les cycles longs reviennent : hier (22nov t° entre 5°c et 1°c) 5h00 à 19h15 (arrêté par l'aspiration)
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les cycles longs reviennent : hier (22nov t° entre 5°c et 1°c) 5h00 à 19h15 (arrêté par l'aspiration)
Bonjour
Moi aussi les cycles s'allongent jusqu'à l'infini... sale temps d'hiver
Cycle de 15h d'affiler de 15h30 jusque 6h30 ce matin, que j'ai arrêter volontairement par le démarrage de la cheminée.
Le vent souffle depuis cette nuit et ca ne m'arrange pas du tout.
Par contre, nous avons passé tous les 5 une agréable nuit avec un bon dosage de chauffage. Je suis en pleine forme .
Bonjour
@antec51 : j'ai regardé ton okovision ce matin, et là c'est flagrant : ton capteur t° départ n'est pas à la bonne place, je ne serais pas étonné qu'il prenne la t° des retour et non des départs.
Il y a un décalage entre ton activité chaudière et ta t° départ :
Sur ce matin, au plus bas de la t° chaudière (54°) c'était le moment le plus haut de ta t° départ, or ça devrait être aussi son point le plus bas.
D'où l'origine de tes ondulations car décalage dans le temps.
je ne vois pas la même chose que toi phil : t chaudiere 54° t°depart 14,5 ce qui parait normal (la consigne elle est à 45° d'ou la confusion à la lecture peut être)
Sur l'okovision d'antec51, dans son graph circuit chauffage :
A l'heure 5h06 : t° chaudière 54.1 t° départ 33.7° en phase montante.
A l'heure 11h53 : t° chaudière 54.8 t° départ 37.8° en phase montante.
Sur ces deux points là, la phase montante est anormale, il y a un retard d'environ 7 min entre le moment où il devrait descendre et le moment où il descend vraiment.
Pour moi tes idées ont du sens, Phil. Antec pourra confirmer la place de sa sonde en allant devant ses tuyaux.
Mais s'il n'y a pas d'erreur le problème du retard restera...
Voici un zoom pour mieux analyser son cycle du matin.
En résumé: le cycle commence par ces oscillations caractéristiques qui disparaissent en 3 bosses grâce au fort besoin de chauffage... mais reprennent après 6:00
- au début, le départ monte, refroidit la chaudière mais trop violemment ce qui la fait descendre en dessous de 60°,
- cette descente provoque une coupure du circulateur et une fermeture de v3v (?), le départ stagne...
- quand la chaudière remonte et que le circulateur peut redémarrer, le départ commence par descendre avant de remonter et rebelote quant à l'effet sur la chaudière...
On sens bien que le système oscille car il réagit trop fort et avec un manque d'anticipation... Partant de cette théorie il faudrait agir en conséquence sur les paramètres d'une Touch, j'espère que quelqu'un trouvera un jour, j'y ai renoncé.
nb: 19 minutes entre les 2 bosses vertes de gauche.
Je pense qu'on a suffisamment de preuve pour qu'antec51 appelle ou son installateur ou un mail bien détaillé au technicien régional.
Je pense fort à un problème hydraulique : v3v qui retiens trop longtemps? capteur mal placé ? v3v en mauvais mode ?
En tapant sur google la v3v d'antec51, je suis tombé sur ce topic qui me chagrine un peu sur la qualité de cette v3v.
Moi j'ai pris celle recommandé par okofen ( ils l'ont même estampillé okofen...)
http://forums.futura-sciences.com/ha...au-moteur.html
Sur mes graph, le temps de réaction de la t° départ sur une chute de t° chaudière est de l'ordre de 10/30seconde, loin des 5/7min d'antec51.
Salut tout le monde,
Merci de vos intéresser à mon cas, j'ai pas trop le temps de regarder et jouer avec en ce moment...
