Il pompe de l'énergie dans le sol ??Bon, là comme ça, je suis charrette au taf (hé oui, je bosse encore).
Mais, bon:Il n'y aucune violation de loi de la mécanique, thermodynamique ou autre.
- Une hélice qui s'appuie sur l'air sans vitesse relative apparente, ça existe et on peut calculer les forces en jeu (https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A...licopt%C3%A8re par ex) appelons ça la poussée stationnaire. Et non, ce ne sont pas les même calcul que pour une fusée dans l'espace.
- Quand le véhicule circule entre 0 et la vitesse du vent, il peut pomper de la puissance aussi bien dans le vent que dans le sol.
- Plus on va vite au sol, plus on peut pomper de la puissance dans le sol, ce qui permet d'obtenir la poussée stationnaire.
- Quand le véhicule est à la vitesse du vent, il ne peut plus qu'en pomper au sol. Cette puissance lui permet d'obtenir la poussée stationnaire.
- Quand le véhicule va plus vite que le vent, il doit injecter de la puissance dans le vent en plus de celle nécessaire à obtenir la poussée stationnaire.
En fait c'est pas le vent arrière qui fait avancer plus vite mais la rotation de la terre -> suffit d'aller en sens inverse de celle ci.
Sans questions il n'y a que des problèmes sans réponses.
Bonjour Polo,Bon, là comme ça, je suis charrette au taf (hé oui, je bosse encore).
Mais, bon:Il n'y aucune violation de loi de la mécanique, thermodynamique ou autre.
- Une hélice qui s'appuie sur l'air sans vitesse relative apparente, ça existe et on peut calculer les forces en jeu (https://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A...licopt%C3%A8re par ex) appelons ça la poussée stationnaire. Et non, ce ne sont pas les même calcul que pour une fusée dans l'espace.
- Quand le véhicule circule entre 0 et la vitesse du vent, il peut pomper de la puissance aussi bien dans le vent que dans le sol.
- Plus on va vite au sol, plus on peut pomper de la puissance dans le sol, ce qui permet d'obtenir la poussée stationnaire.
- Quand le véhicule est à la vitesse du vent, il ne peut plus qu'en pomper au sol. Cette puissance lui permet d'obtenir la poussée stationnaire.
- Quand le véhicule va plus vite que le vent, il doit injecter de la puissance dans le vent en plus de celle nécessaire à obtenir la poussée stationnaire.
D'abord quelques remarques sur ton point 1 :
- le lien indiqué fournit un bilan des forces sur un hélicoptère en vol stationnaire, donc on est loin d'un bilan énergétique (je n'ai jamais vu un hélicoptère rester en vol bien longtemps sans consommer de carburant),
- le calcul part d'une vitesse de rotation donnée, imposée par le rotor et donc par le moteur thermique,
- et quand tu dis "sans vitesse relative apparente", ça me fait doucement rigoler : un hélicoptère, ça fait du vent et on la sent bien, la vitesse du vent quand on est à proximité !
Ensuite, je ne sais pas ce que veut dire "pomper de la puissance au sol". Par quel miracle l'énergie se transmet-elle du sol au véhicule ?
Je crains que ne convainques pas grand-monde avec ces explications !!
le sol procure de l'énergie ? c'est pas ça que certains appellent l'énergie libre ?
Maaaagnifiiiiique ! tout ça n'a aucune importance..
Bonsoir,
Que nenni car le mat est attaché à un véhicule donc le module dépend du vent relatif et l'argument aussi, de dernier est tres dépendant du véhicule, en gros elle doit pointer vers l'avant du véhicule porteur dès que celui roule assez vite, c'est le principe même de la girouette; sur un voilier cela indique toujours la direction du vent relatif.Bonjour.
Le mât est équipé d'un anémomètre et d'une girouette, on connaît donc module et argument.
Pièce jointe 483330
https://www.youtube.com/watch?v=5CcgmpBGSCI
Donc pour connaitre la direction du vent au niveau du mobile testé il faut faire un petit calcul angulaire utilisant 3 angles :
relèvement de la girouette, cap de la voiture suiveuse, cap du véhicule en test.
