Serait-il possible que la déduction proposée (marquée en rouge) soit explicitée, avec les n observations (marquées en bleu, deuxième cité) et le "il existe" (formatté en TEX, pas colorable, mais dans le même paragraphe que la partie en bleu, le premier cité)?
Dernière modification par Amanuensis ; 23/12/2014 à 14h30.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
Je me répète : Visiblement vous confondez deux paragraphes différents.
Je suis Charlie.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse
Les paragraphes sont cités explicitement, la confusion n'est pas possible. (Suffit de cliquer le lien après "envoyé par ..." pour vérifier.)
Comme c'est dans le même message, on peut raisonnablement imaginer que l'exemple donné (deuxième paragraphe cité) s'applique à ce qui est proposé pour différencier induction et déduction (premier paragraphe cité). Mais bien sûr il est possible que les deux n'aient rien à voir, et et se soient trouvés accidentellement dans le même message.
Dernière modification par Amanuensis ; 23/12/2014 à 14h36.
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
J'ai compris l'exemple du deuxième paragraphe comme étant justement et délibérément distinct de l'exemple de déduction existentielle donnée au dessus .Les paragraphes sont cités explicitement, la confusion n'est pas possible. (Suffit de cliquer le lien après "envoyé par ..." pour vérifier.)
Comme c'est dans le même message, on peut raisonnablement imaginer que l'exemple donné (deuxième paragraphe cité) s'applique à ce qui est proposé pour différencier induction et déduction (premier paragraphe cité). Mais bien sûr il est possible que les deux n'aient rien à voir, et et se soient trouvés accidentellement dans le même message.
C'est pourtant clair : l'exemple qui se trouve entre parenthèses à la fin du 4ième paragraphe illustre le 4 ième paragraphe et non le 2ième ou le 3ième, ou un autre message.
Nous n'avons pas numéroté les § de la même façon, mais karlp a parfaitement compris.
Dernière modification par Médiat ; 23/12/2014 à 14h41.
Je suis Charlie.
J'affirme péremptoirement que toute affirmation péremptoire est fausse
Impressionnant cette capacité vous comprendre.
C'est surtout des notions de logique ,mais bon cela joue aussi un grand rôle dans l'argumentation http://fr.wikipedia.org/wiki/Induction_%28logique%29 http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9duction_logique (Wiképedia c pas fiable mais c'est quand même fiable )
oui il y en a qui ont déjà commencé le réveillon de noëlC'est surtout des notions de logique ,mais bon cela joue aussi un grand rôle dans l'argumentation http://fr.wikipedia.org/wiki/Induction_%28logique%29 http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9duction_logique (Wiképedia c pas fiable mais c'est quand même fiable )
Ok, je te remercie.C'est surtout des notions de logique ,mais bon cela joue aussi un grand rôle dans l'argumentation http://fr.wikipedia.org/wiki/Induction_%28logique%29 http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9duction_logique (Wiképedia c pas fiable mais c'est quand même fiable )
Je m'attendais à ce que vous preniez cet exemple pour de l'induction (tout ça à cause d'Aristote ...)
Il y a déduction lorsque vous inférez une conclusion à partir de quelque(s) prémisse(s) en vous appuyant uniquement sur les lois logiques (qui sont celles de la déduction).
C'est effectivement une observation qui vous permet d'obtenir l'énoncé "il existe un cygne noir". Mais cette observation n'est pas une induction (il n'y a pas "généralisation").
De l' énoncé "il existe un x tel que P(x)" vous pouvez, sans avoir recours à une généralisation quelconque mais en vous appuyant sur les lois logiques en conclure que " non (pour tout x non p(x)) : il vous suffit de substituer "cygne" à "x" et "être noir" à "P( )" et vous constaterez que c'est bien une déduction.
(traduction : "il existe un cygne noir" implique qu'il est faux que "tous les cygnes sont non-noirs")
Merci à toi et aux 2 autres "profs" (Myoper et médiat)
Je comprends mieux la différence induction / déduction au sens logique.
(Et je ne pensais pas être si transparente et que mes incompréhensions étaient si prévisibles )
Non , mais Wiképedia , c'est juste bien pour un aperçu . Les exemples même usuels sont importants assimiler un concept sinon ce serait difficile de mémoriser tout .