Sinon, niveau hydraulique, à droite (quand on regarde la chaudière en face) j'ai le départ chaudière, ça va sur la vanne 3 voies puis le circulateur (avec la flèche dans le bon sens), puis la sonde.
La sonde est posé sur le tuyau (pas du cuivre, mais du multicouche) et fixé avec un collier rilsan.
La nature du tuyau pourrai aussi jouer sur le délai de réaction ?
Ouf, j'ai retrouvé une photo, pas la peine de retourner en bas.
Salut,
Pas glups... cela expliquerait le "retard", le temps que le plastique "chauffe", il y a une grosse inertie.
Quelle idée aussi ce genre de tuyau sur une chaudière...
Je vois qu'il y a des "coudes" en cuivre, peut-être qu'il y a un espoir de reprendre une T° plus fiable à cet endroit ?
Sinon l'installateur DOIT remplacer une section de tuyau de merde par du cuivre pour avoir une mesure fiable et juste.
Ces tuyaux en plastique m'avait un peu choqué quand tu avais montré ton installation. Qu'est ce que les installateur ne font pas pour économiser de la main d'oeuvre
C'est du multicouche... il y a une couche d'aluminium dedans, c'est quand même assez rigide, mais ça se pli avec une grosse pince. ça leur a permis de gagner pas mal de temps je pense, et je n'y voyais pas d'objection, on va les peindre dans la maison.
Je vais essayer de repérer un endroit qui réagi mieux , mettre un peu de patte thermique et déplacer le capteur.
Cela n'empêche que mettre une sonde de température de régulation sur du plastique isolant c'est une faute...
Le plastique est pas vraiment isolant, ça fait 2mm d'épaisseur... les tuyaux sont aussi chaud que l'eau à l’intérieur, mais ça met un peu plus de temps à monter en température.
Sonde déplacé, directement sur le gros truc en cuivre d'une vanne de sécurité. Le tout caché sous de l'isolant.
Résultat demain matin ...
Pour ne pas improviser sur cette sonde, j'ai recherché ce que préconisent différents constructeurs:
Seul hargassner précise le matériaux du tube... (à vérifier sur une notice plus récente)
1- Hargassner
Dernière modification par Tam ; 26/11/2015 à 23h01.
2- Siemens:
et enfin...
3- DD:
ah ? faut pas mettre l'isolant autour ?
Ben moi j'ai dû en mettre par dessus... sans cela, avant, c'était rock 'n' roll - les jours de vent froid surtout, la chaudière ne couchant pas à la maison mais dans un local bien aéré...
Bonjour, n'ayant pas le souvenir d'une recommandation sur le montage d'une sonde de départ dans les notices Oko, j'ai cherché à nouveau mais en vain
Restent donc les REx, merci Christina !
Concernant l'usage de tubes multicouches comme dans la plupart des installation d'aujourd'hui, je me demande justement si je ne devrais pas en intercaler des longueurs pour séparer les différents métaux de ma chaufferie
A étudier lors d'une rénovation de circulateur par exemple
La régulation a besoin de la température de l'eau au départ. C'est ce qu'elle doit régler...
Avec une conduite cuivre (qui est un excellent conducteur), on peut partir du principe que la température de la surface extérieure du cuivre est celle de l'eau, avec très peu de retard...
Si le contact entre la sonde et le tuyau de cuivre est bon, la régulation est bien informée, et à temps. Pour cela on utilise ces sondes "plates", qui se collent bien contre les tubes...
Le "multicouche", à mon avis, n'est pas un bon conducteur (la couche de métal étant très très fine) ; le palstique est un conducteur moyen. Cependant, l'épaisseur de plastique est faible, donc on peut penser que l'isolation doit être limitée (un tube multicouche, quand on le touche, est chaud...). Je pense donc que cela peut "écréter / retarder" un peu....
J'avoue que par prudence, et dans le doute, j'aurais mis un bout de cuivre juste sur la section à la sortie de la V3V...
