Il me semble avoir déjà repondu et d'autres aussi .... Et une petite lecture des différents poste serait déjà pas mal!!!
bonne lecture isol77
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Il me semble avoir déjà repondu et d'autres aussi .... Et une petite lecture des différents poste serait déjà pas mal!!!
bonne lecture isol77
Dernière modification par Yoghourt ; 25/07/2008 à 14h33. Motif: limitation citation
j'ai vu un article sur les MOB une disposition ressemblant à la technique utilisée = stucanet ou nergalto + treillis + enduit , la ouate étant insufflée entre OSB, montants et plaque fermacell+PV intérieur
j'ai mis un lien mais je ne le retrouve pas .
Faut il garder un vide d'air entre le parepluie et l'OSB ou bien mettre un OSB directement en contact avec la ouate et ensuite un enduit à la chaux ?
Dernière modification par Yoghourt ; 25/07/2008 à 14h30. Motif: citation superflue
avec un pare-pluie HPV , pas besoin de lame d'air , car il est perméable à la vapeur d'eau , on peut le mettre en place avec des lattes de bois traité posés/cloués verticalement , et sur lesquels on pose le revêtement extérieur .
donc , lame d'air entre le HPV et le stucanet, le bardage , la vêture ou le treillis nergalto + enduit
Euh, pas top clair...
Cf les schémas d'énergie wallonie sur les techniques d'isolation extérieure, ça sera plus simple.
- Dans le schéma avec bardage, les lattes ménageant la lame d'air sont mises horizontalement comme pour la ventilation d'un lambris. En les mettant en vertical, ça ventile nettement mieux.
- Dans le schéma ossature + enduit sur treillis, il n'y a pas de lame d'air. S'il y a un OSB entre ossature et treillis enduit, il faut vérifier s'il y a besoin d'un pare-vapeur.
J'avoue ne pas comprendre l'intérêt de vouloir absoluement de la ouate de cellulose en isolation extérieure sur mur en dur. Ai-je loupé un message qui expose le pourquoi de ce choix?
éco-rénovation: l'aïkido du BTP
- sur le schéma avec bardage ,il est bien représenté une ossature verticale et des lattes horizontales , mais il y a bien un espace entre l'isolant et les lattes , donc il y a bien ventilation derrière le bardage et les lattes ..Euh, pas top clair...pour moi aussi ..
-dans le schéma ossature + enduit , il y a bien une lame d'air (ventilée ou non ) voir la légende = n°8 ...
je ne dois pas avoir les mêmes lunettes que toi ...
J’ai peut-être une explication pour mes mauvais chiffres (140 à 170kWh/m²/an).Patrick , si tu faisais un test de mise en surpression de ta maison avec un fumigène coloré inoffensif , pour détecter les micro-fuites d'air ..
Il sufit de quelques fentes entre le toit et le gros-oeuvre pour avoir l'équivalent d'une petite fenêtre de 50x50 ouverte en plein hiver !
Nons voisins allemands sont très sévère sur ce point , contrairement en france où les fuites ne sont pas prises en compte !
En fait, mes combles (180m²) n’ont pas été aménagés et ne sont donc pas chauffés mais en hiver, il y fait tout de même entre 8 et 10°.
La dalle en béton entre les combles et l’étage est isolée avec 100mm de liège en granulés sous chape.
Dois-je en tenir compte dans mes calculs et dans quelles proportions?
JP Oliva donne une valeur R de 1,42 pour une chape isolante de 12cm en béton/chèvenotte de chanvre (dosée à 350kg/m3) + 5cm de chape maigre + terre cuite.
En approximant que les 5cm de chape maigre et les 2cm de terre cuite ont un R nul, et que la chèvenotte est donnée avec un lambda de 0,048 (entre 0,035 et 0,045 pour le liège), tu dois pouvoir estimer avoir un R de 1,4 pour tes 10cm (ce qui reste très faible en toiture).
