On en revient à ce que je disait précédemment : on peut se faire sa propre définition des mots pour en exclure certains champs d'application. Qu’est-ce que cela prouve ? Rien. D'ailleurs (et je précise encore une fois que je n'ai jamais lu Heidegger) en essayant de comprendre ceux qui tentent ici de traduire ce qu'ils ont compris de sa pensée je me demande, face à mon abîme d'incompréhension, mais de quoi parle-t-on ici ? De mots dont la juxtaposition n'a pour moi aucune signification : qu'est-ce que penser l'être par exemple ?
Par contre je constate que personne ne parle de l'article de Michel Paty à propos d'Einstein,sauf brièvement par ù100fil qui semble trouver que ça rejoint sa compréhension de Heidegger, ce qui ne me convainc pas vraiment. À ce propos je voudrais bien comprendre ce qu'il dit par :
Désolé mais je n'ai pas l’habitude du jargon de certains philosophes.une prise de conscience de la clôture épistémologique que nous réalisons
Je rappelle que l'intérêt de l'article repose sur le fait qu'il a été écrit par un épistémologue qui a été d'abord un physicien, donc qui comprend les démarches de l'intérieur et non de l'extérieur comme certains philosophes.
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