JR
l'électronique c'est pas du vaudou!
hé hé avec les vecteurs représentatifs, ça fait des calculs trigonométriques rigolos....
amusez-vous bien!
pomper, comme les Shadoks: jolie figure de style....Ensuite, je ne sais pas ce que veut dire "pomper de la puissance au sol". Par quel miracle l'énergie se transmet-elle du sol au véhicule ?
interprétation possible:
quand véhicule roule moins vite que le vent arrière, la poussée provenant du vent s'écoulant autour du bazar va produire une force dirigée vers l'avant (le sens de marche) et alors le produit
W= F*dx est positif: la force produit un travail qui st récupéré par l'engin (pour accélérer ou pour vaincre les résistances à l'avancement)
et pour vous embrouiller.... il ne faut surtout pas oublier la force transmise par le support de l'hélice....
car selon le pas et la vitesse de rotation de l'hélice, il y a aussi une force (importante!) exercée par le vent sur l'hélice...
quand cette force est dirigée vers l' avant, elle s'ajoute à le force F propre à l'aérodynamique du super-véhicule...
il n' y a pas que le travail fourni/consommé par le couple exercé par l'hélice sur son axe....
Dernière modification par Bounoume ; 21/08/2023 à 17h15.
rien ne sert de penser, il faut réfléchir avant.... (Pierre Dac...)
Le vent fait démarrer le véhicule, et au fur et à mesure de l'accélération, une partie de l'énergie amené par la poussée du vent devient énergie cinétique du véhicule lui-même (liée à la vitesse de celui-ci et à sa masse), et une autre partie (par la chaîne reliant les roues à l'hélice), devient énergie cinétique des pales (liée à la vitesse de rotation de celles-ci). Cette dernière ne contribue en rien à l'avance du véhicule dans la phase d'accélération due au vent arrière, au contraire, elle est juste emmagasinée dans la rotation des pales, et dépend donc de la vitesse de rotation de celles-ci et de leur masse.
Lorsque le véhicule ne peut plus accélérer par le vent arrière, on récupère cette énergie emmagasinée dans la rotation de l'hélice en ouvrant l'angle, le pas, de l'hélice, qui va donc diminuer sa vitesse de rotation au bénéfice d'une accélération globale du véhicule, l'énergie cinétique des pales est alors transformée en énergie cinétique du véhicule (la vitesse des pales est dirigée en travers du véhicule, lorsque le pas est faible, plat, et l'ouverture de celui-ci diminue cette vitesse, et donne place à une augmentation de la vitesse globale du véhicule, dirigée orthogonalement, vers l'avant.
Comme cela ne peut se faire que par le ralentissement de la vitesse de rotation des pales, puisqu'on utilise leur énergie, ben à force de les ralentir, elles n'ont plus grand chose à donner, on arrive fatalement rapidement sous la vitesse du vent.
La courbe retraçant la cinématique du véhicule au delà de la vitesse du vent dépend de l'importance du pas, du diamètre de l'hélice, de la masse de celle-ci, de sa forme, de la masse du véhicule, de son coefficient de pénétration dans l'air, de la vitesse du vent, de..., etc.Lorsque la vitesse du vent est presque atteinte, cette énergie est utilisée par changement du pas de l'hélice.
Si tel est le cas, il devrait être possible de calculer la durée du trajet possible à vitesse supérieure à celle du vent, et comparer à celle de l'enregistrement.
Pour comparer, on n'a pas tout ça, d'un côté, mais heureusement, on a une information primordiale qui nous en dispense :
Permanent, ça parle, ou pas ? Je trouve que oui, et que ça veut dire durée illimitée, donc le calcul est fait tout de même, par les conditions initiales, et le résultat est "toujours, jusqu'à ce que la mort nous sépare". Comme dans les films, et ça tombe bien, s'en est un.directement sous le vent, plus vite que le vent, propulsé uniquement par le vent, en régime permanent.
