a besoin d'entraînement pour agir, sinon nous serions tous de grands peintres ou de grands musiciens.
Quand je prends un stylo pour dessiner une droite à main levée, malgré toute ma volonté je n'y arrive pas.
Faut changer de bras alorsSans excès de pédanterie on aurait quand même pu parler d'action volontaire. Mais même dans ce cas la proposition de notre ami MadMarx est encore fausse car on a besoin d'entraînement pour agir, sinon nous serions tous de grands peintres ou de grands musiciens.
Quand je prends un stylo pour dessiner une droite à main levée, malgré toute ma volonté je n'y arrive pas.