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j'ai oublié de préciser que les tuyaux alu étaient extensibles ,il fallait éviter de marcher dessus mais comme ils étaient alignés sur le pourtour près de mur ,aucun risque
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j'ai oublié de préciser que les tuyaux alu étaient extensibles ,il fallait éviter de marcher dessus mais comme ils étaient alignés sur le pourtour près de mur ,aucun risque
pour répondre a SH42 les tuyaux étaient en alu comme tous les tuyaux qu'on trouve dans le commerce soit pour une hotte en plus petit diamètre ou autre
Merci pour la réponse.
J'ai posé la question car je pensais que c'était du genre tuyau zingué qui est réalité fait avec de l'acier zingué.
Bonjour
@Sh42 : J'ai repris dans la question le terme initial trouvé sur la présentation des produits ICI
On trouve dans la description :
Spécificités techniques => Conduit simple paroi en aluminié et Matière principale => Inox Là j'ai un petit doute vu le prix
On retrouve le même produit ICI par exemple avec cette DÉCLARATION DES PERFORMANCES
J'ai trouvé un peu plus de précision en allant sur le site de Poujoulat : Conduit de raccordement Aluminié (acier aluminié - épaisseur 6/10e)
Et sur le site ProSynergie :
L'aluminié est l'entrée de gamme dans le "monde" du tubage de cheminée...
Il est interdit de l'utiliser pour le raccordement d'insert, de foyer fermé et de chaudière à condensation.
J'ai finalement trouvé sa composition sur Eureka solution : L’acier aluminisé est un acier qui a été revêtu à chaud des 2 côtés d’un alliage d’aluminium – silicium.
On y trouve également la différence entre l'acier inoxydable et l'acier aluminisé (et pas aluminié comme écrit précédemment )
Ma question initiale était donc de savoir si ce genre de tuyaux était compatible avec le transport d'air chaud et cela sans risque ?
Que ce genre de tubage résiste à la chaleur, là pas de problème, mais qu’il puisse servir à la distribution d’air chaud, là est ma question.
Bonsoir,
Merci pour la réponse. C'est bien, j'ai appris quelque chose aujourd'hui.
L'aluminium doit fondre à partir de 625° C. Il y a de la marge.
Il est interdit dans les conduits de cheminées car, à ma connaissance, il est sensible aux gaz qui contiennent des acides comme les gaz de combustions.
Bonjour
@Talavera : Merci pour toutes ces précisions.
Vous évoquez « la résonance du bruit transmis par les gaines » et c’est sûrement un problème qu’il ne faut pas négliger.
D’où mon intention d’utiliser des tuyaux rigide et d’avoir recours à la laine de roche plutôt qu’à la laine de verre, la première est ininflammable et a également des propriétés d’isolation acoustique performante en isolant et amortissant les vibrations et le bruit
Vous dites également que la salle de bains était la 1er pièce a être chauffée. Ayant intervenu précédemment à ce sujet, rappelant que pour les systèmes d’aujourd’hui la pose de bouche n’y était pas recommandée (due au problème de VMC) en faisant plus de recherche, j’ai vu que finalement, même sans VMC, ce n’était pas une bonne idée : l’air chaud arrivant dans cette pièce force l’air froid humide à migrer vers les autres pièces ce qui n’est pas une bonne chose.
Vous parlez aussi de votre insert tout en acier.
De notre coté, conseillés par l’installateur du poêle nous en avons prit un 100 % fonte (lourd : 150 Kg, mais reposant sur un plancher béton) et avec une prise d'air directe en provenance de l'extérieur (système étanche n'ayant aucune répercutions négatives entre la VMC et le tirage du poêle)
Pour cette dernière, n'ayant qu'une vieille simple flux, l’installateur nous a conseillé de la remplacer par une Hygroréglable de typeA et non de type B, cette dernière, avec ses entrée d'air variables pouvait ne pas fonctionner correctement avec un chauffage aux bois qui rend l'air plus sec.