Comme tu y vas, en tout cas, moi je n'ai rien dé-positionné, au contraire, je suis admiratif devant la performance à truander son monde au point où ils le font. Non, vraiment, record toujours valide.ce dé-positionnement du record
Dernière modification par grosboul ; 21/08/2023 à 17h52.
Bonsoir.
Tout à fait, dans ce cas, la voiture suit le même cap que le Blackbird et reste à ses côtés (relèvement constant) au moins jusqu'au moment où la vitesse du vent est atteinte.Que nenni car le mat est attaché à un véhicule donc le module dépend du vent relatif et l'argument aussi, de dernier est tres dépendant du véhicule, en gros elle doit pointer vers l'avant du véhicule porteur dès que celui roule assez vite, c'est le principe même de la girouette; sur un voilier cela indique toujours la direction du vent relatif.
Donc pour connaitre la direction du vent au niveau du mobile testé il faut faire un petit calcul angulaire utilisant 3 angles :
relèvement de la girouette, cap de la voiture suiveuse, cap du véhicule en test.
JR
Ça devient lourd.
Force * vitesse = puissance.
Vous (ceux qui n'essayent pas de comprendre) êtes dans un blocage, les terreplatistes sont des amateurs.
Vous réfutez les demos faites par des gens compétants parce que les formules, c'est pas votre trip et que les trucs qui sont connus comme physiquement vrais mais monstrueux à démontrer ne le sont pas dans un papier de 5 pages (mais de toute façon c'est pas votre trip).
Vous n'essayez pas de comprendre quand on vous donne une explication vulgarisée.
Vous rejetez l'homologation d'un organisme qui a quand même un sérieux savoir faire sachant que lors des records, il y a eu plus de 60Mo de data qui ont permis de valider les records. Ah, vous n'y avez pas accès, ok mais seriez-vous capable de les exploiter?
La remarque sur la conso de carburant n'est que du bruit.Bonjour Polo,
D'abord quelques remarques sur ton point 1 :
- le lien indiqué fournit un bilan des forces sur un hélicoptère en vol stationnaire, donc on est loin d'un bilan énergétique (je n'ai jamais vu un hélicoptère rester en vol bien longtemps sans consommer de carburant),
- le calcul part d'une vitesse de rotation donnée, imposée par le rotor et donc par le moteur thermique,
- et quand tu dis "sans vitesse relative apparente", ça me fait doucement rigoler : un hélicoptère, ça fait du vent et on la sent bien, la vitesse du vent quand on est à proximité !
Le lien donne plein de formules dont la formule de calcul de la vitesse induite pour une force donnée. Et la puissance du même coup.
Cette formule permet donc de calculer la puissance nécessaire pour maintenir le char à la même vitesse que le vent pour une force de donnée. C'est la première équation du système.
La remarque sur le vent LOCAL produit par l'hélicoptère nest également que du bruit. La vitesse du milieu se mesure à l'échelle macroscopique, ou dit autrement avant que l'hélicoptère ne décolle et perturbe l'air ambiant.
Encore une fois :Ensuite, je ne sais pas ce que veut dire "pomper de la puissance au sol". Par quel miracle l'énergie se transmet-elle du sol au véhicule ?
Je crains que ne convainques pas grand-monde avec ces explications !!
Force * vitesse = puissance
C'est quand même ahurissant que vous acceptiez qu'une éolienne pompe/capte de l'énergie dans le vent, c'est à dire dans l'air qui est en mouvement relatif par rapport à l'éolienne et que vous ne comrennez pas qu'un véhicule en mouvement relatif au sol ne puisse faire pareil...
Au cas où ça vous aurait échappé, une fois le char à mi vitesse du vent, il peut capter antant de puissance du sol que du vent.
Maintenant posez/résolvez les équations et vous verrez.
Special dédicace à grosboul, sachant que le rapport de transmission entre hélice et roues est constant, comment faites vous pour faire accélérer (positionnement) le vehicule en ralentissant l'hélice ??? (Pas besoin de calcul, c'est evident)
Et surtout, là, comme ça, il faudrait quand même emmagasiner une sacrée quantité d'énergie cinétique pour trippler la vitesse du char. Donc même avec un variateur dans la transmission, c'est impossible.