Je pense qu'avant cela, il convient d'évaluer la "vitesse" à laquelle la V3V ouvre et/ou ferme et voir si ce n'est pas "mécaniqe" : par exemple, après une fermeture en raison du mini chauidère (la chauidère est passée sous 60°), la réouverture se fera de la même façon que la température soit bonne ou fausse ; le tube s'est refroidit ; la sonde mesure par ex 25° ; la consigne départ est par ex 37° ; la régul va ouvrir par impulsions et on s'en fout que la température soit 25° ou 22 ° ou 29° : elle ouvre ! Il n'y a qu'aux alentours de la consigne que la précsion va avoir son importance.
Cela m'amènerait à penser que le tube n'est pas en cause. S'il y a un bon contact ! [NB : les pâtes thermiques utilisées pour coller un ventilateur sur un processeur d'ordinateur peuvent être utiles, pour pas cher]
J'avoue ne pas comprendre, dans le principe, ce qui serait contradictoire avec une sonde qu'on aurait recouverte d'isolant.
A moins que ce ne soit le fait que c'est une "résistance variable en fonction de la température", dont on mesure la résistance et que le courant de mesure provoque, à la longue, une légère chauffe ???? Pas assez électronicien pour répondre à ça !
[La mienne est à nu].
Mes souvenirs de physique / chimie commencent à être évanescents, mais il me semble qu'il ne faut pas confondre :
a) un chauffe-eau, dans lequel l'eau est renouvelée en permanence, donc les "ions" issus de la corrosion des métaux sopnt évacués en permanence, laissant place à une nouvelle corrosion ; là, il faut "couper" les courants erratiques qui contribuent à al corrosion (sauf dispositif anti-corrosion actif)
b) une chaudière, dans laquelle le liquide est toujours le même est "tourne en ropnd" ; les ions vont "saturer" la solution est la corrosion s'arrêter... Idem pour l'oxydation de l'acier, une fois tout l'O² du liquide "consommée"... Je n'ai jamais rien lu sur le besoin de raccords di-électriques sur une chaudière...
Admettons que tu aies raison Did, mes planchers des années 90 ne sont pas en multicouches donc perméables à l'O2, et dans le doute le fait de séparer les 2 métaux par un isolant électrique ne peut qu'atténuer la corrosion, non ?
Dernière modification par Tam ; 27/11/2015 à 17h05.
Salut à tous,
j'ai refait le site internet http://okovision.dronek.com
Pouvez vous me dire comment vous le trouvez ?
La documentation est disponible directement dessus http://okovision.dronek.com/wiki.html
++
PES15 Touch - Solaire - Radia. HT - T°C Amb : 20,5°C - 280m2 - Okovision
L'O² va provoquer l'oxydation des métaux : le fer de l'acier devient de la rouille, qui est un oxyde de fer.
C'est différent des phénomènes des "pile électrique" qui se forment quand deux métaux ayant une électro-positivité sont reliés par un conducteur (l'eau impoure dans le cas du chauffe-eau ou les courants erratiques). Celui ayant l'électropsitvité la plus faible va se corroder : le fer métalique va devenir un ion fer soluble...
Ce sont deux phénomènes différents.
Bien noté les 2 phénomènes distincts.
Pour rester très pratique, quand un chauffage se met à fuir par perçage soit du corps de chauffe, soit d'un radiateur, soir d'un tuyau acier dont la "masse à fondu", quel est le phénomène en cause et quelles sont les mesures préventives efficaces ?
Je ne me rappelle plus du précédent mais je trouve que celui-ci a de la gueule et donne envie d'utiliser
Qlques remarques:
- mes yeux fatigués ont du mal à lire le blanc sur vert du "pourquoi"
- pourquoi le "e" de Oekofen ?
- faut prévenir les futurs acheteurs que cet excellent outil ne gomme pas pour autant les défauts des vertes
- quand nous "ne pourrons plus nous en passer", ne seras-tu pas tenté de renoncer à la gratuité actuelle