D'ailleurs, la température de 8/10°C du comble atteste bien qu'il est "chauffé" par la chape
:'( Plus j'apprends, et plus je mesure mon ignorance
D'accord avec toi Herackles.- sur le schéma avec bardage ,il est bien représenté une ossature verticale et des lattes horizontales , mais il y a bien un espace entre l'isolant et les lattes , donc il y a bien ventilation derrière le bardage et les lattes ..
-dans le schéma ossature + enduit , il y a bien une lame d'air (ventilée ou non ) voir la légende = n°8 ...
je ne dois pas avoir les mêmes lunettes que toi ...
Pour Yoghourt, je dois refaire l'isolation extérieur de ma maison en briques pleines (année 1935), et je me posais la question à savoir si c'était éconologiquement avantageux de la faire en ouate insufflée ou bien en plaque de liège.
La contrainte que j'ai est la finition crépis car j'habite dans une sorte de lotissement.
salut à tous, un tout petit conseil, mon mur est pour l'instant constitué de cette manière : de l'interieur vers l'exterieur
ba13/lame d'air/12 cm de poluérethane efisol/lame d'air/parpaing.
pour l'exterieur je peus kasé max sur les côté du polystirène extrudé (limites séparative) 2cm et 4-5 cm sur la facade.
ma question est la suivante : est'il préferable de fixé l'isolant avec des cheville à frappé ou de le collé au map sans lame d'air?
mon but est de "limité" les ponts thermique inévitable de l'isolation intérieur.
merci d'avance
Oh que "j'aime" être l'objet d'une ironie mordante après avoir pris du temps à chercher une info ou un lien... :grr:
Effectivement pour la légende n°8, je n'avais pas lu.
Le liège fait partie des isolants rigides en plaque, adaptés à une isolation extérieure finition enduite. Utiliser la ouate pour une finition enduite (je ne parle pas ici de vêture ayant le look d'un enduit) va forcément demander à faire des pirouettes, s'éloigner des DTU et Atec, demander un chantier plus long avec plus de points singuliers (donc plus technique), probablement plus cher.
Dans le type de solution envisagé, je trouve particulièrement dommage de se payer un isolant particulièrement perspirant et hygroscopique, puis de "jeter à la poubelle" ces capacités.
Dernière modification par Yoghourt ; 28/07/2008 à 10h34.
éco-rénovation: l'aïkido du BTP
Vu ton pseudo , tu habites une région aux étés chauds; avec une telle configuration , tu risques de t'offrir une belle clim (avec les risques de coupure en cas de canicule quant tout le monde pompera à tire-larigot sur EDF...)ba13/lame d'air/12 cm de poluérethane efisol/lame d'air/parpaing.
Et encore moins de te chauffer avec un poele bois en hiver de manière efficace si tu n'as pas d'inertie intérieure
mon pseudo est trompeur, j'habite en région parisienne (91), et malgré mes craintes : la maison est fraiche avec des t° assez estivale pour notre région.
je suis conscient que je n'ai pas d'inertie, mais c'était ça ou 2 "petits" cm d'isolant sur les côtés et 1 liberté totale sur la facade avant et rien à l'arrière : donc c tout réfléchie : isolation intérieur oblige.
pour mieux comprendre, la maison est situé en fond de terrain, construite sur les limites séparatives.
la seule petite inertie qu'il reste est 1 mur porteur de parpaing de 15 , et qq cloison de platre en 10 et 7 cm si le platre joue ce role.
je me fiche du confort d'été, ce qui m'importe c'est le confort d'hiver.
Bon , bon , avec ce plâtre et ces 15cms d'isolant , cela ira ..pas de possibilité de monter une contre-cloison en briques de 7 à la place du BA13 ???je me fiche du confort d'été, ce qui m'importe c'est le confort d'hiver.