Jusqu'ici tout va bien...
Pas variable.
C'est une boite de vitesse continue.
Oui, et moitié moins qu'a l'arrêt par la force du vent, et moitié moins par la roue qu'à pleine vitesse. On peut pas tout avoir.
De manière longue, le char ne peut pas développer plus que la P se rapprochant de celle du vent. Pour dépasser cette P, il y a nécessité de taper dans le stockage inertiel, et donc....que ça dure pas une éternité.
Le black bord est exactement comme un barrage en circuit fermé. Alors oui à un moment on recharge ( au début ) puis pendant 10 secondes ( ou plus ) on relargue.
Alors j'insiste mais si au départ du black bird tu largue une plume de masse négligeable ( ça doit exister puisque les forces de frottement de black bord le sont ) au bout de 2 minutes ( ou le temps que tu veux ) la plume sera allée plus loin que le black bird, même si celui sera allé plus vite à un certain moment, la plume reste devant. Tout le temps devant, toujours jusqu'à l'infini.
Bonsoir.
Quel stockage inertiel?De manière longue, le char ne peut pas développer plus que la P se rapprochant de celle du vent. Pour dépasser cette P, il y a nécessité de taper dans le stockage inertiel,
Bonjour,
Ok, il le prétendent, mais il leur était facile de le montrer, plutôt que le dire, que ne l'ont-ils pas fait ? Ce ne sont pas des huissiers assermentés, non plus. Et d'ailleurs, le timing de la vidéo du test (je reprends ci-dessous le lien que tu as fourni) montre que c'est largement faux.
Tu l'écris toi-même, la durée du déplacement, y compris la phase après le retour à une vitesse inférieure à celle du vent, et jusqu'à l'arrêt.
Je suis retourné voir cette vidéo, car en effet, une minute, voir 110 secondes, c'est assez conséquent, et ça interpelle.
Comme le chariot n'a pas de pennon, ( c'est dommage, il l'a perdu juste au moment où on passait au test ultime, c'est pas de bol, et ils n'allaient quand même pas casser une chemise pour ça, hein ! ) le seul indicateur du sens du vent relatif accessible sur cette vidéo, est la girouette en tête du mât posé sur la voiture d'accompagnement.
Le mât indique :
1:17 vent relatif arrière, franc.
1:30 idem
1:37 vent hésitant, moyennement nulle
1:45 vent légèrement hésitant, à tendance avant marquée
2:03 vent franchement sur l'avant
3:09 fin de l'enregistrement avec l'arrêt du chariot
Donc entre le premier constat de vent relatif établi à l'avant et le dernier, on est passé de 1 minute et 45 secondes de vidéo à 2 minutes et 3 secondes. Soit une durée avérée de 18 secondes. Nous n'avons pas vu la même chose, mais peut-être faisais-tu référence à une autre vidéo que celle que tu as référencée ici. Si c'est cela, veuille excuser mon étourderie et communiquer la vidéo concernée par la durée de vent relatif avant supérieure à une minute.
ça amplifie mon doute, car j'y ai vu un démarrage par vent arrière, c'est à dire que le chariot est poussé vers l'avant. Cela me semble tellement banal et logique qu'il avance dans cette condition, que ici aussi j'ai dû me tromper de vidéo. Peux-tu confirmer ?Et il y a aussi démarrage sans élan.
Tu sais pertinemment que ce n'est pas un gage de sérieux de leur part. Il y avait le poids des mots, le choc des photos, tout ça, on ne va pas y ajouter le paquet des données.