Merci Sh42 pour ces précisions
625° C en effet il y a de la marge
RE
que vous mettiez des tuyaux rigides ou flexibles a mon avis avis c'est pareil car quand je parle de résonnance c'est par exemple quand la télé fonctionne le son est un peu audible dans les pièces du fait de sa légère circulation dans les tuyaux
Pour les tuyaux c'est mieux des flexibles car plus maniables et donc plus faciles a mettre en place surtout pour raccorder au niveau des T
mon pavillon n'avait pas de vmc et je n'ai jamais eu de problème d'humidité dans aucune pièce
les tuyaux étaient comme ceux de votre 1er vidéo (a droite pres du groupe) mais un diamètre plus grand et niveau solidité aucun problème
quand a l'insert c'était un artisan qui avait lancé ce mode de chauffage, mais je ne sais pas si c'était lui l'inventeur, c'est vrai qu'en acier il se déformait au niveau du foyer c'est pour cela que j'avais positionné deux plaques en fonte comme explique plus haut
bonne installation bien que maintenant le bois est cher (pourtant il pousse sans pétrole)
Pour ce qui est de l'isolation avec la laine de roche, je dois faire un coffrage en bois fin dans cette espace de 30.5 cm :
Le coffrage sera recouvert après de ouate de cellulose car nous devons faire l'isolation du comble perdu (R8 tassé 32 cm)
Je pourrais utiliser toute la largeur ou seulement une partie, tout dépend de l'épaisseur de laine de roche utilisée (4, 5 voir 10 cm).
Voici le principe :
Cependant, outre l'épaisseur que je n'ai pas encore choisi, je ne sais pas quels produits prendre : avec ou sans par vapeur ?
ROCKWOOL Alpharock, ROCKWOOL Rockcomble, ROCKWOOL Rockmur, ROCKWOOL Firerock, ou autres ? A votre avis ?
Peut-être qu'en isolant autour des tuyaux avec de la laine de roche j'aurais plus de chance mais comme vous le dite cela n'empêchera pas le bruit entre les pièces de circuler et de communiquer à voir si ce problème peut-être résolu d'une manière ou d'une autre
Il existe bien des silencieux, mais est-ce que cela est vraiment utile dans ce cas ?
j'avais mis de la laine de verre 10 cm epaisseur avec un pare vapeur qui se trouve obligatoirement a l'exterieur, je mesurais la longueur qu'il faut et j'entourais le tuyau et mettais un scotch pour fermer l'ensemble
Les tuyaux flexibles ou rigides, pour moi, ce n'est pas pareil.
Avec un tuyau flexible, lorsqu'il est perpendiculaire aux chevrons, il peut s'affaisser et accumuler de l'eau de condensation qui aura du mal à disparaitre. Avec un tuyau rigide, la poche d'eau ne peut pas se créer et le fait d'avoir une surface de contact air-eau plus importante fera que cette dernière s'évaporera plus facilement.
C est de l air chaud et sec qui passe dans ces tuyaux, pendant 30 ans je n ai pas eu une seule goutte, il ne faut pas comparer évacuation de hotte et évacuation d air chaud venant d un insert, je sais de quoi je parle car je me suis chauffe avec ce genre de systeme
Et tu peux certifier qu'il n'y aura jamais d'air qui circulera dans les canalisations en dehors de la marche du chauffage.
Bonjour
Personnellement j'aimerais plutôt me diriger vers des tuyaux rigides surtout dans l'optique que ceux-ci résistent au poids de l'isolation et soient plus durables dans le temps et totalement hermétiques aux visites possibles des rongeurs
Je place tout au long de cette conversation différents thèmes de réflexion mais qui se concentrent sur le sujet principal : l’utilisation d’un système mécanique de distribution de chaleur. Car on peut imaginer qu'en combinant ou pas plusieurs phénomènes, on puisse arriver à un résultat performant ou non.
Pour ce qui concerne l’arrivée de l’air chaud au travers de la distribution mécanique dans une autre pièce, ou directement dans la salle qui accueille le poêle, on se retrouvera forcement avec un déséquilibre de température. Il fera plus chaud au plafond que là où on vit réellement.
L’utilisation d’un ventilateur de plafond en mode hiver (dans le sens des aiguilles d’une montre) et à faible vitesse peut résoudre ce problème :
Sources : ICI et Là
Par contre on peut également se poser la question sur l’efficacité réelle d’un ventilateur directement dans la pièce ou le récupérateur de chaleur est en action. Est-ce que ce léger brassement d’air ne peut-il pas avoir un effet négatif sur la température que justement ce dernier tente de concentrer ?
