Les deux mon général: prise en charge hospitalière si nécessaire et extra-hospitalière, puisque les complications peuvent être cernées et dans les cas ou l'évolution est prévue fatale pour ceux qui veulent éviter l'acharnement thérapeutique.
Avec des chiffres qui restent sensiblement les mêmes d'une année sur l'autre (en 2009, on avait craint plus et donc trop de personnes jeunes et moins jeunes nécessitant et désirant une réanimation).
Il n'a pas déclaré qu'il n'était pas médecin et absent des réanimations ?
Le forçage n'est pas "artificiel" sauf à considérer que les chiffres étant provisoires, ils sont tous artificiels.
Ça n'empêche pas d'en avoir une idée, d'une façon ou d'une autre mais une visite reste franchement édifiante ; ça vaut pour toutes les pathologies, d'ailleurs...
-----