L'hélice à pas variable doit dans ce cas être couplée de façon modulable aux roues, voir débrayable, nous sommes d'accord, mais quid et où du système de transmission et de ses capacités de débrayage ou de modulation de la multiplication ? Je n'ai pas trouvé d'information en ce sens concernant ce chariot, et si tu en as, elles sont bien sûr bienvenues, et si elles font mention d'une transmission toujours engrainée et égale du démarrage jusqu'à l'arrêt, alors je me suis gravement trompé, et je me couche platement.sachant que le rapport de transmission entre hélice et roues est constant, comment faites vous pour faire accélérer (positionnement) le vehicule en ralentissant l'hélice ??? (Pas besoin de calcul, c'est evident)
dans la même veine: https://fr.wikipedia.org/wiki/Blackb...tre%20intuitif.
un article sur le Blackbird avec calculs et graphiques :
http://www.nalsa.org/BlackBirdDDWSR/...n%20report.pdf
Dernière modification par titijoy3 ; 22/08/2023 à 06h01.
Maaaagnifiiiiique ! tout ça n'a aucune importance..
Entre l'hélice et l'air.
Avant, on parlait de l'inertie de l'hélice, glissement de sujet typique...
Donc à te suivre, ils exploiteraient "l'inertie" de l'air pour faire passer de moins vite que le vent à plus de 2.5 fois la vitesse du vent (soit un fois 6 de l'énergie cinétique du char) un char qui doit peser dans les 300 kg...
Je te laisse démontrer ton assertion.
Tu admets donc qu'on peut extraire de l’énergie du sol quand on roule.Oui, et moitié moins qu'a l'arrêt par la force du vent, et moitié moins par la roue qu'à pleine vitesse. On peut pas tout avoir.
Merci pour cette avancée.
Oui, on ne peut pas tout avoir, mais on peut toujours en avoir depuis au moins un des milieux.
Si le char va plus vite que le vent, il peut (pour la même force) extraire plus de puissance qu'en roulant à la même vitesse que le vent mais il doit en restituer une parti au vent...
De manière longue, le char ne peut pas développer plus que la P se rapprochant de celle du vent. Pour dépasser cette P, il y a nécessité de taper dans le stockage inertiel, et donc....que ça dure pas une éternité.
IL N'Y A PAS BESOIN DE STOCKAGE INERTIEL.
À vitesse stable, le char doit avoir (la composante utile de) la force exercée par le vent égale à moins (la composante utile de) la force exercée par le sol. sinon, il y aurait accélération (positive ou négative)les points 1 et 2 sont faciles à comprendre, on est dans des situations classiques (genre moulin à vent et char à voile).
- Quand le char est à l'arrêt, il ne peut pas extraire de puissance depuis sa liaison au sol, c'est le vent qui pousse le char au démarrage, tel un classique voilier en vent arrière.
- Quand le char est entre 0 et la vitesse du vent, il peut extraire de l'énergie du vent et du sol pour combattre les frottements. Sans accélération, on a Fv = Fs. Mais comme les vitesses sont différentes, il extrait des quantités différentes de puissance, elle sont juste proportionnelles à la vitesse.
- Pour accélérer, il suffit que Fv > Fs (ne pas confondre force et puissance...).
- Quand le char atteint la vitesse du vent, la puissance ne peut être extraite que du sol (on est dans l'exacte situation symétrique du cas char à l'arrêt au sol).
- Quand le char dépasse la vitesse du vent (pour la même force), la puissance extraite du sol continue à augmenter, mais il faut en fournir au vent vu que le vecteur vitesse à changé de direction après son passage par 0. Mais il n'y a aucune rupture sur les courbes de puissance, aucun mur infranchissable
le point 4 est le symétrique du point 1, sauf que là, il faut "s'ancrer" dans le vent, et ça coûte de la puissance (qui doit être captée au sol) et c'est là qu'il semble y avoir blocage.
le point 5 est la continuation du changement de vitesse. il faut en plus "restituer" de la puissance à l'air, mais ce n'est pas directement ça qui va limiter la vitesse, c'est l'augmentation des frottements et autres pertes aérodynamiques.
à grosboul, la transmission à rapport constant est (entre autre) constatée dans le rapport du nalsa, maintenant, comme tu les prends pour des clampins, t'en fais ce que tu veux. En fouillant ailleurs, on voit des photos du mécanisme assez rudimentaire (voir entre autre le fil en techno déjà cité), accessoirement, il y a des roues libres ("différentiel du pauvre") qui empêchent que l'hélice entraîne les roues. mais t'es pas obligé de le croire...