Pour les pièces où arrive l’air chaud (souvent en plus en hauteur) on peut penser que ce système de ventilation doit sûrement trouver son efficacité.
Bonjour
Au sujet de la pose ou non d'une bouche d'air chaud dans la salle de bain, il y a ici une réponse intéressante : Distribution d'air chaud
bonjour
j'ai bien indiqué dans mon post 38 que je n'avais pas de vmc
D'autres conversations sur le Forum traitant du même sujet :
- Récupérateur de chaleur
- Retour expérience sur récupérateur chaleur poêle à bois
- Transfert d'air chaud, récupération de chaleur
- kit de distribution air chaud
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- Récupérateur d'air chaud bruyant
- Récupérateur de chaleur
- Récupérer la chaleur du conduit de fumée
- Tubage et circulation d'air chaud en faux plafond
- Extracteur d'air chaud
Il y en a sûrement beaucoup d'autres
Bonjour Talavera
Je ne répondais pas à votre précédent post, où vous expliquez très clairement votre installation, mais à mon questionnement :
A partir du moment où on a effectivement une VMC, est-il possible de contourner la perturbation qu'une bouche peut causer lorsqu'elle est dans la salle de bain
bonjour
a mon avis si vous avez une sortie d'air chaud au plafond, la chaleur sera aspirée par la vmc de la salle de bains. Mais ce n'est que mon avis, je ne suis pas un spécialiste ,je ne peux pas vous en dire plus, voir si vous connaissez des personnes ayant ce genre de chauffage, ou demander au vendeur qu'il vous indique une adresse ou ce système est installé afin de pouvoir comparer
voila le genre d'insert que j'avais, sauf que l'arrivée d'air était en dessous, au niveau du foyer, ou l'air est le plus chaud
Bonjour
Merci Talavera pour toutes ces précisions.
En fait, j'ai commencé cette conversation, car j'ai été étonné par les avis des différents installateurs de poêle que j'ai pu rencontrer avant de trouver celui que nous avons finalement choisi.
Lorsqu'on évoquait cette idée de récupérateur d'air chaud, tous roulaient les yeux en l'air et n'avaient visiblement pas un enthousiasme fou
En insistant, ils commençaient à en parler un peu : "à la limite si vous devez envoyez de la chaleur dans un circuit très très court, peut-être vous en serez satisfait" ou "c'est un investissement pour finalement quelques degrés de plus ici ou là" ou bien "Air chaud ! pas vraiment, parlons plutôt d'air tiède" ...
bref, si j'insistais vraiment pour qu'ils l'installent, ils l'auraient sûrement fait, mais sans grande conviction
L'artisan qui finalement installera le poêle m'a lui conseillé de faire de grande ouverture au dessus des portes et de laisser celle-ci ouverte et d'ajouter des ventilateurs de plafond en mode hiver !
Donc c'est pourquoi j'ai voulu en savoir un peu plus dans le cas où je ferais l’installation moi-même.
En tout cas du coté des installateurs de poêle (du moins ceux que j'ai rencontré) ce n'est pas une évidence
Bon je me suis dit que la distribution d'air chaud était peut-être un tout autre métier et que je devais me tourner vers les vendeurs de ces matériels.
Là, au contraire des artisans rencontrés précédemment, le récupérateur de chaleur devenait "La solution" et celui-ci prenait d'un coup tous les avantages, le rendant indispensable ...
Un tel écart entre professionnels m'a incité à trouver des expérience de personne qui pourrait me donner leur avis ... Et j'en suis là
claravaux
Soyons sérieux !En fait, j'ai commencé cette conversation, car j'ai été étonné par les avis des différents installateurs de poêle que j'ai pu rencontrer avant de trouver celui que nous avons finalement choisi.
Lorsque je prends dans mes mains chaudes les mains froides d’une jeune femme, je transmets de la chaleur de mes mains vers ses mains.
La quantité de chaleur va dépendre de la différence de température entre mes mains et ses mains, et de la chaleur transmise par la circulation sanguine.