Reste que si tu veux te chauffer au bois , privilégies les poeles à accumulation ou avec inertie si tu ne veux pas subir des yo-yos de température ...donc un PDM, si tu peux te l'offrir
merci herakles, je n'ai pas cette possibilité de monté de cloison en brique, cette histoire d'isolation "interieur" nous a déjà prit 10 m2 de surface habitable ( il nous reste 80m2 optimisé à 100%) , mais je ne me plaint pas si derrière on ne se les gèle pas en hivers. je préfere avoir + petit en surface mais 1 bon confort l'hiver sans que ce soit la pollution et la ruine.
pour le poêle, je me suis renseigné chez tulikivi, mais pas assez de budjet (8000 de poêle + tubage rigide isolé à créer donc dans les 10000 euro ).
je me suis orienté vers 1 handol 23t revetue de pierre ollaire, histoire d'avoir 1 semblant d'inertie et de rayonnement.
franchement, il n'aurait pas eut les pbs lié au limites séparative, je ne me serais pas fais c***r à posé de l'isolation intérieur
c'est la joie de la réno.
du coup est ce que la "petite " isolation exterieur que je veus faire, serait utile?
merci
Si vous avez isolé tous les murs extérieurs , la "petite" serait inutile ..sauf si elle vient comme correctif du pont thermique éventuel au droit du mur de refend en 15cms que tu as cité .du coup est ce que la "petite " isolation exterieur que je veus faire, serait utile?
tu peux préciser comment est placé ce mur de refend ?
S'il y a des bricoleurs que ça intéresse, il y a ici du polystyrene pour isolation extérieure. Le lot permet de faire 225 m2 en 8 cm d'épais pour un coût de... 6 € / m2, soit 600 € pour 100 m2 de mur. ça me fait rêver ! Dommage que je ne sois pas assez bricoleur.
http://www.leboncoin.fr/vi/19487948.htm?ca=8_s
ce mur de 15 cm constitue un pont thermique car il est au contact d'1 mur exterieur, l'isolant a été placé de chaque côté.
ce mur mesure 3.15 mètre de haut sur 5 de long.
je vais tenté comme même d'isolé par l'exterieur, ça me fera 1 chtite expèrience, et ça ne devrait pas trop me couté trop cher en polymachin extrudé
pour tout vous avoué : 2 hivers à se les pelé sevère avec du 7°c au levé : + jamais ça
Oh que "j'aime" être l'objet d'une ironie mordante après avoir pris du temps à chercher une info ou un lien... :grr:
Effectivement pour la légende n°8, je n'avais pas lu.
Le liège fait partie des isolants rigides en plaque, adaptés à une isolation extérieure finition enduite. Utiliser la ouate pour une finition enduite (je ne parle pas ici de vêture ayant le look d'un enduit) va forcément demander à faire des pirouettes, s'éloigner des DTU et Atec, demander un chantier plus long avec plus de points singuliers (donc plus technique), probablement plus cher.
Dans le type de solution envisagé, je trouve particulièrement dommage de se payer un isolant particulièrement perspirant et hygroscopique, puis de "jeter à la poubelle" ces capacités.
Merci Yoghourt pour tes recherches et ton avis constructif.
Je ne m'éloigne pas d'une éventuelle isolation avec du liège, je veux juste peser le pour et le contre afin de, savoir ce qui serait le plus facile à faire en auto-construction et le moins coûteux entre les deux solutions. Sachant que par finition crépis, j'entends par là, plus une finition à la chaux. Ce qui garderait l'aspect perspirant. C'est une maison en briques et je veux garder cet atout avant tout.
Petit coup d'oeil à mon projet de rénovation : ici
Gilles
a Yuzz
ce lien vers un projet ou le liège est utilisé avec enduit extérieur chaux
http://raphael.bobeda.free.fr/archit...on-du-clos.pdf
il y avait une vidéo qui montrait la pose du liège et l'application de l'enduit mais le mieux est que tu demandes à rbobeda sur ce forum .
Merci Herackles,
je suis allé voir sur son site c'est très intéressant. Malgré tout, ce qui m'intéresse c'est de savoir si ça se fait ou pas et/ou si quelqu'un a déjà fait une isolation extérieur avec ouate de cellulose + osb + chaux.
Quels en sont les avantages et inconvénients par rapport à une isolation panneau de liège, panneaux de chanvre ou autres ?