à titijoy3, la version française du wiki est moisie, il faut lire la version anglaise: https://en.wikipedia.org/wiki/Blackb...wered_vehicle)
il est fait référence au pdf suivant que je trouve bien fait: https://backend.orbit.dtu.dk/ws/port...19/2009_28.pdfIn summary:
- Upwind, the rotor harvests the power from the oncoming air and drives the wheels, as would a wind turbine.
- Downwind, when the vehicle is traveling faster than the windspeed, the ground is the fastest-moving medium relative to the vehicle, so the wheels harvest the power and impart it to the rotor, which propels the vehicle.
Jusqu'ici tout va bien...
Jusqu'ici tout va bien...
Bonjour.
Pour être très précis sur ce point, voici l'extrait du rapport de la NALSA.
http://www.nalsa.org/BlackBirdDDWSR/...n%20report.pdf
Donc : rapport fixe, hélice à montage roue libre. L'hélice ne peut pas entraîner les roues, donc exit les hypothèses d'inertie venant de l'hélice comme envisagé dans certains posts.The propeller is connected to the rear axle through a simple chain-drive transmission and ratchets. This configuration permits the wheels to turn the propeller via the fixed ratio transmission, while allowing the prop to freewheel during braking. The prop pitch can be controlled by the pilot “on the fly”. By design, such a configuration cannot be accelerated through the use of stored energy/momentum
Pas d'accélération possible possible liée à l'énergie emmagasinée dans l'hélice.
Les opérateurs de la NALSA ne semblent pas être des débutants.
Oui et pour avoir une vitesse il faut de l'énergie.
Au contraire. Plein de gens essayent de comprendre l'arnaque, ce que personnellement je trouve encourageant.Vous (ceux qui n'essayent pas de comprendre) êtes dans un blocage, les terreplatistes sont des amateurs.
Il n'y a pas de démo en soufflerie, en milieu contrôlé.Vous réfutez les demos faites par des gens compétants parce que les formules, c'est pas votre trip et que les trucs qui sont connus comme physiquement vrais mais monstrueux à démontrer ne le sont pas dans un papier de 5 pages (mais de toute façon c'est pas votre trip).
Comme quoi le business du vent arrière a fini par s'est essouffler et c'est maintenant le calme plat.
Pourquoi ? Il y a des explications plus avancées ?Vous n'essayez pas de comprendre quand on vous donne une explication vulgarisée.
Personne ne rejette rien.Vous rejetez l'homologation d'un organisme qui a quand même un sérieux savoir faire sachant que lors des records, il y a eu plus de 60Mo de data qui ont permis de valider les records. Ah, vous n'y avez pas accès, ok mais seriez-vous capable de les exploiter?
La NALSA sait très bien homologuer ses records pour les chars à voile.
Et comme il font les règles, les appliquant à tous de la même manière, on peut supposer qu'on a affaire à un classement impartial.
... ce qui n'en fait pas des expériences de physique.
Il n'y a rien d'ahurissant.C'est quand même ahurissant que vous acceptiez qu'une éolienne pompe/capte de l'énergie dans le vent, c'est à dire dans l'air qui est en mouvement relatif par rapport à l'éolienne et que vous ne comrennez pas qu'un véhicule en mouvement relatif au sol ne puisse faire pareil...
Si éolienne commençait à se déplacer pour au final se retrouver à la même vitesse que le vent, oui, ce serait ahurissant d'imaginer qu'elle continue à exploiter l'énergie du vent.
Par chance une éolienne est fixe.
Non, ça ne m'a pas échappé qu'il faut de l'énergie pour accélérer un mobile.Au cas où ça vous aurait échappé, une fois le char à mi vitesse du vent, il peut capter antant de puissance du sol que du vent.
Donc qu'on puisse ensuite la récupérer... pourquoi pas ?