D'accord. Si la mécanique classique permet/privilégie une vision présentiste du monde, vision "classique" et opposée à celle de l'univers bloc, l'univers bloc n'est pas pour autant interdit par la mécanique classique. Par contre la RR interdit le présentisme, donc oriente plus naturellement vers la vision "bloc univers" ou toutes autres options RR compatibles.Pour la philosophie du temps, je vais répéter une fois de plus: la cinématique moderne ne soutient pas spécialement l'idée de l'Univers-bloc, mais elle rend le présentisme (ou variante incluant la notion de présent absolu, comme "l'épitaxie") très difficile à tenir. C'est tout.
Quelles sont les autres possibilités ? Y en a t'il tant que celà ?
Pour toute question, il y a une réponse simple, évidente, et fausse.
Vous me l'arrachez de la plume !
On constate en effet que la science n'a cessé de s'éloigner d'une certaine forme d'imagination (qu'on pourrait qualifier de "scopique" ou "visuelle").
Est-ce que quelqu'un serait en mesure de résumer la fonction et les fondements scientifiques de la théorie de l'univers bloc ? D'après ce que j'ai pu lire, elle ressemblerait à une construction "représentable" (visuellement ?), compatible avec les résultats de la physique et à destination du grand public. Mais je me méfie un peu de ce que j'ai pu lire/comprendre.
L'univers bloc me fait penser à l'approximation globale d'un univers pour lequel l'extérieur en connait "toutes les causes" et n'est donc pas limité par la vitesse limite de transmission. (puisque tout est connu)
C'est une approximation intéressante. (un toy model)
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
Comment "L'extérieur" pourrait-il être "extérieur" à l'espace-temps lui-même ? Ne sommes-nous pas là face à une aporie ?L'univers bloc me fait penser à l'approximation globale d'un univers pour lequel l'extérieur en connait "toutes les causes" et n'est donc pas limité par la vitesse limite de transmission. (puisque tout est connu)
C'est une approximation intéressante. (un toy model)
La théorie de relativité-générale fonctionne trés bien pour des portions restreintes de l'univers, en tant que théorie locale.
Les apories naissent lorsqu'on cherche à les appliquer au "nounours vert", qu'on appelle "Univers".
L'univers est un phantasme emprunt de mysticisme, pas un objet de science qu'on peut soumettre à l'expérimentation.
Dernière modification par sunyata ; 29/12/2014 à 11h44.
Qui a prouvé que les 3D d'espaces ne sont pas plonger dans un espace de dimension supérieur à 3?
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
ce n'est pas parceque l'on connais les causes que l'on peu connaitre le futur... prendre un dé à jouer confirmeras aisément la chose
il y a de l'équiprobabilité dans l'univers ou d'une cause peuvent apparaitre plusieurs conséquences... si tu fais 6 tu est riche, de l'autre tu perds tout... deux mondes
Si tu connais TOUTES les causes, tu sais si tu seras riche ou pauvre.
Moi ignare et moi pas comprendre langage avec «hasard», «réalité» et «existe».
avec plusieurs bémol.
I) c'est uniquement si on se place dans une logique totalement déterministe.
2) il faut être capable de les lister.
3 ) c'est le pire, car il faudrait les connaitre avec une précision "absolue" : or , aucune mesure ne l'est , il reste tj un % d'incertitude même minime qui est inhérent à la mesure.
( je ne parle que de physique classique )
Bonjour stefjm, bonjour à tous,
Une fois que les dés sont jétés, même nos voeux pour l'années 2015 n'y pourrons rien ?
Il existe une approche contefactuelle de la causalité (causalité qui a été sévèrement critiqué par B. Russell dans son célèbre article « On the Concept of Cause »)).
Cordialement,
En guise de réponse ou de complément, selon le point de vue, on peut toujours essayer de présenter une argumentation à travers un raisonnement logique.
Croyance A : nous croyons que nous disposons du libre-arbitre.
Croyance B : nous croyons que nous n’en disposons pas.
1) Si nous disposons du libre-arbitre, nous avons le choix entre A et B.