Il en est de même pour l’air. La quantité de chaleur transmise par l’air chaud dans une pièce froide, va dépendre de la différence de température entre l’air chaud qui arrive dans la pièce, de la température de la pièce, et du débit d’air
La quantité de chaleur transmise Ø = 0.334 x D x ∆T
Ø chaleur transmise
D débit d’air en m3/h
∆T différence de température entre l’air qui rentre et la température de la pièce.
Explications du 0.334
Transport d’énergie par l’air chaud
1 m3 d’air à 20°C a une masse de 1.2 kg
1000 m3 = 1200 kg
La chaleur spécifique de l’air est de 0.24 kcal/kg/°C
Par m3, c’est 0.24 x 1.2 = 0.288 kcal/m3*°C = 0.334 Wh/m3*°C
Maintenant que tu sais comment faire des évaluations sur la quantité de chaleur transmise, tu vas constater que ça fonctionne moins bien qu’un bon chauffage qui consomme de l’énergie.Lorsqu'on évoquait cette idée de récupérateur d'air chaud, tous roulaient les yeux en l'air et n'avaient visiblement pas un enthousiasme fou
En insistant, ils commençaient à en parler un peu : "à la limite si vous devez envoyer de la chaleur dans un circuit très très court, peut-être vous en serez satisfait" ou "c'est un investissement pour finalement quelques degrés de plus ici ou là" ou bien "Air chaud ! pas vraiment, parlons plutôt d'air tiède"
bref, si j'insistais vraiment pour qu'ils l'installent, ils l'auraient sûrement fait, mais sans grande conviction
C’est la seule méthode pour assurer des grands ‘débits d’air’. Il a raison !L'artisan qui finalement installera le poêle m'a lui conseillé de faire de grande ouverture au-dessus des portes et de laisser celle-ci ouverte et d'ajouter des ventilateurs de plafond en mode hiver !
Tu as des billes pour évaluer les performancesDonc c'est pourquoi j'ai voulu en savoir un peu plus dans le cas où je ferais l’installation moi-même.
Les vendeurs de récupérateurs d’air chaud ne trichent pas. Ils racontent que ça chauffe bien, ils ont raison, ça chauffe. Mais ils ne parlent jamais de quantité de chaleur transmise.En tout cas du coté des installateurs de poêle (du moins ceux que j'ai rencontré) ce n'est pas une évidence
Bon je me suis dit que la distribution d'air chaud était peut-être un tout autre métier et que je devais me tourner vers les vendeurs de ces matériels.
Précédemment, le récupérateur de chaleur devenait "La solution" et celui-ci prenait d'un coup tous les avantages, le rendant indispensable ...
Je ne te donne pas mon avis, mais le moyen d’évaluer la chaleur transmise pour que tu puisses avoir un avis éclairé.Un tel écart entre professionnels m'a incité à trouver des expériences de personne qui pourrait me donner leur avis ... Et j'en suis là
Chez mois, 100 m2 habitable sur un seul niveau,
Un seuil point de chauffe dans la pièce principale, une unité intérieure de PAC.
Toute la chaleur transmise de cette source chaude vers les autres pièces, se fait par circulation d’air. Circulation assurée par les courants de convection naturelle. Toutes les portes sont grandes ouvertes.
En période froide, 0°C ext, une puissance de chauffe de 5000 W, un ∆T air max de 10°C entre la pièce la plus froide (La plus éloignée) et la pièce la plus chaude, le débit d’air par convection naturelle est de l’ordre de 1500 m3/h.
Le savoir doit beaucoup à l'imagination.
Bonsoir,
La récupération de la chaleur à partir d'un poêle dépend également du tirage de la cheminée.
Ce problème de tirage n'existe pas si la combustion du poêle se fait avec de l'air propulsé par EDF.
@cornychon
"Je donne cette longue réponse également sur les deux liens"
Bonjour Cornychon
Pendant très longtemps j'ai cuit les pâtes comme ma mère me l'avait appris en mettant de l'eau, du sel et de l'huile ...
Plus tard j'ai appris qu'il n'y avait aucun intérêt à mettre de l'huile dans l'eau (Je pensais naïvement que cela permettait que les pâtes ne collent pas entre elles), et puis surtout que le fait de mettre le sel avant l’ébullition retardait celle-ci.