C'est déjà fait.Maintenant posez/résolvez les équations et vous verrez.
Par exemple j'ai appris avec grand intérêt que selon la formule de Mark Drela
V/(V-W)*Constante >1 est la condition du DDWFTTW
V=Vitesse du véhicule
WW=vitesse du vent.
Ce qui peut aisément se réaliser lorsque V=W, rendant le terme de gauche infini.
Il n'y a rien qui vous choque là-dedans ?
C'est pas de la physique ça, désolé.
J'ai une autre démonstration amusante (faut suivre ça fait une demi-heure) qui démontre également la possibilité du DDWFTTW.
L’intérêt au moins contrairement à la bouse de Mr Drela, c'est que le gars il ne confond pas cause et effet.
Bon, après il y a quelques erreurs qui rendent sa démonstration erronée, mais au moins c'est de la physique.
A voir ici :
Physics of the Blackbird Wind Powered Vehicle
https://www.youtube.com/watch?v=7u2RgiRJ2Uc
Dernière modification par ArchoZaure ; 22/08/2023 à 12h11.
"WW=vitesse du vent."-> un W en trop?Par exemple j'ai appris avec grand intérêt que selon la formule de Mark Drela
V/(V-W)*Constante >1 est la condition du DDWFTTW
V=Vitesse du véhicule
WW=vitesse du vent.
Ce qui peut aisément se réaliser lorsque V=W, rendant le terme de gauche infini.
Il n'y a rien qui vous choque là-dedans ?
C'est pas de la physique ça, désolé.
Si oui, c'est un fil sur la division par zéro.
Sans questions il n'y a que des problèmes sans réponses.
Ce que je veux dire c'est que c'est toute la démonstration de Mark Drela qui est à mettre au panier.
C'est honteux de prendre les gens pour des imbéciles comme ça.
Prenons le problème autrement.
Imaginons que le truc fonctionne. Une fois lancé, le véhicule va plus vite que le vente parce qu'il "pompe sa puissance dans le sol".
Polo, es-tu d'accord pour dire qu'à ce moment-là, si le vent s'arrête, le truc doit continuer à avancer au moins de la vitesse V-W initiale ?
bonjour
moi ce qui me gène c'est que nulle part n'est donnée la valeur de la force exercée par le vent qui est, je me répète, uniquement la force de trainée qui bêtement s’annule si le véhicule et le vent sont à la même vitesse.
JR
l'électronique c'est pas du vaudou!
Et même pire, la trainée devient négative si le vent (relatif) souffle dans l'autre sens.
Donc freinage.
Dernière modification par ArchoZaure ; 22/08/2023 à 13h46.
trainée, poussée, force de traction etc...avec un pas VARIABLE.
Ca n'aide pas. Sauf à faire passer la méca flux pour du sur unitaire à compte ( avec des forces de frottement nulle et sans méca, c'est plus facile ).
Avouons que la fumisterie est cependant bien emballée ( pour certains )
Bonjour à tous,
Je ne sais pas si l'hélice de l'engin est identique à celle d'un avion.
Effet d'une hélice d'avion sur l'air.
La masse d'air refoulée par l'hélice vers l'arrière tourne dans le même sens et prend, pour cette raison, le nom de souffle hélicoïdal.
C'est le plus important des effets sur les avions monomoteurs légers.
La rotation de l'hélice accélère l'air qui la traverse et produit un écoulement qui s'enroule autour du fuselage.
Si l'hélice accélère bien l'air, cela consomme de l'énergie, ici sur les roues et pour un avion par son moteur thermique.
Donc les roues doivent perdre de la vitesse ainsi que l'hélice et donc l'engin.
Faire tout pour la paix afin que demain soit meilleur pour tous
Bonjour.
Le rotor n'est pas une éolienne, c'est une hélice propulsive actionnée par les roues.C'est quand même ahurissant que vous acceptiez qu'une éolienne pompe/capte de l'énergie dans le vent, c'est à dire dans l'air qui est en mouvement relatif par rapport à l'éolienne et que vous ne comrennez pas qu'un véhicule en mouvement relatif au sol ne puisse faire pareil...