2) Si nous croyons que nous ne disposons pas du libre-arbitre, nous ne retenons que B.
Il suffit alors à un seul d’entre nous de choisir d’affirmer A (sur sept milliards, il y en aura toujours au moins un) (et même si on le crucifiait, il s’en trouverait toujours un autre pour prendre le relais) pour nous retrouver aussitôt dans le premier cas de figure.
3) Il reste enfin l’hypothèse ou personne, vraiment personne, ne croirait au libre-arbitre et où à partir de là pourrait s’écrire une nouvelle page d’histoire de l’humanité … page déjà écrite …
Dernière modification par Les Terres Bleues ; 29/12/2014 à 19h03.
reste la Croyance C : chacun croit ce qu'il veut. ( si on place le sujet sur ce terrain )
et la science n'a rien à faire avec les croyances.
quand on revient systématiquement à la MQ pour justifier des positions philosophiques ou autres ( que je ne nomme pas ) , je ne dit pas LOL.
bref, à chaque fois c'est du bottage en touche, alors que j'en restais moi même à la physique dite "classique".
Il ne suffit pas de croire que cela est pour que cela soit, dans un cas comme dans l'autreSi nous croyons que nous ne disposons pas du libre-arbitre, nous ne retenons que B.
Il suffit alors à un seul d’entre nous de choisir d’affirmer A (sur sept milliards, il y en aura toujours au moins un) (et même si on le crucifiait, il s’en trouverait toujours un autre pour prendre le relais) pour nous retrouver aussitôt dans le premier cas de figure.
La croyance C, ça veut dire A ou B, pas davantage. Donc l’hypothèse est bien traitée.
Tout au contraire, la croyance dans le libre-arbitre se trouve à la base-même de toute réflexion scientifique.et la science n’a rien à faire avec les croyances.
Ça, c’est du bottage en touche.
L’alternative est claire, c’est A ou B, rien d’autre, ou alors c’est que tu adoptes la proposition du troisième alinéa, celui dans lequel personne, vraiment personne, ne croit au libre-arbitre …
Dernière modification par Les Terres Bleues ; 29/12/2014 à 20h37.
non, ton raisonnement tient à A OU B pour la totalité des humains.
d'ailleurs tu veux démontrer que B est faux si un seul individu pense A.
ou alors, il te faut montrer avant que "scientifiquement" c'est A ou B pour tous, et qu'il ne s'agit pas de perception ou de croyance.
il me semble que c'est une rhétorique sans fin !
et ce même si nos pensées sont déterministes, elles ont une part de % d'incertitude ( qui n'a rien à voir avec la MQ que tout le monde met à toute les sauces ).
Je précise ma pensée. La question, c'est disposons nous ou pas du libre arbitre, pas si nous croyons ou pas en disposer
a) Soit nous en disposons, et nous pouvons bien choisir de croire en ce qu'on veut, en toute liberté
b) Soit nous en n'en disposons pas, et nous croiront ce que le déterminisme nous impose de croire; que ce soit de croire, ou pas, que nous avons notre libre arbitre...
La seule certitude, c'est que ne connaissant pas l'avenir (qu'il soit écris ou pas), nous ne pouvons/savons pas agir au présent en tant qu'individu prédéterminé. Que notre libre arbitre soit réel ou simple illusion, cela ne change finalement pas grand chose à notre manière de vivre le présent.
Oui, c'est une manière de concilier l'hypothèse déterminisme avec le libre-arbitre.La seule certitude, c'est que ne connaissant pas l'avenir (qu'il soit écris ou pas), nous ne pouvons/savons pas agir au présent en tant qu'individu prédéterminé. Que notre libre arbitre soit réel ou simple illusion, cela ne change finalement pas grand chose à notre manière de vivre le présent.
On peut même aller plus loin et montrer que le libre-arbitre nécessite l'hypothèse déterministe, c'est-à-dire que c'est avec l'hypothèse indéterministe que le libre-arbitre est contradictoire.
Dernière modification par Nicophil ; 30/12/2014 à 01h50.
La réalité, c'est ce qui reste quand on cesse de croire à la matrice logicielle.