Pourtant pendant des années j'ai été persuadé que c'était ainsi qu'on faisait cuire les pâtes, d'ailleurs je ne me posais aucune question, ma mère me l'avait enseigné, elle ne pouvait pas se tromper, je croyais en ce qu'elle disait !
Malheureusement, croyance et ignorance font souvent bon ménage.
Depuis longtemps je suis sensible à un baromètre qui me semble vital : le doute
Lorsque je suis confronté à des avis/opinions qui sont diamétralement opposés, une petite alarme résonne dans ma tête.
Et quand je suis confronté à cette situation, je veux comprendre. Ce n’est pas qu’automatiquement les uns ont tort et les autres raison, mais peut-être que les intérêts en jeu des uns et des autres ne sont pas les mêmes.
En effet ce n’est pas un mensonge, mais ce n’est pas la vérité non plus, dans le sens ou on peut être satisfait d’entendre les mots magiques : " ça chauffe " , mais n’ayant pas comme vous le dites Cornychon, une idée très précise de la chaleur transmise, cela ne nous avance pas à grand-chose dans la pratique.
Et c’est d’ailleurs une différence importante que de vouloir gagner quelques degrés dans une pièce qui est déjà chauffée par un petit chauffage électrique, que de vouloir la chauffer entièrement sans avoir recours à aucune autre source, autre « qu’uniquement » la chaleur qui pourrait venir d’un poêle à bois se situant à plusieurs mètres.
Lorsque je m’adresse à mon artisan qui a l’expérience de sa pratique, je ne peux que l’écouter, même si dans ma tête résonne encore ce qu’un vendeur m’a précédemment dit et qui s’oppose à ce que j’entends. Je me retrouve dans une situation inconfortable : la dualité
Pour sortir de cet état, je dois comprendre, sinon je me laisserais guider par des promesses que je pourrais avoir envie de croire.
Mais je ne veux pas être guidé par la croyance, mais par les règles qui appartiennent à un domaine d’application dont je ne possède malheureusement aucune connaissance (L’aéraulique - c’est bien le domaine d’application concerné ?)
Sinon je devrais me persuader que tout fonctionne comme je le pensais, même si ce n’est pas vraiment le cas et m’enfermer dans une sorte d’illusion.
Par exemple, lorsque je viens sur ce Forum pour avoir un renseignement concernant l’électricité, je vais suivre plus particulièrement les conseils et les indications de Carminas, qui depuis plusieurs années m’a toujours guidé afin que je réalise correctement mes travaux. Je ne suis pas électricien, il l’est.
Mais dans ce domaine précis, je saisis ce que je dois faire et pourquoi, et ayant reçu plus jeune plusieurs décharges électriques, je sais que je travaille sur un élément qui peut se « rebeller » si on ne le traite pas dans les règles.
Mais là pour le sujet qui nous occupe, je ne connais pas les règles concernant le transport de l’air, mais je sais que vous les maîtrisez et que vous pouvez me les transmettre
Malheureusement je suis hermétique aux formules et les mathématiques me sont un peu étrangères.
Lorsque je lis cela :
Cela me parle bien plus que quand je lis ceci :Lorsque je prends dans mes mains chaudes les mains froides d’une jeune femme, je transmets de la chaleur de mes mains vers ses mains.
La quantité de chaleur va dépendre de la différence de température entre mes mains et ses mains, et de la chaleur transmise par la circulation sanguine.
Il en est de même pour l’air. La quantité de chaleur transmise par l’air chaud dans une pièce froide, va dépendre de la différence de température entre l’air chaud qui arrive dans la pièce, de la température de la pièce, et du débit d’air
Pourtant l’explication est là, mais dés que je vois un signe comme par exemple « ∆T » cela me perd complètement … No body is perfectLa quantité de chaleur transmise Ø = 0.334 x D x ∆T
Ø chaleur transmise
D débit d’air en m3/h
∆T différence de température entre l’air qui rentre et la température de la pièce.
Explications du 0.334
Transport d’énergie par l’air chaud
1 m3 d’air à 20°C a une masse de 1.2 kg
1000 m3 = 1200 kg
La chaleur spécifique de l’air est de 0.24 kcal/kg/°C
Par m3, c’est 0.24 x 1.2 = 0.288 kcal/m3*°C = 0.334 Wh/m3*°C
Je n’ai fait aucune étude scientifique et donc cela ne me renseigne aucunement. Mon esprit n’est pas habitué ni même initié aux formules de ce genre.