Il n'y a rien d'ahurissant.
Si éolienne commençait à se déplacer pour au final se retrouver à la même vitesse que le vent, oui, ce serait ahurissant d'imaginer qu'elle continue à exploiter l'énergie du vent.
Par chance une éolienne est fixe.
Comme expliqué, et noté par les observateurs de la NALSA, le rotor est monté avec un système de roue libre.
Un fonctionnement en éolienne reviendrait à utiliser la force du vent pour faire tourner les roues ce que la roue libre ne permet pas.
Et d'où vient l'énergie pour entretenir la rotation des roues ?Bonjour.
Le rotor n'est pas une éolienne, c'est une hélice propulsive actionnée par les roues.
Comme expliqué, et noté par les observateurs de la NALSA, le rotor est monté avec un système de roue libre.
Un fonctionnement en éolienne reviendrait à utiliser la force du vent pour faire tourner les roues ce que la roue libre ne permet pas.
Re-bonjour.
Voici un essai en soufflerie (à priori de construction amateur) de DWFTTW.
https://www.physicsforums.com/thread...l-test.302076/
The cart not only beats the wind it also beats the vanes that create the wind! The series of images below show the flap each time it comes around and you can clearly see that the cart has advanced from vane 4 to vane 1. There is an image missing between the last two because the flap was in the reflection on the plastic and couldn’t be seen. The sequence represents eight revolutions of the cart. It wasn’t taken from the video posted but the same thing can be seen in that video as well.
Reference: https://www.physicsforums.com/thread...l-test.302076/
sauf que tu t'es volontairement arrêté à la formule 8 alors que juste après il développe:
Ce qui est honteux, c'est que tu joues à l'imbécile.The relation (8) above is not useful for initial-design estimation, since V −W and ηp are both close to zero near the static-thrust condition, and their ratio is crucial. To resolve this problem, the air prop efficiency is broken down into a viscous (profile-drag) efficiency ηv , and an inviscid (or induced) efficiency ηi taken from actuator-disk theory.
Non, vu qu'il faudrait restituer au milieu air la même puissance alors qu'on en a consommé sur le véhicule pour vaincre les frottements.Prenons le problème autrement.
Imaginons que le truc fonctionne. Une fois lancé, le véhicule va plus vite que le vente parce qu'il "pompe sa puissance dans le sol".
Polo, es-tu d'accord pour dire qu'à ce moment-là, si le vent s'arrête, le truc doit continuer à avancer au moins de la vitesse V-W initiale ?
voir le chapitre "2.1 General energy conversion concept" du https://backend.orbit.dtu.dk/ws/port...19/2009_28.pdf
Freinage compensé par la poussée de l'hélice alimentée par la puissance puisée dans le sol.
voir le chapitre "2.1 General energy conversion concept" du https://backend.orbit.dtu.dk/ws/port...19/2009_28.pdf
exemple pour V = 12m/s, W = 10m/s, en se gardant 30 N pour accélérer:
rendement mécanique de 70%
hélice de 5.5 m de diamètre
avec une force de poussée d'hélice de 50 N, on a :
puissance induite (cf page méca vol hélico donnée): 47W
puissance restituée au vent: 100W (50 * (12-10))
soit 147W en bout d'arbre
un coup de rendement à l'envers: 210W
puissance divisée par la vitesse au sol: 17.5N
on ajoute 1.2N de trainée (faible, vu qu'on est à 2m/s par rapport au vent) et on arrondit : 19N
bref, on a encore plus de 30 N dispo pour accélerer...
et il y en a qui disent que c'est impossible...
Jusqu'ici tout va bien...
Qui montre quoi au fait ?Re-bonjour.
Voici un essai en soufflerie (à priori de construction amateur) de DWFTTW.
https://www.physicsforums.com/thread...l-test.302076/
Que si on arrive à compter de 1 à 4 on a à peu près le même tempo de passage de l’hélice.
Rien de flagrant donc.