Oui je sais je suis têtu
Dernière modification par Philou67 ; 29/07/2008 à 17h00. Motif: Citation inutile
Inspires toi de la technique des MOB ...si j'ai bien suivi , tu veux isoler des murs existants par l'extérieurOui je sais je suis têtu
Tu peux fixer au mur des chevrons en bois traité , avec des pattes inox ou des chevilles inox , tu places un OSB sur ces chervons et tu insuffles la ouate dans l'espace mur-OSB et entre chevrons
Si l'OSB laisse passr la vapeur d'eau et est étanche à l'eau de pluie , pas besoin de pare-pluie , et un enduit respirant par dessus , au besoin avec du stucanet ou un nergalto ..
en somme , tu enveloppes tes murs avec une ossature de MOB ..sauf que l'ossature bois sera plus fine puisque le mur est porteur .
ce qui m'intéresse c'est de savoir si ça se fait ou pas et/ou si quelqu'un a déjà fait une isolation extérieur avec ouate de cellulose + osb + chaux.
bsr yuzz , retrouvé ce lien vers quelques techniques de construction MOB (mais pouvant s'appliquer à ton cas = solution "4" )
http://www.citemaison.fr/Performance...html#solution4
exemple d'isolation extérieure en ouate de cellulose (apparemment floquée), fibre de bois haute densité, enduit sur treillis.
éco-rénovation: l'aïkido du BTP
pas bête = floquer la ouate de cellulose avant de fixer par chevillage ( + collage ?) des panneaux de LDB rigide avant de passer l'enduit avec treillis fibre de verre ..
Mais sacré budget , non ??? Déjà que dans le neuf on en est à 1700~2400 € le m2 habitable pour une habitation à 35 KWh/m2/an ..
En tous cas , les murs en béton de mâchefer isolés par l'extérieur= sacrée inertie qu'il fallait absolument mettre de côté pour gérér idéalement les apports solaires .
En cas de panne EDF , une telle maison mettra 3 bonnes semaines à se refroidir .
Je crois que le flocage est (doit être) réalisé entre ossature bois... donc la laine de bois est sans doute vissée dessus, non ?
:'( Plus j'apprends, et plus je mesure mon ignorance
bon, alors ça m'intriguait cette histoire d'isolation, flocage ou insuflation ? J'ai envoyé un email, voici la réponse :
Bonjour,
Ma collègue m'a transféré vos questions, et je vous en remercie parce qu'elle nous a permis de relever quelques coquilles dans nos documents de communication. Nous allons corriger le tir et en attendant voici les réponses :
La maison combine 2 méthodes d'isolation :
Dans un premier temps la maison a été emballée dans une couche de ouate de cellulose (réalisation d'une ossature bois fixée sur les murs en machefer)
Pour ce faire, le charpentier a construit le long des parois verticales des caissons en utilisant le procédé Lignotrend, dans lesquels il a ensuite insufflé la cellulose (épaisseur de 22 cm).
Les parois verticales ont ensuite été doublées avec une couche de fibre de bois de 6 cm d'épaisseur, puis enfin revêtues de crépi (de marque pavatex : www.pavatex.fr; documentation jointe).
Petite parenthèse, sur la notion laine de bois / fibre de bois, c'est la même chose, simplement, en fonction de la densité on va utiliser l'un ou l'autre terme (<100 kg/m3 de densité, on dira laine de bois et >100 kg/m3 de densité, on dira fibre de bois).
J'espère avoir répondu à vos interrogations.
Bonne réception.
Cordialement,
Samir BOUKHALFA
Chargé de projets - Maîtrise de l'énergie / Energies renouvelables
Alors là , je ne comprends toujours pas , encore un mot utilisé à contre-sens = insuffler suppose que les caissons soient fermés (avec le pavatex , quoi ..)dans lesquels il a ensuite insufflé la cellulose (épaisseur de 22 cm).
Les parois verticales ont ensuite été doublées avec une couche de fibre de bois de 6 cm
il a dû vouloir dire " floquer " autrement dit , la ouate une fois projetée entre les montants tient en place le temps nécessaire pour qu'on puisse fixer les panneaux ..
ou alors ,ce qu'on voit en "gris" sur la photo (floue ) est une membrane tendue pour retenir la ouate en insufflation ??