Ces explications ont bien sûr leur importance pour ceux qui pourront les comprendre.
Mais personnellement j’aime mieux lorsque vous traduisez cela avec des analogies.
Et c’est d’ailleurs important, comme vous le faites souvent, de lier les deux pour toucher plusieurs publics.
C’est un peu comme : « je ne te donne pas d’argent, mais plutôt le moyen d’en gagner » je comprends et respecte la démarche, mais je n’ai malheureusement pas les connaissances suffisantes pour manier les éléments mathématiques donnés … Désolé !
Mais j’ai quand même compris la partie la plus simple du calcul donné ICI par exemple (en 2019) :
Bonjour,
Prenons un exemple de poêle de 8 kW nominal, 80% de rendement.
Ça veut dire que 1600 W passent dans le conduit de fumée. Le rendement de l’échangeur est de l’ordre de 50%.
A la puissance nominale, tu peux récupérer en gros 800 W.
Cette puissance disponible est encore liée à la différence de températures entre l’air chaud envoyé, et la température du local que tu veux chauffer.
Bref ! ! Ce genre d’échangeur est une usine à gaz qui ne présente aucun intérêt.
Il est préférable d’ouvrir les portes qui vont à l’étage. La chaleur va monter toute seule.
D’autres intervenants vont te dire que ça chauffe.
Ton ordinateur chauffe, un poêle à bois de 10 kW chauffe.
Dire que ça chauffe ne veux rien dire. Une seule chose compte, c’est le rendement final de ces engins inutiles.
Pour finir, une question simple, avec si possible comme vous savez très bien le faire, une réponse sous forme d’analogie par exemple.
Vous expliquez :
Comme l’artisan/installateur du poêle nous l’avait d’ailleurs conseillé concernant l’ouverture des portes et la création de grandes ouvertures au dessus des portes.Chez mois, 100 m2 habitable sur un seul niveau,
Un seuil point de chauffe dans la pièce principale, une unité intérieure de PAC.
Toute la chaleur transmise de cette source chaude vers les autres pièces, se fait par circulation d’air. Circulation assurée par les courants de convection naturelle. Toutes les portes sont grandes ouvertes.
Vous indiquez : Donc Concernant la création de larges ouvertures au dessus des portes, est-ce vraiment important ?
Autrement dit, est-ce que ces larges parties au dessus des portes représentent vraiment une paroi « totalement coupe chaleur » qu’il faut absolument enlever (totalement ou partiellement) ?
Comme vous n’en parlez pas dans la description de votre maison (peut-être utiliser vous un autre moyen ?) est-ce que faire ces ouvertures est un « plus important » ? Ou bien peut-on s’en passer ?
(Précision : toutes nos portes se situent dans des cloisons en Placoplan de 7 cm, à part une qui se trouve dans un grand mur de 35 cm … là plus difficile à envisager, mais pas impossible si l’efficacité est au rendez-vous)
Passer une très bonne soirée .
La conversation à finalement continué ICI
Bonjour
Finalement, grâce à l'échange avec Cornychon (à partir d'ICI par exemple), j'ai abandonné l'idée de l'installation d'un récupérateur/extracteur/gaines/isolation et accessoires en partant du poêle ...
Je me dirige plutôt vers une autre démarche (la convection naturelle "aidée" dirons-nous ) déjà plus simple à mettre en place et surtout qui peut-être plus facilement testée et bien moins onéreuse que mon projet initial.
J’abandonne donc à la fois l’installation du récupérateur de chaleur mais également la pose d'un ventilateur dans la salle où se trouve le poêle et également le trou que j'envisageais de faire juste derrière.
Ayant une maison de plain pied avec une hauteur de plafond identique de 2.50 M sur toute la surface, c'est un peu plus facile pour moi d'envisager cette nouvelle direction.
Étant en cours de rénovation énergétique avec l'ANAH, les différents travaux d'isolation par l'extérieur, des combles perdus, pose du nouveau poêle etc ... ne devraient finalement pas se faire avant septembre, mais je reviendrai ici pour donner les résultats de cette expérimentation ... Donc à suivre.